Chroniques !

JE SUIS A LA RECHERCHE D UN CORRECTEUR !
Karista ne peut pas assurer la suite de mes corrections elle travaille actuelement !
Une bonne âme pour cela ? envoyez moi un Message Privée !

Merci de votre attention !

je te conseil le correcteur de Word c’est déjà un bon début

Merci mais je l'ai déjà fait mais le problème, c'est que Word ne corrige pas tout et moi je ne vois pas mes fautes donc ....

y a pas dire, c'est prenant. bien plus que les romans insipides que je me tapes en ce moment. moi aussi ma préférence va aux Zorlims, mais bon, le reste vaut le coup d'être lu. continue!!!

Suite de l'histoire de Keops ! CORRECTION RHAVIN ! MERCI ENCORE A TOI !

Cette fête avait fait parler d’elle! Toutes les villes alentours étaient au courant que tout les plus grands bourgeois et riches commerçants y étaient conviés. Cela attirerait du monde bien sûr ! Tous les restaurateurs et les tailleurs étaient conviés dans cette ville pour habiller les invités !
Pour Keops, il fallait trouver avant tout un carton, un carton d’invitation pour cette fête.
C’était sûrement le plus dur pour Keops ! Il du aller rendre « visite » à plusieurs bourgeois, avant de trouver le fameux papier qui le laissera passer et entrer dans la demeure du conte. Son identité pour la soirée était « Vicomte de la Bourfelie », « François », une toute petite province des environs qui n’était pas très connue. Pour Keops c’était favorable, plus la province était petite et inconnue, moins le comte ne pourra soupçonner la duperie ! Il en profita aussi pour aller dérober les plans de la maison du comte, chez son architecte. Il ne manquait plus qu’une chose : il fallait s’habiller pour cette soirée et surtout avoir l’air bourgeois pour tromper tout le monde…
Il rendit donc visite à ses « amis » ou plutôt à ceux de ses parents ; il se rendit chez le tailleur près de son ancienne maison. Lui aussi, était artisan indépendant et n’avait pas cédé aux griffes du comte. Et d’après le "dragon déchainé", il avait subi des problèmes : Agressions, cassage de l’enseigne et autres désagréments. La boutique était comme autrefois : Noire et sombre mais dans la vitrine on pouvait admirer des ouvrages magnifiques : cela allait de la tenu de mariage, à la tenu de valet de chambre. Pourtant cette boutique n’était pas luxueuse. Elle semblait en piteux état. L’enseigne, qui était à l’époque une paire de ciseaux couleur or, n’était, aujourd’hui plus présente sur l’enseigne. Et la poussière s’accumulait sur le rebord de la vitrine. Keops entra donc dans la boutique : « Tailleur : chez Justetaille »
La porte s’ouvrit avec un grand grincement ! qui réveilla le pauvre tailleur, endormi sur son comptoir.
-(Tailleur), en sursaut, Ah oui, oui, bonjour monsieur..
Keops ne dit rien et regarda la boutique, des tissus traînaient sur la table avec des plans, des équerres et ce fameux instrument qui ne fait que des ronds parfait. (compas)
Le tailleur regarda Keops. Il semblait fouiller dans sa mémoire :
-(Tailleur) Ne nous sommes nous jamais vus, par hasard monsieur ?
Keops tourna rapidement son regard vers le tailleur. Mais son visage disais déjà sa réponse :
-(Keops) Non, vous ne m’avez sûrement jamais vu, mais j’étais un ami de la famille Keops.
Le tailleur regarda le sol en soupirant. Il parla dans sa barbe, Keops ne comprit juste que : « horrible » et « terrible »
Mais le tailleur reprit de l’assurance et demanda à Keops :
-(Tailleur) Et que puis-je pour vous ?
-(Keops) Il me faut une tenue. Une tenue de soirée.
-(Tailleur) C’est pour la soirée de M’sieur le comte ?
-(Keops) En effet et j’ai besoin de vos services.
-(Tailleur) Bien, dans ce cas suivez moi, nous allons voir ce que nous pouvons faire sur vous.
Le tailleur parla avec Keops longuement sur ces goûts vestimentaires : Couleurs, matières des tissus, et apparence voulue et après plus d’une heure de parlotte, le tailleur en avait terminé sur sa prise de renseignements.
-(Keops) Et vous pensez que sa va coûter combien ?
-(Tailleur) Et bien je pense que ça devrait faire au moins 240 pièces.
-(Keops) et bien, il me la faut avant vendredi !
-(Tailleur) Ne vous inquiétez pas. Le travail sera fait dans les temps. Keops remercia le tailleur et se dirigea vers la sortie !
-(Tailleur) Et M’sieur !
Keops se retourna vers le tailleur
-(Tailleur) Un conseil d’amis, faîtes attention au comte !
Keops souria au tailleur, le salua et s’en retourna vers l’auberge.
Keops s’enferma dans sa chambre, avec nourriture et eau, pour travailler sur les plans de la maison du comte. Tous ces plans devaient être étudiés avec une grande précision pour que sûr le terrain, il soit parfait. Il sera accueillit dans l’entré et ensuite sûrement convié à aller dans le salon, grande pièce de 200 m², certainement rempli de toutes sortes d’invités, du petit bourgeois, au commissaire de police et du maire de la ville !
Pour aller dans chambre, il fallait aller aux toilettes : VU PAR LE PLUS DE MONDE !
Les toilettes du comte contenaient une ouverture vers l’extérieur, une toute petite fenêtre.
Il fallait ensuite grimper à l’étage, grâce a des grappins qu’il aurait posé avant la soirée. Tout cela sans être pris et ensuite aller dans la chambre du comte sans faire de bruit, prendre l’argent et filer. Le plan était prêt, il fallait attendre l’évènement.




