(RP) Descente aux enfers

Avec de la chensse on va tou detruirre! Waaaagh!!! Sa recenble à koi un deimon, an feite? sa krame bin?

Dit Nilblit en dévorant son entrecôte. Il trouva que le vampire la regardait bizzarement, il s'empressa de la dévorer. Elle était cramer à souhait. C'est alors qu'il pensa que l'employé ferait un bon commustible, la tentation devenait de plus en plus forte, il ré-entendit la voix qui lui parlait quand il prenait ses champignons hallucinogènes.

-Nilblit, tu peux faire brûler cette avorton humain et tous tes co-équipiers, seuls les fidèles de Gork et Mork ont le droit de vivre

Nilblit fut surpris car c'était la première fois qu'il entendait cette voix a jeûn.

- (Nilblit)Non, il ne son pa méchen ce son mè ammi
- Non je suis ton seul ami, tue les
-(Nilblit)Non disparè je ne veu pu de toi. PARS

C'est alors que la voix se tut. Nilblit sous le choc décida d'aller s'asseoir et sortit sa bouteille de bière et en vida la moitiée seul avant de se relever

Alonsi, plu persssone ne vindria, j'ai reperrer un toverne

Le regard de Félias s'éclaira
Quelle idée géniale, une taverne ! Il se rappella alors qu'ils étaient en mission. Ah mince, non, on ne peut pas, ça nous ferait perdre trop de temps et notre mission est importante. Et il ajouta plus bas : Et puis on n'en parle pas devant l'employeur, il pourrait baisser notre paye. T'inquiètes pas, le pâlichon, dès qu'on pourra, je te paierai ma tournée. Son regard était malicieux. *Il faut toujours paraître le meilleur possible face à son employeur. Sinon, il paye moins.* Puis il ajouta plus fort : Bon on y va ? Et il sortit de la pièce, se retrouvant au milieu de la rue.

Le gobelin sortit donc dans la rue

* Il è méchen féliace, moi je voulè ma bière et puis dabbor zill ne fesei pa le double de ma taille je lui ferè sa fétte*

- Bon je vei chércher Zugluk, mon senglié, apprai on pourai y n'allez

Le gobelin alla chercher son sanglier, monta dessus, du côté gauche parce qu'un gobelin ne s'y connait pas en cavalerie et pris les reines. Il pria pour que cette fois il n'aille pas s'embrocher sur ses compagnons. Il arriva à leur hauteur et fut content d'être enfin à leur hauteur. Il vérifia que personne n'ait toucher à ses précieux champignons, il se dit qu'il devrait acheter une lance et un bouclier pour charger les démons

-Attendez ! Cria l'employé.
-Qui a t-il ?
-Avant de partir prenez ce fassicule, il contient les nombreuses informations qui vous seront nécessaire
- Merci
En sortant de l'établissement, le groupe déboucha sur la rue, étrangement déserte...
Ils cheminèrent quelques temps dans cette cité, mais ne rencontrant personne, tout le monde décida d 'allé se renseigner à l'auberge. A la plus grande joie du gobelin et de la brute.
Mais quand ils arrivèrent, tous purent constater que la pièce était vide...
En montant dans les chambre, ils tombèrent sur le patron, entrain de plier bagage...
Pouvez vous nous expliquer ce qu'il se passe monsieur ? Demanda l 'Aasimar
Vous n'êtes pas au courant ?
Au courant de quoi ?
Eh bien, il y a un demi-heure, un éclaireur est rentré en ville, portant la nouvelle d'une importante offensive ork... Nous sommes sans doutes les derniers encore ici...
Personne ne défend?
Si, il y a bien des soldats, mais leur nombre est insignifiant, ils ne feront pas le poids face a une Waagh de cette importance... Pas la peine de vous dire que la plupart ont déjà déserté... Bon, sur ce, je m'en vais, je ne me suis que trop attardé ici...

Soéliän répondit ensuite:
-Bon, mes amis, ne restons pas ici, L'air ne va pas tardé à devenir malsain...

Le groupe se dirigea donc vers la sortie, situé a cinq cents mètres de là...

