(RP) Descente aux enfers

- Bien... Nous allons donc maintenant pouvoir partir...

Le groupe quitta la grotte et marcha tout la journée à travers les montagnes sous un soleil écrasant. Le soir venu, ils montèrent un campement, et repartirent à l'aube...
Le soir du cinquième jour, ils arrivèrent enfin à bout des montagnes...
Devant eux s'étalait une grande plaine, et selon la carte, cinquante kilomètres plus loin, une ville de deux milles cinq cents habitants.
Ils préparèrent donc leurs tentes une nouvelle fois, pensant chacun à ce qu'ils allaient faire dans cette fameuse ville...

[Hrp] Puisque personne ne poste je fais continuer le scénario [/Hrp]

La traversé des plaines se fit sans encombre, mais sous un soleil écrasant. Beaucoup râlèrent, mais la perspective d'une prochaine ville leur fit tenir le coup.

-Tout de même, c'est dommage que Vil se soit fait attrapé par les orks...
-Je l'avais prévenue...
-On en sait rien... On aurait du l'attendre !
- Vous savez bien ce qui est écrit dans le contrat... Pas de temps à perdre malheureusement... Il faudra penser à recruter une autre personne...
-On en trouvera sûrement une un ville; nous sommes bientôt arrivés

On pouvait en effet discerner au loin les murailles de la ville...
Ils arrivèrent une vingtaine de minutes après aux portes de la cité, où un garde le fit payer un faible droit d'entrer...
Une fois en ville, il fallut décider d'une direction à prendre... Ils se donnèrent rendez-vous à la taverne principal de la ville, et se séparèrent seul ou en petits groupes...

En attendant, dans la taverne Vil attendait...
-Mais qu'ils sont long... J'aurais dû essayer de rentrer au campement en faites... Enfin, je me serais surement paumé avec mon sens de l'orientation...
Vil contempla sa choppe... Vide...
-Patron, une autre!!!!
Le patron lui resservit une bière, la dixième depuis le début de la journée...
Bon, jespère qu'il vont se dépêcher, parce que moi depuis le temps... J'ai pu un rond...
Puis il vida sa choppe d'une traite et se remit à fixer la porte...

Dès qu'il entendit prononcé le mot taverne, Félias se jeta affamé vers ce lieu fort fameux et mal famé. Arrivé à la porte de la taverne, il la poussa et entra dans ce lieu de débauche et de beuverie. Il s'apprètait à se diriger vers le comptoir lorsqu'il entendit une voix qui lui parut familère dire :

Patron, une autre!!!

Il tourna la tête et aperçut :

Le pâlichon ! C'est toi ! Non pas possible, on te croyait mort ! Dire qu'il y a encore quelques minutes je me demandais si on n'aurait pas dû rester au camp. En fait tu nous a précédés canaille ! Il rugit alors Patron un tonnelet de bière pour moi et un demi pour mon ami ! Mais il avisa soudain la quantité impressionnante de chopes amassée devant le vampire. Mais c'est que tu tiens bien l'alcool ma parole ! Tu sais que si tu voulais entrer dans l'armée, tu serais tout de suite promu capitaine ! Bon allez trève de plaisanteries. Comment es tu arrivé ici ?

Vil fut surpris de voir le guerrier arriver, en même temps il fut content...
-Tiens, enfin, voilà quelqu'un du groupe, depuis le temps que j'attends... Comment je suis arriver ici, bah on va faire cours, je suis allez chercher un peu de sang frais... Je suis tomber sur les orcs, j'en ai eu quelques uns... Ensuite un piaf ma trahi et ils ont su que j'étais près d'eux, petite précision, le piaf est morts, j'avais encore faim... J'ai donc décidé de me mettre a courir le plus vite possible, et je suis la depuis hier a peu près...
Puis il sourit et ajouta :
-Je pense, que les autres vont nous rejoindre ici pour boire une bière eux aussi... D'ailleurs, en parlant de bière, j'ai pu un rond, tu pourrais pas m'avancer de quoi payer les dix choppes que j'ai bu ici...

-Comment je fais pour me déplacer au grand jour? Je vais vous dévoilez là mon plus grand secret.
Vil s'approcha un peut plus de Felias et se mit parler a voix basse.
-C'est grâce a un artefact que j'ai... Emprunter a durée indéterminée a un riche seigneur... Enfin, il ne s'en sera sûrement pas rendu compte...Avant que vous me posiez la question voici l'artefact en question.
Vil sortit une sorte de crucifix, noir sur lequel était marqué une multitude de symbole, ce crucifix était accroché au coup de Vil. C'était donc une sorte de pendentif.

Après avoir parcouru les divers endroits qu'il jugeait intéressant, Soéliän marcha en direction de la taverne, ouvrit la porte sur une atmosphère habituelle remplit d'alcool et de rires gras. Il commanda une bière bouillante, avant de chercher d'éventuels compagnons qui seraient déjà arrivés...

La porte de la taverne s'ouvrit, un jeune homme entra, souriant au possible.

*Bien, bien, bien ! Je vais peut-être pouvoir trouver des compagnons dans cette taverne !*

Il entra d'un pas assuré dans la taverne mais la foule présente le fit trébucher.

-Aaaaahh !
Poumf, le jeune homme se retrouva étalé sur le sol
- Humm ...
Il se releva et tout en s'essuyant s'avança vers le tavernier, aucune émotion ne se transcrivait sur son visage.

*La hoooonte ... oui, ne te perturbe pas, qui pourraient être mes futurs compagnons ? Bof, personne de vraiment très impressionnant dis donc ... pas grave je m'en contenterai ! Tiens toi ... tu m'as l'air robuste*

Le jeune homme s'avança vers un grand homme d'aspect rude , visiblement du nord .