Et l’évènement arriva ! C’était l’heure, et Keops, d’un pas sûr et alerte s’engouffra dans le grand jardin du conte de Kariols. Des invités étaient déjà là pour faire leurs intéressants, des bourgeois critiquaient à haute voix la tenue de l’un ou de l’autre … Mais Keops se fichait bien de ces remarques désobligeantes ! Ces habits n’étaient, certes pas riches, mais correct, sans trop montrer son rang ! Il rentra donc dans ces lieux. L’entrée était grandiose : Un grand escalier faisait face, de marbre avec de grands tableaux représentant les différentes guerres des Eglises. Prêt de cet escalier, des valets avaient placé des coupes de verre en cristal qui contenaient sûrement du champagne. Vers la droite se trouvait le salon de réception, là où les invités se faisaient annoncer ainsi que dans l’antichambre de discussion et autres blabla.
Keops donna son invitation au valet qui se trouvait devant lui. Ce dernier se retourna et cria :
-(Valet) Le Vicomte de la Bourfelie !
Keops pénétra dans ce salon et commença à s’avancer. Plus il avançait, plus il entendait les différentes conversations.
« Les affaires vont bien, mon cher Paul ? » « Le comte est devenu très puissant » « Quel faux-cul ce comte … » « Très bon ce champagne, ma chère ! » « Quand arrive donc le comte ? »
A cette dernière phrase, Keops ralentit pour entendre la réponse.
« Il ne devrait pas tarder, Monsieur de Rougetterre » répondit le valet le plus proche.
Il ne fallait surtout pas se faire remarquer et rester le plus discret possible. Il s’avança donc pour prendre un verre de champagne mais dès qu’il la prit, les violons se mirent en marche… et on vit rentrer le comte.
« Monsieur le comte de Kariols » annonça le valet.
Tous les invités saluèrent le comte, et finirent par l’applaudir.
-(Le comte) « Merci, Merci, je suis heureux de vous voir tous réunis, ici, chez moi. Sachez qu’avant mon arrivée, la ville était dirigée par des incapables, les commerçants étaient des escrocs, les rues, remplies de filles publiques, et les voleurs rongeaient cette si belle ville ! Mais grâce à moi, cette ville a retrouvé sa tranquillité d’antan. Les rues sont propres, la sécurité règne et les voleurs et les escrocs sont « traités » afin que la vie reste avant tout calme et paisible. Mais sans votre soutien, je n’y serais peut être pas arrivé, donc je lève mon verre à votre participation morale !»
Il prit une coupe et l’avala cul sec ! Les invités applaudirent pendant un long moment. Pendant tout ce discours, la haine avait envahit le corps de Keops, il était resté là, le point serré, près à frapper, les ongles étant rentrés dans la paume de sa main.
Mais peu après le discours, le brouhaha, reprit et tous les invités allèrent saluer un par un le comte : « des lèches bottes quoi !» Pensa Keops. Mais il du faire de même pour ne pas se faire remarquer. « Un mauvais moment à passer.» Se dit Keops !
Il se dirigea vers le comte d’un pas sûr.
-(Keops) Monsieur le comte, votre soirée est vraiment magnifique ! Encore bravo.
-(Conte) Merci… Monsieur ?
-(Keops) François, Vicomte de la Bourfelie, et j’ai beaucoup aimé votre passage sur les escrocs.
-(Conte) Et bien Monsieur le Vicomte, ces soi-disant « artisans indépendants » seront bientôt matés par la concurrence !
-(???) Mais vous n’avez pas peur de représailles ?
Keops se retourna pour voir qui parlait et il reconnu la personne qui avait parlé, juste avant l’arrivée du comte.
-(M. de Rougetterre) J’ai entendu dire que certains voleurs vous avaient prit pour cible.
-(Comte) Vous voulez parler de ce fameux Leops je crois ? Monsieur …
-(M. de Rougetterre) Monsieur de Rougetterre, Monsieur le comte ! Et ce n’est pas Leops mais Keops ! et d’après le "dragon déchainé",c’était le fils d’un ancien forgeron de cette ville, l’un de vos premiers « escrocs » …
Le comte mit un temps a répondre, semblant observer la personne qui avait osé le contredire. Mais il sourit et lui répondit :
-(Comte) Ils ne proposaient que des prix exorbitants et ne finissaient jamais le travail demandé à temps. Ils n’ont eu que ce qu’ils méritaient.
-(Keops) La mort permet de détruire des adversaires !
-(Comte) Je ne les considérais même pas comme des adversaires mais plus comme des escrocs !
« Rien que cela ? Il les a tué parce que pour lui, c’était des escrocs. Il les a tué juste POUR CELA ? » La rage envahissait peu à peu Keops, elle partait du cerveau pour arriver rapidement jusqu’à chacune de ses terminaisons nerveuses, totalement tétanisées. Il devait partir pour se retenir et c’est de justesse ce qu’il fit.
Le moment était venu pour lui d’accomplir son plan.
Il demanda à un valet « Où sont les toilettes, ici, laquais ? », Le jeune homme lui indiqua et Keops suivit la direction indiquée !
Arrivé aux toilettes, il se déshabilla et enleva ses habits pour laisser place à une tenue plus aisée pour courir. Il sortit donc par la petite fenêtre, et prit le grappin, caché dans les fourrés. Il fallait envoyer le grappin sur le balcon du comte. Premier essai… foiré, mais pas le deuxième ! Il se dépêcha de monter et prit soin de reprendre le grappin avec lui. Il se dirigea vers la fenêtre et y fractura un carreau sans trop de bruit. Il s’introduisit dans la pièce noire. Elle n’était pas aussi grande que ce que disaient les plans. Elle contenait un grand lit et devant lui un coffre. Près de la porte, un très beau bureau où le comte devait sûrement cacher toute sa paperasse. Le plus important pour Keops, c’était la vengeance. Qui rimait pour lui avec argent !
Il ouvrit donc le bureau pour y trouver des renseignements. Mais rien, derrière les tableaux n’on plus. Il regarda le coffre et à sa grande surprise, un autre coffre y était caché !
Il décida donc de crocheter la serrure. Cela lui prit du temps, mais il parvint à ces fins.
Alors qu’il commençait à prendre tout cet or, un cri suraigu se fit entendre!
C’était un cri de femme ! Dans une autre chambre pas loin ! D’autre voix se firent bientôt entendre ! Il rassembla rapidement ses affaires mais il prit soin de laisser un mot sur le coffre : « Et avec ceci, est morte l’adolescence de Keops. » Il redescendît alors du balcon et s’apprêta à s’enfuir quand soudain une main l’en empêcha !
-( ??? ) Pas par là !
Keops se retourna et tomba nez à nez avec M. de Rougetterre
-( M. de Rougetterre) Ils ont fermé le portail, si tu va par là, ils te prendront, Keops
« Ainsi, il connaissait mon nom »
-( M. de Rougetterre ) Ne me demande rien, fonce derrière moi, va au fond de la propriété, là-bas, tu trouveras un trou qui permet à un homme de passer, prend le et fuis !
-(Keops) Qui me dit que ce n’est pas un piège ?
-( M. de Rougetterre) On en se dénonce pas entre confrère !
Cet argument faisant basculer la balance, Keops prit son courage à deux mains et commença à courir avec l’or du comte sur son dos.
-(Keops) Qui es-tu donc ?
M. de Rougetterre le regarda et dit :
-( M. de Rougetterre ) Mes amis m’appelle D'Alcoy
Juste après cela, Keops s’enfuit, riche et surtout vengé !
Il apprit par la suite, que D'Alcoy est un des très grands voleurs du pays, mais il avait ses caractéristiques : c’était avant tout un gentleman qui ne volait pas les dames !
Grâce à lui, l’histoire ce finit ici, ainsi que la légende de Keops le molosse !