Mei pourkuai? On va pa bouzer, i son zenti mes couzeins? I pourron nous zaider?

demanda Nilblit sur un ton déçu, la raison secrète est que sa réserve de bière au champignon était presque arrivé à son terme et qu'il voulait absolument ajouter une glyphe à son casque, pour le "style". Il se dirigea donc vers la sortie passablement deçut et n'arretant pas d'importuner ses compagnons ( d'infortune ici) de réfléxion sur le génie ork ( ces mots sont-ils antinomique???). Pour marquer son mécontentement, il laissa libre cour à sa pyromanie, en vidant la moitié de son sac de bombes, sur les chaumières abandonnés ( ou comment un gobelin mal embouché détruit des années de travail. Mais du travail humain qui aurait été pété par ses cousins, donc...). Irritant, au passage les tympans de ses compagnons priant pour que le gobelin se lasse avant qu'un coup ne parte.

Vil qui même s'il appréciait la pyromanie de son compagnon de route ne put pas s'empêcher de... râler.
Arrêtes ça gobelin, sinon tu risques toi aussi de brûler... Fait comme tout le monde, reste calme et sort de la ville sans rien cramer. Moi aussi j'aurais aimé rester ici, pour voir s'ils sont si nombreux que ça. Mais, on a autre chose à faire. Donc tu gardes tes bombes pour plus tard et tu suis sans rien dire...

Les bombes du gobelin commençaient sérieusement à éxaspérer Félias : Le gob, fais gaffe, si on découvre que nous avons fait cela (ou plutôt que tu as fait cela), on nous retirera sans doute toute rémunération. Alors, tu gardes tes bombes pour plus tard. Puis il s'adressa à tout le groupe : Ca m'ennuie d'abandonner une ville sans défense, j'ai du mal à laisser faire des orcs, êtes vous sûrs que l'on doive y aller ? Et puis, si la ville est détruite, où viendrons nous chercher notre paye ? Il faut aider les quelques gardes, non ?

Youpi s'égosilla le gob,on va povoir voir mes couzins, i sont zentils un ze ferait bin un feu dartofice pour féter sa, hein?

Le comportement du gobelin commençait à énerver Soéliän, mais heureusement Félias se chargea de le calmer. Sa question était sensée, mais il ne connaissait sûrement pas la puissance d'une Waaagh ork...

- Je comprends ce que tu veux dire, mais on ne peut gagner contre une telle armée. D'après ce que j'ais compris, ils sont plus de deux milles. Nous ne pouvons lutter. Et je peut t'assurer que le point de rendez- vous sera changé. Maintenant, allons nous-en.
- Mais nous ne savons pas par quel coté viens cette armé, ne risquerions-nous pas de la rencontrer ?
- Il faut bien s'en aller par l'un des coté. Bon maintenant allons-y, nous n'avons que trop perdu de temps, messieurs. Et toi, Nilblit, garde ton énergie pour les éventuels problèmes que nous allons rencontrer. Et n'oublie pas que les orks ne viennent pas ici en touriste. Ils ne feront pas la différence entre un gobelin et une autre créature, enragés comme ils sont

Le groupe sortit donc enfin de la ville, malgré quelques grommellements de la part du gobelin et de Félias...

- Nous ferions mieux de passer par la campagne, car la route ne sera pas sans dangers, avec la proximité de cette armée.
- Fort bien.

Ils marchèrent pendant une demi-douzaine d'heure, avant d'arrivée, plus ou moins fatigué, devant une grande colline.

- Moi, je dirais plutôt une petite montagne, dit le gobelin.
- Normal vu ta taille, répliqua Félias.

Puis Soéliän annonça :

- Bon, nous allons camper ici, et nous grimperons ça demains matin. Tout le monde a ses affaires ?

Les jours qui suivirent, le voyage se passa sans embûches. Mais plus ils avançaient, plus il faisait chaud, et la fatigue commençait à se faire ressentir dans tout le groupe. Les provisions étaient loin de manquer, mais au bout d'une semaine, on commençait à penser qu'il faudrait bientôt chercher de quoi manger en forêt. On décida alors de descendre un peu plus au Sud, lieu plus sauvage et plus boisé.

Au commencement de la troisième semaine, on vit une foret au loin. Le groupe avançait silencieusement sous le soleil écrasant de midi, fatigués, courbés, accablés, suants, soufflants, expirants. Cela faisait plusieurs heures qu'ils marchaient sur ce chemin accidenté, que les pins clairsemés et autres arbres morts n'arrivaient pas à couvrir de leurs maigres ombres. S’ils marchaient encore, ils allaient tomber en lambeaux.
On pouvait les voir trébucher à chaque caillasse, se prendre le pied dans chaque racine, s’affaisser dans chaque nid de poule ; bref, les irrégularités du terrain ne faisaient qu’empirer le pathétique tableau de leur voyage. La piste qu’ils suivaient tournait, montait, descendait, remontait... à deux heures de l’après-midi, le soleil tapait toujours aussi fort, et comme la forêt s’était épaissit, ils cherchèrent un sentier à emprunter sous l’ombre des arbres, sentier qu’ils trouvèrent une lieue plus loin.

