[Rp]: frapper depuis les ténébres....

Message commun entre Xen (xen et Varloth), Zok (Lylou et Nyarla) et Anubis (les pnjs)

Varloth, lui, remonta dans sa chambre pour prendre finalement son bain.
Il l'empêcherait, si possible, de partir. Sinon, il en aurait fini ici. Ce qui, en soit, ne le dérangeait pas sinon que cela signifierais sans doute l'échec de la mission.
Et puis le problème de Varlofein le préoccupait toujours.

Une splendide demi-Drow, à moitié à poil, se baladant ainsi dans l'auberge, il n'en fallait pas plus pour faire réagir un barbare bien connu:
-Par Tempus! Fit un gros dur interloqué par une vision d"un corps qui, visiblement était nu sous une couverture... une simple couverture...
Il se leva et s'approcha de la mignonne qui commandait un bain.
Montez le bain dans ma chambre, dit la brute au tôlier, puis il susurra je frotte très bien les dos, donzelle.

La donzelle en question avait perdu son sourire pour afficher une mine blasée. Elle attrapa sur le comptoir un paquet de lin contenant du sel, qu’elle versa rapidement dans un pichet tout proche d’elle, sur une table, pour jeter l’ensemble, qui donnait une patte mi-liquide, sur le lourdaud.
-J’ai préparé les sels de bains, t’as plus qu’à frotter si tu veux pas que ton armure rouille.
Et le bain dans MA chambre, ce gars n’a pas besoin de baignoire pour se laver, les canaux d’évacuation des eaux usagées devraient lui suffire.

Il arrive parfois que la goutte d’eau fasse déborder le vase, ce qui était le cas aujourd’hui et quand le sang d’une demi-drow bouillonnait, souvent les premières victimes était les globules humains de ce même sang, ce qui laissait les origines Drows pleinement s’exprimer.
Je t’excite tant que ça ? Et bien regarde ce que tu n’auras jamais car nous ne jouons tellement pas dans la même catégorie que je me demande si nous pratiquons le même sport ?
Elle laissa tomber sa couverture, se retrouvant nue et remonta les escaliers avec un orgueil et un maintient digne d’une reine, peu vêtue, mais d’une reine tout de même.

-RHhaaa ! Tu es digne d’un grand guerrier comme moi ! Fit-il en se jetant littéralement sur la nymphette, qui l’évita de justesse, avant qu’un dard ne se fiche dans un des points faible de son armure : sa nuque, pour l’expédier au pays des songes.

-Elle a raison cette petite, vous n’êtes vraiment pas de la même catégorie, regarde toi : Rhaa ! Femelle ! Sauter dessus! Tu fais le même discours aux chèvres. Cette dame a besoin de douceur et de séduction… ça tombe bien, c’est ma catégorie.
Le voleur s’inclina avec élégance :
Pardonnez mon compagnon d’arme, noble damoiselle, force brute et intellect sont rarement dans la même personne.
J’ose espérer qu’il ne vous a point fait de mal dans cet engouement subite du à ses pulsions animales ?

-Navrée mais votre catégorie des jolis cœur menteur n’est pas la mienne. J’ai déjà donnée.
Je joue dans la division des sincères et tendres, en gros une division inexistante chez les hommes.
Tandis qu’elle disait cette phrase, Lylouminaï se demandait si elle était sincère mais d’aussi loin qu’elle se rappelait, elle n’avait jamais croisée un tel homme, donc, elle ne mentait pas.
Sur ce. Elle finit de gravir les marches pour rejoindre sa chambre.
Dans le couloir, il n’y avait plus personne. Nyarla, Varloth et Xen étant tous retourné à leurs problèmes. Cela la fit sourire, si ce voleur n’était pas intervenu, elle aurait passé un sale quart d’heure d’autant plus qu’aucun de ses soi-disant compagnons ne l’auraient entendus et ne seraient intervenus.
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Et dans le village, plusieurs silhouettes se glissèrent dans les ombres...
Inspectant, analysant le terrain. La nuit était tombée depuis quelques temps déjà, et le temps étaient idéal : la lune, qu'on ne voyait déjà pas beaucoup en cette période du mois, étaient entièrement cachée derrière les nuages. En bref, c'était une nuit noir.
Et la pluie commençait à cesser. Dans quelque temps, les drows allaient frapper.
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Lylou n’avait pas attendu longtemps pour son bain et elle s’y glissa avec un petit soupir de jouissance non dissimulé.
Au chaud, se détendant, tête plongée sous l’eau, elle se promit intérieurement que le premier qui viendrait la dérangeait dans son bain, homme d’auberge, de la troupe, dragon ou aventurier vraiment malchanceux se prendrait une lumière sacrée de Lathander en pleine poire et sans préavis, ni avertissement.
Il y avait des limites à ne pas franchir et la porte de sa chambre en était une.
D’ailleurs, une fois la tête sortie de l’eau, elle prépara le sort, prête à le dégainer comme un cow-boy dégainerait son 6-coups, si un malheureux imbécile faisait irruption dans sa chambre.
La préparation de son sort fut ardue car entrecoupé d’éternuements intempestifs et bruyants qui dénotait que son rhume s’était empiré.