-Bonjour ! Que faites vous ici par cette belle journée noble guerrier ?

* Oups, j'ai fait une gaffe, bon allez, moins de rentre dedans, plus de diplomatie, tu peux le faire ... oui, l'auto-persuasion, ça au moins ça marche *

-Ohh, excusez moi, je ne voulais pas vous déranger !
Pour répondre à votre question, je cherche une compagnie d'aventurier dans laquelle me joindre ! Faites vous parti d'une compagnie ?
Je peux si vous le souhaitez revenir plus tard ...

* espérons que ça morde, pourvu qu'il dise oui ... *

Il esquissa un geste pour partir et se retrouva encore une fois affalé sur le sol, au milieu des éclats de rire de la foule

Vil, ne prêta que peu d'attention au nouveau venu, il venait de remarqué Soéliän.
"Soéliän, on est là."
Une fois qu'il eut appelé Soéliän il s'occupa du nouveau venu.
"Je m'en fou..."
Sans aucun problème on pouvait comprendre que c'était la réponse a sa question.

Soélian répondit d'un hochement de tête à Vil. Il se tourna ensuite vers l'elfe maladroit.

- Je pense que personne ne verrait d'inconvénient à ce que tu viennes, mais il serait plus juste de procéder à un vote. Mais avant cela, il serait je pense judicieux que tu nous fasse tes preuves, car si l'on te juge uniquement sur ce que tu as fais jusqu'à maintenant... enfin bon voilà quoi !

Il se tourna vers les autres et annonça :

-Vous êtes d'accord ?

Bah il est marrant. Moi ça me dit. Puis Félias se tourna ver Vil. Bon, le pâlichon, on s'en reprend un autre ?

Voyant d'ici la scène de saoulerie qui allait d'en suivre, Soélian s'empressa de pousser ses compagnons vers la sortit. Une fois dehors, Soélian s’adressa à l’elfe.

- Tu peux nous montrer ce que tu sais faire ? Je préfère le faire tout de suite. Je ne pense pas que tu pourras montrer quoi que ce soit saoul ou avec une gueule de bois. Si tu veux vraiment, tu pourras retourner te saouler, mais il vaut mieux pour toi que tu fasse d’abord tes preuves...

Le jeune elfe ce fit entrainer dehors.

-Calmez vous, calmez vous ! De toute façon, je ne bois pas, je ne pourrais pas être saoul donc, logique non ?

Pas de réponse.

-Bon d'accord, je vais vous montrer ce dont je suis capable, alors, vous voyez cette cible la bas ? Normalement, je devrais pouvoir la flécher.

Il décocha une flèche qui manqua de peu la cible se trouvant a une trentaine de mètre.

-Euh, je réessaye d'accord ?

Autre flèche, la cible fut touchée en plein centre.

-Voilaaa ! Il se retourna, un large sourire illuminant son visage. Ca vous va ?

Hé ! Je ne suis jamais bourré ! ... Ou presque... dit Félias lorsqu'il se sentit entrainé hors de la taverne.

Puis il oserv la prestation du nouveau.

Mouaif,... Un planqué qui tire. Bof bof. Rien ne vaut une bonne hache.

Et ils sortit une hache de son fourreau. Puis il visa la cible et tira. Il manqua le centre mais ne manqua pas la cible, qu'il fendit d'une profonde entaille. Puis il repartit chercher sa hache et l'arracher de la cible. Il enleva aussi la flèche, qui se cassa à cause d'un faux mouvement. Mais il ramena quant même les restes en disant :

Et puis une hache c'est réutilisable.

- Hourra ! Merci beaucoup !

Explosa l'elfe après d'être revenu chercher sa flèche.

- Merci beaucoup messieurs !

Il regarda le grand homme avec un air amusé.

- Vous voyez, mes flèches peuvent être également réutilisable.
Mais au fait, comment vous appelez vous ? Et que sommes nous censés faire ? Je suppose que vous êtes un barbare ... vous un magicien mais qui est "le pâlichon" ?

Hontarn commençait à croire que ce groupe allait le faire échouer. Ils étaient lents, incapables, bruyants, peu discrets, et ils cachaient tous des secrets qu'il ne voulait pas savoir : leur envie de descendre en Enfer n'étaient assurément pas les mêmes que les siennes.
*Si je pars, ils vont se méfier, et vont vouloir me retrouver... Bah, je passerais par le chemin le plus court, à travers les forêts... Ils ne me suivront aps là-bas.*
Hontarn, qui n'était pas entré dans la taverne, quitta discrettement le village et marcha jusqu'à la lisière de la forêt. Là, il attendit, on vit un animal étrange, et le Druide disparut, sans doutes pour toujours pour le groupe de Soëlian...

Vil avait été légèrement déconnecté de la réalité pendant un instant. Quand il reprit ses esprit, il se trouver dehors et on parler de lui.
-Vil c'est moi, et je suis pâle parce que je suis mort. Enfin... Je suis un vampire donc je suis mort mais vivant...
Il essaya de réfléchir a ce qui c'était passé et ce rappela avoir était entraîné en dehors de la taverne.
-Eh! Mais au fait j'ai encore soif moi... Ah... Quoique en fait j'ai pu un sous donc... Et eux ouais moi aussi je préfère la terre... J'aime pas l'eau...
Vil se rendit compte trop tard que ses paroles était légèrement bizarre.

Aerandir esquissa un pas en arrière.

-Vous ... vous êtes mort ? Mais ... vous arrivez à être ivre ? Euuh ...

Déconcerté, l'elfe s'éloigna du vampire.

*Je ne sais pas pourquoi mais celui la me fait très peur*

-Et bien ... euh ... faites, faites ...