Au milieu se tenait un vieillard, en haillons, droit, appuyé sur un bâton. Sa tenue grise râpée laissait apercevoir en de nombreux endroit sa peau tannée par le soleil, aux poils hirsutes. Sa large carrure laissait à penser qu'il venait du Nord. Malgré la chaleur, il portait une fourrure épaisse sur les épaules. Son visage sale était mangé par une barbe grisâtre de plusieurs semaines, son regard las et ses rides laissaient deviner un passé difficile. Il semblait avoir mille ans de malheurs derrière lui. Les plis de ses paupières et les crevasses dans son front ne cachaient rien de son age, mais contrastaient avec un regard plein de vie et empli de mystères indécelables. On aurait dit qu'il voyait au-delà de ce qu'il regardait...
Cependant il n'était absolument pas accablé par le poids de son trop long vécu, et se tenait droit, à peine appuyé sur son bâton. Un vent nouveau ébouriffa ses cheveux sombres, mi-longs, et vit voleter sa cape.

Une fois le groupe à portée de voix, il demanda, clairement, d'une voix nullement lasse :
« Où donc allez-vous ainsi, voyageurs, et d'où venez-vous pour être aussi accablés par ce trajet ? »
Un guerrier, moins fatigué que les autres sans doute, s'arrêta, toisa l'homme d'un air hautain.
« Cela ne te regarde aucunement, vieillard... »
Puis, ayant fouillé sa poche, il lui lança une pièce et ajouta :
« Tiens, c'est pour ton repas. Bonne route, ma... »
Il n'eut pas le temps d'achever sa phrase, on entendit un grondement de tonnerre, et Félias tomba au sol. Pendant ce temps, Vil sentait l'eau lui venir à la bouche. Il avait soif comme tout le monde, mais d'une autre substance... Placé derrière lui, il allait tenter de se rapprocher du vieil homme
« Je vous suggère, noble Félias, de ne pas me juger sur mon apparence ! Et je vous suggèrerais également de retenir votre ami le vampire diurne. Mes pouvoirs sont je crains, bien supérieurs aux siens. Quant à votre orgueil, vous pouvez le laisser à la porte.
Et à présent je réitère ma question : Que font un Tieffeling, un Aasimar, un Gobelin, un Vampire et un Nordique voyageant ensemble aussi loin de leurs terres natales respectives ?
- Nous venons de Karak Azgal, et...
- Je sais parfaitement d’où vous venez, maître Tieffeling ! J’espère seulement que vous êtes au courrant que le danger qui rôde dans les Steppes Orientales est bien trop grand pour vous !
- Et puis-je oser demander, vieillard, comment un homme tel que vous peut avoir la moindre idée de ce qu’il se passe à l’Est ?
- J’ose espérer que cette ironie méprisante n’est que la conséquence d’un trop long voyage, Soéliän. Je vais moi aussi vers l’Est. Je sens la grande douleur de la Nature là-bas, et c’est mon devoir de Druide de la protéger quand elle souffre. J’ai su que vous passeriez par là, et j’ai décidé de vous attendre. Si cependant vous refusez mon aide, je peux toujours continuer mon trajet seul, j’irais bien plus vite d’ailleurs. »

Trop curieux et trop méfiants pour refuser, chaque membre du groupe consulta les autres du regard, et Hontarn fut accepté dans le groupe. Il ne parla guère en marchant, mais ne se fatigua pas non plus. Plus ça allait, plus cet homme devenait mystérieux aux yeux du groupe. La première fois qu’il ouvrit la bouche, il parla à une hermine blanche qui venait de sortir de sous sa peau de loup, en un langage totalement inconnu des autres.