Varloth se plongea dans son bain, en soupirant. Ce qui permit de le détendre. Encore bien chaud, cela lui permit aussi d'entrer rapidement en rêverie, histoire de pouvoir dormir (enfin!) un peu. Il ne fut même pas dérangé par les éternuements de Lylou, car après tout, quand on veux dormir, on dors!

Xen, lui, changé et propre, n'était en revanche pas du genre à dormir! Il n'en avait guère besoin, et là, il pensa qu'il se rendrais utile en apportant à Lylou des herbes afin de calmer son rhume. Sauf que... Elle avait l'air de très, très mauvaise humeur!
Qui ne tente rien n'a rien, se dit-il en haussant les épaules.
Il alla donc frapper à la porte de sa chambre, s'attendant à un refut expéditif. Simple intuition. Il y avait des fois où il ne valait mieux pas la ramener... Et il préssentait que ce moment là en était un! Mais bon, hein, l'espoir fait vivre comme on dit!

Et voilà, on frappe… Lylou, toi qui es si cruche… tu peux venir me rendre service ? Songeait la barde dans son bain alors qu’on frappait à sa porte.
Elle se décida à demander, par acquit de conscience, ce qu’on lui voulait dans un :
-Oui, c’est pour quoi?
Sans pour autant se lever de son bain.

-C'est Xen, qui apporte un truc contre le rhume... Et qui aimerait bien repartir en entier aussi, fit-il, en essayant de faire de l'humour. Il n'essaya même pas de rentrer, attendant d'abord la réponse de la prêtresse. Autant par galanterie que parce que c'était logique non?
Je rentre, je pose ma décoction et je m'en vais, précisa-t-il. Heu, si je peux rentrer, ajouta-t-il, toujours poirautant derrière la porte.

-Non merci. Je peux me débrouiller seule. Atchaa.
Elle avait des doutes sur la présence de l’Elfe, ses dernières mésaventures l’avait rendu méfiante envers les hommes en général et de ce Xen, elle ne connaissait rien, et surtout, elle ignorait qu’il n’avait aucune pulsion autre que lui porter des médicaments.

-D'accord... Bonne nuit. Si vous avez besoin de quelque chose... Furent les seules paroles qu'il dit avant de retourner dans sa chambre.
Là, il resta pensif. À plusieurs reprise, des sentiments, des souvenirs, très fort, étaient remonté à la surface ces derniers temps. Il pensait ne plus pouvoir retrouver Gayla... Il avait déjà essayé, et déjà échoué, ce qui l'avait laissé vide et triste durant un bon mois...
Mais maintenant, c'était pire! Il se sentait pris au piège.
Mais il ne pouvaient plus endurer cette situation. Demain, il se remettrait en route, après avoir fait ses adieux à la troupe. Il devait partir à sa recherche. Et ne pas abandonner avant de savoir ce qu'il était advenu d'elle. Ce devint un impératif dans son esprit.