c'est beaux ....

Ralckor a écrit:

c'est beaux ....

J'espère que vous ne pleurai pas tous ! ^^

NOUVELLE CHRONIQUES : RACKLOR
CORRECTEUR : WORD !!

Livre : « Les grandes énigmes des races ! »
Relevé n° 169878BZLOPS
Scribe : Oliplas !
Personne interroger :Loknas : Guerrier Nain !
EMPRUNT N° 2133001

Racklor et son extraordinaire histoire !

Pour certaines personne, ce nom est totalement inconnu, comme pour la plupart des gens, mais pour certains, c’est avant tout un guerrier, un véritable cœur, et surtout un très bons amis ! Et pourtant, Racklor ne peut pas dire qu’il avait été gâter par la vie : Racklor a pour seul et unique défaut être un orogue : Un semi-homme et semi-orc. Son physique est donc repoussant et il pourra faire peur à notre belle population malgré son comportement : Angélique ! Je vais vous compter donc son extraordinaire histoire, selon ces dires et selon ces mots !

Avant tout, je vais commencer … par le commençemant : sa naissance et le pourquoi de sa naissance !

La mère de Racklor était une jeune fille de 18 ans du nom de Léa. C’était une jolie fille humaine, une fille de garde et d’une fermière, elle a été élever en temps de paix et par des parents gentils et attentionnés ! Elle fut élever dans un petit village, dans la banlieue d’une grande ville prospère : Mander Alkor !
Léa était la plus belle du village et sûrement de la ville, malgré qu’elle n’y soit jamais allée, elle était peut être pas chic, mais son visage et ses attitudes sentaient le bonheur !

Cette ville n’avait qu’un seul et unique but : Avertir Mander Alkor de l’arrivé d’éventuels ennemis comme des orcs ou des armées voisines. Pourtant ce petit village était paisible car les temps étaient bons, les voisins étaient plutôt calmes et négocier avec la ville pour des richesses et non pour des territoires !
Pourtant un soir, ce fut le drame.