Félias n'aimait pas ce nouveau venu. *Trop prétentieux, mais dangereux, il en sait trop, qui sait s'il ne sait pas déjà les raisons qui m'ont amenées parmi eux. Par contre, sa technique pour me jeter au sol me fait vaguement penser à la Grande Marche, sauf qu'il n'a pas besoin de marcher,... Etrange personnage cependant et puis ce vieillard a sans doute des choses à nous apprendre... Par contre, il parle avec les hermines, un élu des esprits ? On verra avec le temps, mais il peut être sûr que la prochaine fois je ne tomberai pas, lui par contre...*

*J'ai du respect pour les vieux, mais pas pour les jeunots qui joue les vieux...*
Vil vint se placer discrètement aux côtés du druide.
La prochaine fois, que tu joue à attisé ma soif de sang fais bien attention... Même si tu dit que tes pouvoirs sont plus puissants que les miens, j'ai plus d'un tour dans mon sac...
Puis avant même qu'il puisse répondre Vil se dirigea vers Felias. Une fois arrivé à ses côtés il entama la conversation.
T'en penses quoi du nouvel arrivant?

Il est inutile de dire ou même de penser du mal de moi ; Vil, Félias. Je suis un être humain, et je ne suis plus tout jeune, la fatigue a son emprise sur mes nerfs comme tout le monde. Je viens de bien loin d'ici, j'ai beaucoup marché. Je tiens à te dire, Félias, que nous sommes de la même race, et je te prie de m'excuser de t'avoir mis à terre.

Maintenant, j'aimerais savoir... quelles raisons vous poussent à descendre en Enfer ? Car c'est bien en Enfer que nous nous apprêtons à aller, j'espère ne rien vous apprendre de nouveau. Je ne sais ni la nature du Mal qui rôde là-bas, ni d'où il vient, mais je connais sa force : je l'ai ressentie depuis le Norsca...

Seule l'union peut nous permettre de vaincre, alors ne laissons pas les différends personnels nous éloigner les uns des autres. Je connais une route sure et rapide à travers les bois. Suivez-moi, et ne craignez pas de vous perdre, Dame Nature est partie intégrante de mon âme...

Pendant ce grand discours moralisateur du druide, Nilblit s'ennuyait à en mourrir, il passait son temps à tailler son épieux pour pouvoir charger. Son bouclier était fini depuis longtemps. Après avoir fini cette tâche, il alla se placer derrière le druide, quand soudain surgit , de son grand manteau la tête de l'hermine le gobelin s'empressa de lui tirer la langue. Il décida de faire péter son arquebuse aux oreilles du druide, car ce personnage lui apparaissait comme superflu dans ce groupe, mais comme il avait l'air fort il fallait mieux ne rien tenter. Donc la mise à feu de son arquebuse, surprit tout le groupe, quand à Nilblit il alla se cacher dans les fourrés en bordure de la route pour éviter le courroux du grand monsieur amis de nanimaux

Soéliän fut surpris que ce Druide l'appelle par son nom, mais il n'en laissa rien paraître. Puis il l'entendit parler de l'Enfer...

*J'en était sur... C'est bien ce que j'avais sentie...*

- Concernant la raison de mon périple, c'est très personnel, je ne vous en parlerais donc pas tout de suite *Et même jamais* . Sinon, vous êtes le bienvenu, mais ne soyez pas trop orgueilleux, ou vous aurez tôt fait d'avoir des ennuies.

Puis soudain, un grand bruit parti de l'endroit ou se trouvai le gobelin.

*Voilà quelque chose que ce cher... Devin... n'avait pas deviné... hé hé... J'aime bien ce gob*

Mais heureusement pour lui, il alla ensuite se dissimuler dans les fourêts...

*Toujours aussi poltron celui-là...*

Mais il resta un instant sur les dernières paroles du Devin...

-Comment ça, "ne craignez pas de vous perdre" ? Nous sommes plus des enfants... De plus, je connais ce chemin aussi bien que vous, car c'est celui qui mène à ma demeure, à coté de la mine de souffre...

La forêt est très épaisse et très sombre dans cette région, maître Thieffeling. Moi je la connais, je vous avertissais. Si vous connaissez, tant mieux, cela sera plus rapide à traverser.

Ne vous affolez pas non plus de m'entendre parler d'Enfer : l'Enfer est pour moi tout ce qui nuit de près ou de loin à la Nature, et non pas forcément l'habitation du Diable. Cependant il est clair que le danger de l'Est est grand.

Alors que le druide finissait de parler, un sourd grondement commença a se faire entendre... Puis l'on pu distinguer des cris sauvages...
On pouvait apercevoir un nuage de poussière au loin... Les prémices d'un dangers... Et ce dangers était une armée... une armée d'ork...

- Mais qu'est ce que c'est ?
- Ce qu'il pouvait nous arriver de pire... Cachez vous vite, ils seront la dans une minute !