Derrière sa porte, Nyarla, que les déplacements avaient attiré, était satisfait de voir le bâtard d’Elfe faire demi-tour. Il rejoint de nouveau son lit pour s’y allonger et se reposer.
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Filermon, le voleur de ces dames, s’était fait moucher, mais il avait l’habitude : ce sont toujours les filles qui repoussent avec ferveur les jolis cœurs qui tombent dans leurs bras… il faut juste faire preuve de patience, de romantisme et… d’inattendu.
Le voleur avait repéré des fleurs très belles sur un balcon d’une maison de la place centrale. Il sortit prestement et alla cueillir la plus belle, puis revint à l’auberge, sans y entrer. Il avait retenu les numéros par cœur, et les occupants. Avisant la fenêtre de la chambre de la demi-Drow, c’est fleur en bouche qu’il entreprit l’escalade du mur.
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La Bourgade, petite cité sans grandes histoires, sans réels problèmes. Pour se protéger des pillards, orcs et autres gobelins, la petite cité s’etait entourée d’une palissade de pierre et chêne haute et renforcée et était fermée, au nord et au sud, par une lourde porte en chêne de 8 cm d’épaisseur :
Grrrmmph ! Qui peut venir à cette heure-ci ? C’est bon, j’arrive !:
Le gardien de la porte nord bougonnait en entendant frapper avec force et insistance : encore ces voyageurs qui arrivent à pas d’heure. Il ouvrit le judas pour voir quelle sorte de nomade était à l’attente et ses yeux s’écarquillèrent d’horreur :
NNNOOOOONNNNNN !!!!!
La dernière vision du veilleur fut d’énormes sabots s’abattant sur la porte et le judas, explosant les puissants gonds et écrasant la porte au sol. 600 kilos de bois dur et le passage d’un destrier lourd portant un cavalier armuré eurent raison de la frêle existence de l’honnête veilleur de nuit.

Message commun entre Xen (xen et Varloth), Zok (Lylou et Nyarla) et Anubis (les pnjs)

Le Moissonneur d’Âmes entra dans la ville. Il galopa à travers la rue déserte vers la place centrale où, il le savait, l’auberge se trouverait. La roulotte n’était pas très loin, à peine à une grosse demi-heure.
Arrivé à proximité de la place, il sentit la présence d’êtres connus… dont Lylou ?! Elle est ici… Il tourna son regard vers l’établissement dans l’auberge… L’auberge… ils sont venus à l’auberge.
Il s’avança vers le jeune palefrenier qui pensait voir arriver dans la pénombre des rues mal éclairées un nouveau client :
-Bonsoir, Messire Chevalier. Puis-je m’occuper de votre noble monture ?
-Prie seulement que ce ne soit pas elle qui s’occupe de toi.
Voyant l’aspect, et du cheval, et du cavalier, le jeune homme poussa un cri de terreur et s’évanouit sur place.
Mauviette.
Le Moissonneur mit pied à terre et se dirigea vers la porte d’entrée tandis que le cheval humait le jeune dormeur, se demandant sûrement s’il allait commencer par la tête au cerveau succulent ou les jambes à la chair ferme.
Ne le mange pas: nous sommes là incognito et nous devons être discrets!
Le destrier tapa le sol de dépit en renaclant. Il obeîrait, mais il ne pouvait s'empêcher de continuer de flairer le jeune avec envie. C'est trop injuste!
Le Mort-Vivant s'arrêta quelques secondes, puis ouvrit la porte pour entrer. Aucun mouvement ne l'avait trahi. Il savait que son cheval, pourtant demeurant stoïque et occupé à son office, avait senti aussi: les Drows avaient été repérés.
Tu peux le manger, en fin de compte: on ne verra pas la différence.
Heureux, le cheval se rua sur sa proie, non sans cesser de surveiller les ombres qui auraient été discrêtes... pour un vivant ou un mort-vivant ordinaire.
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Filermon avait assisté, en frémlssant, à la scène qui n’avait rien de rassurant.
Oups… celui-là n’a point l’air commode… J'espère que les autres seront à la hauteur s'il y a un problème... Bah, il est tout seul... et... Peut-être est-il temps de sauver la belle d’un danger imminent? En attendant, peut-être la dame a besoin d'aide... pour se faire masser, par exemple...
Il se stabilisa et, discrètement, crocheta le système de fermeture de la fenêtre. Il entra en silence, profitant du fait que la baignoire tournait le dos à l'huis en question. Quand il fut assez près, il tendit la fleur sous les yeux de Lylou
Soudain, un inconnu vous offre des fleurs...