Le village était situé dans les hauteurs des montagnes qui entourent Mander Alkor !, Et en cas d’alerte, le feu de la plus haute tour devait luire pour avertir la cité ! Mais la ce n’était pas la cité qui brûlait mais c’était plutôt le village entier qui cramaient. En effet, pendant le nuit, une petite troupe d’orcs costauds s’étaient approchée silencieusement vers la petite communauté, pour finalement pénétré en brûlant tout sur leur passage. Les orcs, affamés, décidèrent de ramener des provisions, en kidnappant les habitants. Léa faillit connaître le même sort, mais non … elle connut pire :
Les orcs n’étaient pas qu’affamé, ils étaient aussi seul, sans femmes, et jeunes ! Ils décidèrent de laisser en vie mais Léa dut assouvir le supplice pour une femme : Le viol par toute cette bande de Zouave !
Après ce macabre moment, les orcs devaient partir sous peine de ce faire tuer par le peu de l’armée de Mander Alkor. Léa fut donc ramener, soignée et nourris par l’armée. Elle fut engagée comme infirmière, dans l’armée ! Le calvaire n’était pourtant pas finit : Elle perdit les goûts de vivre, de se faire belle, de faire rougir tout les jeunos de cette belle ville : Elle était tombé … tombé enceinte ! Quand l’armée le sut, il en déduisirent qu’elle attendait non pas un beau et grand humain dans toute sa splendeur, mais belle et bien un orc !
Elle fut immédiatement renvoyée et elle retourna la, où tout commença : La rue ! Elle accoucha donc dans l’indifférence et dans l’oubli. Elle appela son fils Racklor, ce qui signifie Espoir en langage vulgaire orc ! Elle fit la manche avec son rejeton, mais elle ne gagner même pas assez pour deux !
Pourtant un jour, un homme s’avança vers elle et la reconnu, c’était un riche bourgeois qui avait traité avec son père, il lui proposa de venir avec lui pour ‘travailler ‘ pour lui …
La, aussi, la pauvre … elle ne fut que duper ! L’homme n’avait pas rien dit sur lui et surtout du travail … C’était un bourgeois qui ne recherchais tout simplement une femme et surtout une belle femme ! Il fit donc « remettre en état » la belle demoiselle et la-fis devenir, à son insu Madame !
Elle ne fut pas bien traitée, elle n’avait pas 20 ans qu’elle était déjà battu et régulièrement violer par son « bourgeois » de mari, elle ne manquait pourtant de rien et elle essayait d’élevé son enfant. Pourtant le père, voulais certes un enfant, mais pas un enfant d’un autre et encore moins un orogue ! Il proposa le pire des pactes :
« Ma chère, si vous voulez garder cette vie, cette belle vie, vous devez laisser cette « chose » ou alors .. La rue est toujours a votre porte.. »
Elle ne voulait pas laisser son enfant, elle l’aimait mais elle ne voulais pas retourner dans cette vie ! Cette pauvre vie : Une vie misérable !
Elle prit donc ces renseignements, elle rechercha une personne dans Mander Alkor qui serai capable de garder Racklor . Elle finit par trouvé, pas une personne, mais une ville Orogue …
Les orogues ne sont pas méchant entre eux, et ils sont gardiens de nos prisons ! Il s’aide mutuellement ! Elle envoya donc une lettre à la ville avec dans un petit paquet : le petit Racklor ! Il avait 2 ans !

A SUIVRE !

pfsm999 a écrit:

...
M. de Rougetterre le regarda et dit :
-( M. de Rougetterre ) Mes amis m’appelle Dalcoy
...

hé mais c'est moi, merci mon petit PFSM ma naine m'en avait parlée mais en le voyant ca rend mieu...

merci

*pars en courant dans touss les sens*
je suis une staaarrr oéééé

DAlcoy a écrit:

pfsm999 a écrit:

...
M. de Rougetterre le regarda et dit :
-( M. de Rougetterre ) Mes amis m’appelle Dalcoy
...

hé mais c'est moi, merci mon petit PFSM ma naine m'en avait parlée mais en le voyant ca rend mieu...

merci

*pars en courant dans touss les sens*
je suis une staaarrr oéééé

Euh peut être pas une star mais bon ...
Oui c'est toi qui m'a donné l'idée de la chronique donc pour te remerçier je t'ai mit dedans ... (LA CHRONIQUE !!)
Et encore merci Aleph !

magnifique ta chronique mais il y a juste une erreur on a dut mal se comprendre un orogue est un orque noir d'ombreterre et non un demi orque
la différence avec les orques "normaux" est une plus grand force et une intelligence comme celle des humains .... à moins que le mot orogue a changer dans reflet d'acier ?

enfin quoi qu'il en soit elle est trés bien

LA SUITE !

Racklor ne fut pas mal reçus, bien au contraire ! Mais avant de continué, je dois vous faire une description de cette ville et de son "gouvernement".

D’après les différentes descriptions de Racklor cette ville était une grande ville « prison » elle avait de très grandes murailles ainsi que des tours de gardes extérieures et intérieures. Cette ville devait regrouper tout au moins plus de 4500 âmes dont 3000 étaient avant-tout des humains, des « skulaks » qui veut dire en langage orc, des esclaves. Cette grande forteresse, accueillait non pas les cas désespérer mais au contraire, les petits crimes : voleurs, prostituées, personnes jugées comme inaptes à la vie en société. Mais tous ces gens étaient pourtant condamnés à la perpétuité !
Cette cité possédait une grande place où les orogues circulait, où les enfants apprenais l’histoire de cette ville ainsi que l’étude leur langue ! Où les marchants vendaient leur nourriture !
Cette ville possédait une organisation très fondée, elle avait un gouvernement. Tous les humains pensent que les orogues sont dénué de tout intelligents et qu’ils sont avant tout barbares ! Mais d’après Racklor, plus des 1/3 des orogues était intelligent et plutôt doux !
Ce gouvernement était donc composés des plus intelligents orogues, ils faisaient régner l’ordre certes à leur façon mais avec l’aide des militaires humains de la ville la plus proche dont j’ai, hélas, oublié le nom !