C'est à ce moment précis que le gobelin refit son apparation

Mes kouzins se sont mes kouzins, et meime que ze rkonnei l'épendard des gnobelins. C'est la tribu de Nurgle, ils zont zentils. Z'ont va leur dire bonzour.

Le gobelin se mit à chevaucher vers la horde, quand un de ses compagnons le prit , sauvagement, et l'assoma, brutalement, ou plutot l'étourdit, en lui faisant bien comprendre que s'il recommençait il lui arracherait les menbres un à un.
La menace eut l'effet esconter car le gobelin se tenut tranquille. Mais la horde se rapprochait.

Félias avait bien apprécié le gobelin lorsqu'il avait été faire péter son fusil aux oreilles du Druide et de plus l'esprit enfantin du gob l'émouvait. *Il est amusant, et divertissant, que demander de plus ?* Hélas, il baissa grandement dans l'estime du Nordique lorsqu'il courut vivement vers la horde orque en criant : "mes cousins !"
Il estima donc que l'assomer était la meilleure solution pour que tous puissent survivre.

Messieurs, une horde orque, c'est mon rayon. Pourquoi n'avez vous pas voulu rester à la ville, là bas on aurait eu un couvert défensif et d'autres personnes pour nous aider. Là... Ca me rappellerait presque la bataille pour Tirina la Radieuse, notre capitale. Plusieurs centaines de guerriers s'étaient fait massacrer dans les gorges de Tirana pas des orques. Il ne restait plus qu'un Nordique dans les gorges : Tana, mon cousin. Il s'est alors passé quelque chose d'étrange et il les a tous massacrés. Personne n'a compris comment il avait fait, mais il a tué plus de trois cents orques à lui seul. Et a donc sauvé la ville. Hélas, cet abruti s'est mis hors la loi pour aller chasser du troll. Il a disparu de la circulation depuis quelques temps.
En attendant, on n'a aucune chance face à ça à moins d'avoir une aide divine et je n'y crois pas. J'ai beau haïr les orques, dans une plaine, sans aide et contre une Waagh entière, je n'ai qu'une devise : FUYONS !

Le gobelin, revenue à ses esprits

Zé moi qui vai povoir pozer les pièjes? Hein, hein zé moi?

Le gobelin se mit activement à poser des bombes. Quan un de ses compagnons lui dit

Mais tu va tuer tes cousins? Je croyais que tu voulais les voir?

(Nilblit) Ouais mé ze prévère tout fère boummer? Ze vais en tuer au moins 2 zents? Youpie et ouis za vé les relentir, non?

Le gobelin se mit au travail, il s'amusa comme un petit fou pendant cette courte période. Il pensait déja au orcs pris dans ces flammes, en train d'agoniser, leur chair crammée. Il mit donc en place, des bombes reliés à une glyphe magique ferat un dégat monstrueux dans les rangs de la Waaagh.

Si perzonne ne veud pozer un nouvod piège, on va zy aller.

Hontarn les regardait d'un oeil attentif et étonné : jamais de telles créatures avaient traversé la forêt en sa présence, et bien que Devin, il lui était tout à fait impossible de connaitre leur comportement. Ces bêtes vertes, difformes, bossues, puantes, étaient tout sauf naturelles. Il laissa ses compagnons s'en occuper, et alla s'assoir sur une souche, un peu plus loin. Il ferma les yeux, semblait dormir...

*Si ces immondices veulent détruire une ville, peut être ne sont-ils pas si mauvais... Cependant, je n'ai jamais rencontré de telle animal dans la Nature, il ne le font certainement pas pour se rapprocher de celle-ci. Je peux peut-être tenter quelque chose...*

L'Aasimar voyant le Druide assis sur la souche essaya de le transporter plus loin, mais comme il s'approchait, il vit pousser des ronces au milieu du chemin, et bientôt, le passage devint impossible sur un mètre... deux mètre... Le Druide ouvrit les yeux.

-Cela devrait les ralentir...
-Ils sont plusieurs milliers ! En cinq minutes ils auront tout défriché !
-Eh bien... tant pis... Laissons les problèmes urbains aux urbains, notre tâche est différente. Nous auront au moins le temps de fuir.

Le groupe se dirigea donc vers les arbres et les buisson situés sur le gauche...
Mais l'armée s'étalait sur un grand front, et même en courant ils ne pourraient l'éviter à temps.
Quand le groupe s'en rendit compte, il fallu réfléchir à une solution... Trouver un endroit où se dissimuler pendant le passage de l'armée par exemple...