HIIIIIIIIIIII !
Hurla la jeune fille en se relevant avant d’enchaîner sans prendre de respiration un puissant :
Gamehoverre
Qu’elle dirigea vers le vil intrus qui osait ainsi entrer dans sa chambre, brûlant et illuminant tout devant elle.

Dans la salle du dessous, de la lumière filtra au travers du plancher de la chambre de la prêtresse et, à l’extérieur de l’auberge, les badauds purent voir un gigantesque flash sortir d’une fenêtre de l’auberge pour illuminer le village.

Debout, nue dans un fond d’eau, le reste s’étant évaporé sous l’effet du sort, Lylouminaï resta quelque instant les bras écartés, se rendant compte petit à petit des dégâts qu’elle venait de causer : meuble cramés, mur calciné, planché grillé et voleur cuit à point.

AAAARRRGGGLL !!!!! Fit un voleur aveuglé, brûlé, dépouillé de sa fleur réduite en cendres et condamné à user de ses vêtements de rechange. Seules ses armes, ses baudriers, ses bottes, ses bracelets et sa cape, tous deux magiques résistèrent au choc.
Il était au sol, à se tordre de douleur, ses mains sur les yeux.
Arrgh ! Je me meurs ! Je suis perdu !

Le sort émanait de Lylou, le Moissonneur le sentait, le hurlement, encore plus. Sans prendre la peine de faire connaissance avec les convives, il se rua dans l’escalier, renversant le serveur qui ne s’était pas écarté assez vite dans un:
Hors de ma route, cafard!
Si Lylou utilisait ce sort, résolument offensif, c’est qu’elle était en danger !
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Huckle arriva en vue de La Bourgade : la cité était encaissée dans un vallon. Il avait eu de la chance de rencontrer un ermite qui lui avait indiqué un raccourci. Il serait en ville dans 10 minutes et avait gagné au moins ½ heure. Il eut un sourire de satisfaction.
Il chanta une mélodie plus douce pour ralentir le percheron : malgré son défaut d’exigence de musique pour avancer, ce canasson était plus puissant et solide que n’importe quel cheval de trait. Huckle ne tenait pas à le crever, d’autant plus qu’il s’y était attaché : on ne rencontre pas tous les jours un cheval mélomane. Il profita du pas plus mesuré pour se réajuster : quand on arrive en ville, il faut éviter que tout le monde change de trottoir.
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Message commun entre Xen (xen et Varloth), Zok (Lylou et Nyarla) et Anubis (les pnjs)

Cri de jouvencelle en détresse, lumière intense traversant les murs pas très épais. Cela était caractéristique de la Lylouminaï.
Nyarla le savait : la jeunette qui fonderait avec lui la nouvelle génération d’êtres supérieurs était en danger, et cela… non pas qu’il ne le tolérait pas mais, si Vhaeraun l’apprenait, il se ferait passer un sacré savon.
Xsa ! Que se passe-t-il encore ?
Lui qui voulait s’éloigner d’elle pour se guérir de la maladie qu’il le rongeait, cet « amour » (Sic), voilà qu’il devait courir au secours de la belle !!
Il se jeta sur ses pieds et se rua vers la porte armes aux poings.

Dans sa course, son ouïe fine lui permit d’entendre la voix d’un seul type en plus de la prêtresse. Un humain, à l’accent, qui devait, visiblement, ou plutôt audiblement, déguster. Certes, l’ouïe légendaire des Drows n’était pas nécessaire pour entendre le larron hurler comme un goret, par contre, elle s’avérait utile pour reconnaître le voleur bavard de tout à l’heure.
Mais, que faisait-il chez elle ? De toute évidence il était seul. Bien, ça allait être facile, d’autant plus que cet ibblith ne devait pas connaître la redoutable efficacité du sort de la demie. Il devait déguster et il allait abréger ses souffrances…
Que faisait-il seul, chez elle ?.. Alors qu'elle prenait son bain? il allait abréger ses souffrances…lentement et douloureusement.
Mais qu'est qu'il faisait seul chez elle?.. Alors qu'elle prenait son bain... donc qu'elle était nue!! Mais? De toute façon, il le saurait bientôt, ragea-t-il : une bonne séance de torture à la belle étoile ne faisait pas de mal… enfin… tout dépend de quel coté de l’instrument on se place.