Je reprends donc mon histoire … Racklor fut donc accueillit parmi les Orogues, il fut donc instruit par eux mais son éducation fut faîte par des humains comme le demandais sa mère. Elle avait écrit de sa main :

Chers Orogues,
Accepter cette enfant parmi-vous, c’est mon unique bien, mon unique intérêt de vivre, et je ne veux pas qu’il connaisse la rue et la vie sans famille. Apprenez-lui la vie, la vrai, celle que je ne pourrai pas lui fournir. La seule chose que je demande, c’est que mon fils, ai une éducation humaine.
En vous remerciant, LEA
PS : En espérant que ce sera suffisant …

Pour Racklor, c’était l’unique don de sa mère : Cette lettre. Racklor avait bien grandi : il avait maintenant la majorité humaine ! Il était sûrement beau pour sa race mais pour les humains, ce n’était plus le petit bébé tout vert mais bien un grand orc qui semblait terrifiant. Mais Racklor n’était pas dur, brutal, et dominant, bien au contraire. Ces amis n’était pas des Orogues mais bien des prisonniers. Racklor alla donc comme tout les matins, sur la place de la cité qui s’éveiller pour voir le grand prêtre Orogues : Léonikras . C’était le sage de la ville, professeur personnel de Racklor ! Il lui avait apprit toute l’histoire des Orogues, des orcs et des humains … Il lui avait à faire la différence entre Orogue à tendance « humaines » et un Orogues à tendance « orc » !
(Leonikras) « Tu sais Rak’ … ce sont les sent’ments qui rend un Orogues d’fferents des orcs. Si un orc a le plus petit sent’ments envers un de ces camarades, ou s’il ressent quelque chose sur un t’uc (truc) c’est un Orogue ! N’oubl' pas ça Rack ! »
Racklor ria ! Car depuis sa naissance, il n’avait cesser de rire de tout ! Il adorait ce sentiment ! Il adorait rire de tout et surtout de rien ! C’était indispensable !
Et pendant tout le restant de la journée, Racklor apprenais. Il apprenait la musique humaine, il apprenait le maniement et le combat au corps à corps , il apprenait quelque t’uc d’orc et d’humain ….
Racklor se décida à rentrer comme tous les soirs, au moment où la « boule » (le soleil) descendait pour faire apparaître le « no’r »(nuit)
Pourtant, il rentra chez lui. Tout était silencieux. Ce qui n’était pas normal pour Racklor, il manquait sa bonne, qui servait aussi bien d’éducatrice, cuisinière et surtout femme de ménage chez un Orogue.
-(Racklor) Skiki ? (Madame ?) SKIKI ??
Pas de réponse, il se dirige vers le centre de son baraquement et vit le vielle, gisant sur le sol !
Elle n’avait pas 50 ans mais elle était là … morte dans une maison, oublié de son monde, de sa race, de tous ! Mais pour Racklor, se fut pas une simple perte. Il ressentit une douleur arriver au niveau de l’estomac. Son cœur accélérait, son esprit s’embrouiller. Il sentit quelque chose sortir de ses yeux. Et pour la première fois il pleura ! Il découvra pour la première fois un sentiment lourd : La tristesse.
Il ne mangea pendant plus de 5 heures (ce qui était pour un Orogue énorme !) Il ne voyait pas la vie d’un même angle et il n’aimait pas sa découverte ! Son sentiment l’avait fait pleurer et surtout réfléchir !.
Il décida d’enterrer sa bonne dans son jardin, c’était pour elle, son endroit préféré !

15 jours plus tard, il signala à son maître la mort de sa bonne et qu’il désirai en avoir une nouvelle. Il ne savait pas encore se débrouiller à la cuisine et encore moins pour les taches ménagères.
- (Leonikras) S’ra fait mon p’tit !
Et en effet quelques jours plus tard, Racklor vit arrivé chez lui une jeune fille humaine, belle, souriante devant Racklor
-(Racklor) Skiki ? Comment toa tu t’appelles ?
-(Fille) Je m’appelle Marine, monsieur et je suis à votre service !
Racklor observa la fillette. Elle était petite, sûrement moins d’1m 80, elle était bonde, aux yeux noisette. Elle avait un beau corps bien proportionner (d’après moi ! ) Elle avait le visage fin et surtout un magnifique sourire ! Elle n’étoiler tout correctement, elle cuisinait et préparait les lessives.
-(Racklor) Toa Mar’ne, tu peux m’apprendre à tout faire ?
La fille ria mais sourit. Elle n’avait sûrement jamais imaginer qu’un Orogue lui demande un jour à lui apprendre à faire les taches ménagères. Elle y passa toute la semaine d’ailleurs, à lui expliquer comment se débrouiller avec les poêles, l’entretien du feu et de la maison ! Racklor fut rapidement changé, il passa en peu de temps en Orogue simple à un Orogue maniaque de la propreté, sachant cuisiner, et faire les taches ménagères.

Y'a pas à dire, t'as vraiment du talent.

(Soit dit entre nous, ton talent n'est pas très bien répartit entre ton imagination et ton orthographe )

drazevalex a écrit:

Y'a pas à dire, t'as vraiment du talent.

Mais ....

Citation :

(Soit dit entre nous, ton talent n'est pas très bien répartit entre ton imagination et ton orthographe )

Ohh sa va !! J'ai comprit
Mais je t'en prit Drazevalex : Corrige moi !!
Oh OUI Va-y..... PLUS FORT !!!

Il est vrai que tes chroniques sont pleines de bonnes idées.
C’est vraiment délectable

sans vouloir dénigrer ta prose, n'y aurait-il pas là, un soupçon d'inspiration venant des Chroniques De La Lune Noire?

splendide
ho rhavin cette chronique est inspiré du BG d'un de mes persos et franchement ..... c'est beaux

rhavin a écrit:

N'y aurait-il pas là, un soupçon d'inspiration venant des Chroniques De La Lune Noire?

Et bien oui et non ! Mon imagination est assez débordante ! Mais des foix, il y a des pannes ... j'ai beau reflechir des millers de fois, je ne trouve pas.
Et je me met a lire : BD livres codex magazine fantastique pour trouvé : l' idée !
C'est ce que j'ai fait pour cette chronique mais c'était juste le début qui été inspirée, la suite est totalement de moi !!

Citation :

franchement ..... c'est beaux

Et bien ravie que cela te plaise !

LA SUITE :

Pourtant, il remarqua quelque chose dans cette personne, elle avait de la grâce, elle était gentille et elle était belle. Voir très belle, avec sa peau bronzée, ces jambes musclées et douces, ces gestes si gracieux, et surtout son humour toujours décalé :
« Ce n’est pas avec un caleçon sur la tête que tu arriveras à plaire mon grand !» *RIRE*
Il rougissait quand elle se moquait gentiment de lui ! Mais de temps en temps il lui répondait :
« Et Toa, ce n’est pas avec tes manches (balais) que tu va aller fl’rter (flirter) »
Il était devenu plutôt complice. Le rapport maître/esclave avait totalement disparu. Il s’entendait bien, il s’entraidait !
Et elle n’hésitait pas à l’emmener avec lui chez elle pour l’aider à déménager un truc lourd ou autre chose...
Elle le présenta à sa « famille » (couples d’esclaves amis mais tellement proche les un des autres qu’il se considérer comme une famille) et a son « fiancé » (Ils furent arrêté pour vol de légumes sur la place du marché mais Marine avait toujours nié) et à la surprise de tous, Racklor ne fut pas dominant comme les autres Orogues, il fut au contraire courtois, gentils et surtout gênée de rencontré la "famille" de Marine : Il se sentait « de trop » comme il disait. Mais les esclaves ne l’accueillerent pas mal et bien au contraire, ils étaient ravis de voir un Orogues courtois avec eux ! Ils l’invitèrent donc à souper chez eux.
Et c’est à partir de ce jour que Racklor prit enfin conscience que les esclaves étaient pour la plupart des êtres normaux et des êtres surtout non coupable ou coupable de crime si ridicules …
Leurs mains étaient pourtant rongées par le travail demandé, la peau était criblée de fouet fait par plusieurs Orogues exigeants ! Leurs peaux gorgées de soleil étaient si fatigué et parfois sur les os ! Il remarqua aussi que les esclaves n’avaient pas d’enfant, aucun petit "être" de leur race. Pourtant les enfants Orogues ne manquaient pas dans cette ville. Il oublia rapidement ce détail !
Il rentra donc chez lui.
Le lendemain, Racklor remarqua quelque chose d’anormal dans le comportement de Marine, Elle avait peur a chaque fois que Racklor lui faisait des blagues, des remarques !
Elle tremblait de partout, elle avait des sueurs partout, elle ne parlait plus …
Racklor demanda donc :
(Racklor) Skiki ? Kesski ce passe ?
(Marine) RIEN ! ... non rien !
Elle rentra donc le soir après avoir fait le dîner de Racklor, et ce dernier décida de suivre Marine. Elle rentra chez elle à toute vitesse ! Et elle appela son fiancé.
Racklor entendit une petite partie de la conversation :
« Tu en es sur ? »
(Marine) Oui je le sens, il tape dans mon ventre !
« Mais … c’est magnifique ! »
Un silence pesant s’installa, et Racklor comprit que le fiancé réfléchissait, il était sûrement fou de joie, il allait avoir le plus beau évènement de sa vie : Il allait devenir père !
« Mais comment allons-nous le cacher cet enfant car s’il les Orogue le découvrent, ils nous tueront pour ce que l’on a fait. Il faut que tu t’éloigne un peu de Racklor »
(Marine) Racklor ne nous trahira pas...Il ne peut pas.....
« Racklor est peu être gentils et courtois mais il ne peut nous défendre et il peut le remarquer plus rapidement que les autres ! »
Racklor entendit et décida de rentrer, la porte s’ouvrit à la volé et se referma aussitôt.
(Racklor) Skiki ? Toa avoir un bébé ?
(Marine) Euhh …. Oui Racklor ….. Je vais ….
(Racklor) Toa avoir de la chance, moa être heureux pour toa !
Racklor se précipita et serra dans ces bras Marine et son fiancé !
(Racklor) Moa vais vous aider ! Moa trouver un plan !
Racklor décida de rentré chez lui et alla le lendemain voir son sage !
(Racklor) Leonikras, Moa vouloir partir !
(Leonikras) Pourquoi, toa voulo’r partir ?
(Racklor) Moa vouloir visité la boule (la planète) Moa vouloir voir les autres !
(Leonikras) Moa te comprendre, Moa j’ai visité une part’e de la boule ! c’est très gros et grand, Moa demander à chef si toa pouvoir partir
(Racklor) Moa vouloir partir avec Marine et quelques « skulaks » (esclaves) !
(Leonikras) Tu n'aimais pas Marine ?
(Racklor) …
(Leonikras) Les Orogues peuvent partir mais les esclaves, je sais pas ! Moa demander ce soir à chef !
Racklor attendit avec impatience la réponse et n’il ne dit rien à Marine de ces projets.
Leonikras vint voir le lendemain matin Racklor dans sa ‘maison ‘ La réponse fut brève !