Pendant ce temps, lylou présentait ses excuses et tentait de rassurer l’homme brûlé en ces termes :
L’avantage avec la lumière de Lathander, maintenant, puisque vous êtes encore vivant, vous pouvez être certain de ne pas être un mort vivant… non ?
Dit-elle en triturant ses doigts toute gênée alors que le voleurs se tordait de douleur.

« Hors de ma route, cafard ! »

Nyarla reconnaissait cette voix douce et mélodieuse qui provenait de la salle principale, ainsi que pas le discret et chaloupé d’une masse en ’armure complète. Ils sont arrivés ? Ils ont fait vite, peut-être trop vite à son goût... mais bon, ce n’est pas le plus urgent !

Il ouvrit la porte brusquement et s’apprêta à sortir quand il se senti saisi par le col et tiré en avant par une forme très grande qu’il eut à peine le temps de reconnaître. Il se senti décoller, il vit le plafond défiler sous ses yeux alors qu’il flottait, à grande vitesse. Il senti le contact dur du bois d’une autre porte qui ne résista pas au choc mais le meuble situé dans la chambre de Xen, lui, tint bon, en arrêtant sans ménagement la brève capacité de voler à grande vitesse que Nyarla avait acquise grâce à la subtile aide du Moissonneur d’Âmes. Une voix familière se fit entendre dans le couloir :

T’as raté ta chance, Nyarla ! Maintenant, que le justicier de l’ombre fasse place au chevalier !
A ces mots, le chevalier mort se rua vers la porte de la damoiselle pour tenter de l’ouvrir mais… elle lui resta dans la main.

IIIIIKKKK ! Visiblement, cette entrée surprise avait… surprise Lylou... de nouveau…
Gamehoverre !!
rebelotte avec cette fois, pour cible, le moissonneur.

Varloth qui venait de finir son bain, à peine rhabillé, même pas rééquipé, alla dans le couloir pour voir un Nyarla entrer précipitamment dans une autre chambre.
Vers laquelle il se dirigea, y trouvant un demi-elfe surpris, et un Nyarla encastré dans un meuble.
Nous les drows avons le don de se faire encastrer dans les meubles ou murs d'auberge de la surface! dit-il en riant. Il lui tendis la main pour l'aider à se relever, sachant par expérience que seul, ce n'était pas facile!
Mais un nouveau "Gamehover" se fit entendre, et Varloth fit, en même temps que Xen : quoi, encore?!

Ils se regardèrent, et Xen haussa les épaules en allant voir ce qu'il se passait... Il alla donc dans le couloir, faisant attention de ne pas trop approcher la chambre de la prêtresse. Des fois que...


AARRGH !
Le Moissonneur prit de plein fouet la Lumière de Lathander. Ce sort était puissant mais, heureusement, non mortel pour lui, néanmoins, la douleur était intense et il perdit la vue.
Le Moissonneur resta sur place, son armure noircie était devenue terne, s’il n’avait pas eut de heaume, on n’aurait pu distinguer que ses yeux dans la masse sombre interloquée.
Arrrhhh ! Tu pourrais éviter de balancer tes sorts sur ceux qui viennent te sauver, je te prie ? Ouch ! Ca fait mal !
Ce monde est pathétique : j’essaie d’aider, pour une fois, et voilà comment on me remercie ?
Il secoua la tête mais rien n’y fit : il était aveugle. Il devait s’en tenir à sa détection naturelle le temps que sa vue revienne.
C’est malin ! Je n’y vois plus rien !
Il y a vraiment des jours comme ça où je hais l’humanité.

Filermon aurait pû en vouloir à Lylou pour cette réflexion mais… des souvenirs heureux lui vinrent. Des souvenirs d’or, de festins et de belles nobles aux bijoux tout autant attirants que leurs minois … le poussèrent à se confondre en plates excuses qui l’étonnèrent lui-même.
-Mais, c’est (arrgh mal) a moi de m’excuser, c’est entièrement de ma faute (rhaa ça brûle) je n’avais pas à débarquer ainsi, sans vous prévenir (aaaargh j’vois plus rien) belle enfant (mince elle est nue et je vois rien)…

Nyarla poussa Varloth avec virulence contre un mur pour courir jusqu’à la chambre.
Il y constata, rassuré, que tout était « normale » enfin, dans la normalité constante de la troupe. Il resta appuyé contre l’encablure de la porte profitant quelque instant du spectacle : Un Death Knigth aveugle, un Voleur à genoux s’excusant d’être brûlé et un Lylou toute nue qui tentait de le soigner.