(Leonikras) Moa avoir parler avec chef et il dit que Toa peux partir avec Marine et des "skulaks" tant que sont pas considéré comme dangereux !
(Racklor) Merci Leonikras, Moa vais partir aujourd’hui !
(Leonikras) Racklor, toa a été un très bon élève, toa doit découvrir la boule ! Revient voir ton maître de temps en temps !
(Racklor) Merci maître !

Racklor se précipita voir Marine pour lui annoncer la nouvelle. Racklor entra dans la maison et demanda où était la belle Marine
« Dans sa chambre …. Elle dort dans son… »
Il n’eu pas le temps de terminé sa phrase que Racklor était déjà dans la chambre !
(Racklor) Criant Skiki ? Skiki ??
Marine bougea dans son lit mais ne se réveilla pas . Elle avait les cheveaux décoiffer, et le ventre à l'air... La couverture recouvrais ces parties, et ses seins. Elle semblait avoir froid !
(Racklor) SKIKI !
Marine se réveilla en sursaut !
(Marine) Ra… (Se frottant les yeux) Racklor mais que fait tu ici ?
(Racklor) Racklor a bonne nouvelle pour Skiki ! Skiki et mari peuvent partir avec moi
Marine n’avait pas comprit, elle venait à peine de se réveiller , et son cerveau n’avait pas comprit !
(Marine) Partir ? Mais partir ou ?
(Racklor) Partir d’ici Skiki, PARTIR D’ICI !
Le Tilt se fit dans le cerveau de Marine et de celui de son fiancé ! Elle sauta dans les bras de Racklor.
(Marine) Ohh Merci Racklor Merci …
Elle pleurait à chaudes larmes, sûrement dut à l’émotion.
(Marine) Mais quand partons-nous ?
(Racklor) Maintenant ! Que toa et ton mari se prépare, on va y aller !
L’effet fut immédiat ! Elle et son mari.

Quelques heures pour tout préparer et le couple et Racklor étaient prêt pour prendre la route pour sortir par la grande porte de la ville « prison ».
La famille de Marine était la. On aurai put penser que les couples seraient jaloue de cette oportunité mais bien au contraire, il chantaient et dansaient en embrassant chaleureusement la belle et son fiancé ! Racklor ne fut pas epargné ! Tous le félicitèrent de ce plan ! Et pour la première fois, Racklor sentit la fierté monter en lui, un sentiment si beau ... Il se sentait fier ! Il rebomba son torse en annonçant :
(Racklor) Il faut part'r ! Skiki ?
Ils se dirigèrent tout les trois vers la grande porte !
(Un garde humain) Alors c’est toi Racklor qui veut partir ?
(Racklor) C’est moa !
(Un garde humain) Vous pouvez passer mais je vais dire deux mots a vos esclaves !
Le gardien s’avança vers le couple
(Garde humain) Si vous quittez Racklor sans son accord, vous serez rechercher pour « Trahison ».
Le couple confirma et le groupe se dirige vers un lieu qui s’appeler la liberté !
Et c’est ainsi que Racklor laissa le couple amoureux dans Mander Alkor. Et que Racklor commença sa longue vie en solitaire !

Note l'éditeur :
J'ai trouvé ... enfin la fin qui irait avec le personnage de Racklor ! Et franchement c'était dur car il fallait que cela colle ! j'ai fait cette chronique avec la musique de Toxicity dans les oreilles (vive système !) et franchement je ne voyais que cette fin la !
Voila en esperant que cela vous a plus
Je me consacre maintenant a une chronique sur les Voliens !
Déjà trois pages !!

*bave en attendant la prochaine chronique*
hummmm ça sent l’histoire captivante a plein nez, superbe la fin

*Bave sur le clavier voyant tout le boulot que me donne cette chronique !*

Content qu'elle ta plu ! Tu as maintenant une histoire a accroché à ton pseudo !

Je viens de copier toutes tes chroniques... pour éventuellement, peut-être, faire une ou deux illustrations ! Comme je ne les ai pas encore lues, je réserve ma critique pour plus tard ! En tous cas, tu as l'air de pas mal avoir planché, bravo !

Et une nouvelle chronique

La création des arquebuses
Récit du nain : Dromik
Année 5468

Je suis Dromik, nain jeune de 249 ans, je vais maintenant vous compter l’histoire de la création des arquebuses, célèbre arme nanesque, réputer dans le monde entier et redouter par tous par sa grande précision ! Vous vous demandez sûrement « Mais qui suis-je pour vous parler d’une arme ? » Et bien cette arme me passionne et me passionnera toujours, ce n’est pas ma création mais maintenant c’est ma vie comme mon frère, Prèkris qui est, lui le créateur de cette magnifique arme. Cela remonte à l’an 5320.

Cette année fut belle et grande pour nous, les nains. Pas de guerre, pas de conflit, pas de taverne incendiée le jour de la « sainte alcôve »*, bref rien qui puisse empêcher notre belle et grande tranquillité. Notre commerce marchait bien, les elfes achetaient à prix d’or des cotes et des armes, pour leurs seigneurs, les humains acheter du matériel et acheter aussi des « formation » pour devenir forgeron ! Ces formations étaient très difficiles et surtout très chère. La vie était belle dans notre royaume, et surtout dans notre petite ville de Grallplos, la ville de mon enfance. Elle était un refuge de nain, elfe de passage et surtout Zorlims, qui étaient pour la plupart chassé des villes humaines et recherchées par les « débile en toge et bure blanche »*.

C’est dans cette ville que tout à commencer. J’avais cent et une année à l’époque, un jeune nain frais et dispos. Je vivais encore dans le refuge familial, avec ma mère, Kiriko, et mon père, Kukos, mon père était forgeron, peu connu mais heureux de pratiquer son art ! Mes parents ont encore aujourd’hui une fille Laeskis, l’aînée, Prèkris, et moi le petit dernier !
Prèkis et moi n’avons que 2 ans d’écart, ce qui nous a permis forger entre nous un lien plus solide que tout : il compte sur moi comme je compte sur lui ! Nous avons aussi un Zorlims, Moïsos, que mes parents avaient recueillit quand j’avais à peine 20 ans. Je le considère comme l’un de mes meilleurs amis, un être qui peu certes paraître effrayant et démoniaque à la première approche, ayant un physique difficile, une véritable peau de démon, un visage rouge et qui peut faire peur, mais ces « créatures » ne sont pas méchantes, tout le contraire !

Mais revenons à notre histoire !
En cette année, un grand concours occupé tous les forgerons de la région. Ce concours disait, mot pour mot ceci :



Des dizaines et des dizaines d’affiches affichées dans tous les recoins, dans les rues, les bâtiments publics, et même dans les tavernes ! Et comme moi et mon frère et moi, y étions pendant toute la sainte journée ! Pour bouffer et se boire une quinzaine de pintes de bière blonde naines. Les forgerons, dés l’affichage des écriteaux, se mirent aux travails, mais mon frère et moi n’étions pas du tout tenter par ce concours.
Pourtant un soir, notre avis changea … enfin … le mien ne changea pas …. Mais celui de mon frère changea d’une façon …. Mais cela est une autre histoire qu’il me faut vous compter !
Un soir, dans la taverne, mon frère demanda à la serveuse une nouvelle bière. Cette serveuse était une très belle naine au doux nom de Kemela, et nous l'appelions « la douce aux bras de fer »* ! Une naine aux cheveux roux tombant jusqu’aux jambe, un visage d’ange aux yeux vert. La voix douce et hypnotisant et surtout ... une paire de …. ! Elle faisait tomber tous les nains de la région. Je savais que mon grand frère avait des vues sur la belle donzelle ! Il ne faisait que l’observer et ne disait rien, trop timide face à la beauté réincarnée !
Revenons à notre histoire, Elle arriva avec nos 5 pintes de bières naines :
(Kemela) C’est cinquante pièces de bronze, les garçons !
(Dromik) Merci ma belle !
Je sentit un petit coup de pied discret de mon frère sous la table !
(Kemela) Dites mes nains chéris, vous allez faire se concours ?
(Dromik) Non pas pour moi, moi je n’aime que ma ville, et je ne désire pas cette somme !
(Kemela) Et toi Prèkis ?
Mon frère rougit et fit un petit sourire et balbutia :
(Prèkis) Euh … non … pas … intéressé …
Cette fois se fut moi qui fit un coup de pied à mon frère
(Kemela) Tu n’es pas intéressé ? Dommage mais en tout cas, Loppet* a déjà commencé …
(Prèkis) Ce nul ? Il va s’inscrire ? Je ne laisserai pas ce nul gagner, JE M’INSCRIS !
(Kemela) Ah tu change d’avis ? C’est bien, on va pouvoir ce voir alors, je vais avec Loppet à Karka of Karik pour l’encourager !
(Prèkis) Tu … Tu l’accompagne ?
Kemela sourit mais finit par soupirer
(Kemela) Oui, … mes parents m’ont obliger d’y aller avec lui …
Un petit silence s’installa … je ne pouvais que sourire bêtement ! Entre Loppet et Prèkis, c’est une véritable histoire d’amour :
Mon frère avait voulu inviter cette belle au bal de fin d’année, mais Loppet avait été le premier, Loppet aurait bien voulu gagner contre Prèkis au concours de bière, de la « sainte alcôve » mais il n’a pas perdu de beaucoup … juste de 20 pintes de bière ! Kemela c’était jeter au coup de mon frérot ! Et depuis Loppet et Prèkis se font la guerre pour la belle Kemela !
Dés qu’il sortit de la Taverne, il me prit à l’écart et me fit une demande :
(Prèkis) Il faut que je gagne Dromik, il faut que je gagne à ce stupide concours !
(Dromik) Je l’avais comprit !
(Prèkis) Je sais que tu ne veux pas participer au concours, mais par contre pourrais-tu m’aider et m’accompagner à la construction de mon arme !
(Dromik) Tu as déjà une idée ?
(Prèkis) Tu ne m’as pas répondu
(Dromik) Oui je viendrais !
(Prèkis) Oui j’ai une idée, mais je ne veux pas t’en parler, je veux te garder la surprise ! Mais par contre, il me faut du bois et du fer, ainsi que du plomb, et quelques pépite d’or et de la peinture dorée ! Pourrais-tu m’apporter cela pour demain après midi ! Je vais travailler ce soir et demain matin sur les plans de mon idée !


[ A SUIVRE !]
->La sainte alcôves est une fête naine sur la bière ! Elle est très populaire chez les nains mais connaît une mauvaise réputation pour les taverniers !
->Le nain sous-entend les prêtres de l’Eglise humaine !
->Les naines sont mignognes mais costaunes. La plupart des jeunes naines ont une très belle voix, elles chantent et dansent d’une manière très sensuelle : Nos amis nains n’en sont pas indifférents
->Loppet …. Il faut prononcer le « t » ! D’où espèce de Lopette !
PFSM999