Hein ?? Comment ça une Lylou toute nue.... ???.... Hé HO Suffit là ! gueula-t-il a l’intention du voleur. Arrête de plotter MA prêtresse !

Varloth passa derrière Nyarla en murmurant avec un sourire : jaloux?

C’était le murmure de trop : Varloth se prit un monumental crochet du droit pleine tronche que Mohamed Ali envierait.
Arrête de dire des insanités, toi qui l’emmènes seule dans ta chambre !

A ces mots, le Death Knight qui usait de ses sens de mort-vivant effectua un mouvement rotatif pour jeter sa cape sur Lylou et, profitant de son élan et de la vitesse qu’il lui donnait, donner un coup d’une violence comparable à la charge d’un mammouth adulte dans les plaines de l’age glaciaire à un Varloth jugé incorrect.
D’abord, un peu de pudeur, ensuite, Drow, tu oses emmener Lylou seule dans ta chambre ? Ta vie n’a donc aucune valeur pour toi ?

La pauvre Lylou qui s’apprêtait à soigner le voleur brûlé, faisant fi de sa pudeur (après tout, il était aveugle.) vit l’obscurité se faire quand elle se retrouva, d’un coup, littéralement engloutie dans une lourde cape de tissus épais et de fourrure.
MAAIIIIISSS ??!!
Surprise, elle demeurait éberluée, immobile, les mains en avant.

Message commun entre Xen (xen et Varloth), Zok (Lylou et Nyarla) et Anubis (les pnjs)

Varloth eut un sourire en coin, puisque la réaction de Nyarla lui avait confirmé ce qu'il pensait. Mais il du éviter son coup, et accompagna tant bien que mal celui du moissonneur. Parce qu'il n'est pas tout de savoir éviter les coups : au cas où, il faut aussi savoir les encaisser!
Varloth ricana. Il fallait calmer le jeu, donc il ne dit pas : Et vous, vous osez manipuler la vie de Lylou? Elle n'a donc aucune valeur à vos yeux? à l'attention du Death-Knight. Il ne voulait pas devoir affronter le moissonneur, d'autant que face à lui, il était désarmé. Ni magie ne coup physique ne l'affectant vraiment.
Il déclara, d'un ton neutre : J'imagine fort bien la jalousie de Nyarla faire galoper son imagination, mais, la seule chose que Lylou fit dans ma chambre, ce fut de répondre à une ou deux questions. Comme deux personnes civilisées...

Le Mort-Vivant jugea la sincérité du Drow. Certes, il serait plus fréquent de trouver un Drow ranger adepte du bien que de trouver un Drow sincère, sauf dans les déclarations de haine et les promesses des pires morts (il n’y avait que dans ces domaines que cette race faisait preuve de sincérité et de franchise.). Il décida d’accorder le bénéfice du doute.
J’espère pour toi que tu dis la vérité. Au fait, Nyarla, le jour où Lylou sera un cheval, ou une statue, ou une sculpture ou tout autre objet que l’on peut acheter avec de l’argent et le jour où tu l’auras payé de tes propres deniers, tu pourras prétendre à en être le propriétaire.
Et vous, illustre aveugle…

Ah ! Je me meurs, je suis brûlé, je souffre ! Geignait Filermon

Je dis la vérité le plus souvent possible, répliqua Varloth.
C'est tellement plus amusant, dit-il, en massant son épaules, très endoloris par le coup du death Knight tout de même. (HRP : s'il a visé ailleurs... j'ai déjà modifié mon message précédent^^).
Entendant un son familier, celui du sifflet de Jarlaxle, l'étonna tout à coup. Il n'en laissa rien paraître, tout en réfléchissant. Jarlaxle savait qu'il pouvait entendre le sifflet... Et il s'était déplacé? Voilà qui était pour le moins surprenant.
Mais cela lui permis de conclure une chose : qu' "ils" étaient arrivés. Pour s'en assurer, il dit au moissonneur :
Nous avons de la compagnie dehors, je me trompe?

-Non point, petit être ! Dedans ! Fit un barbare furieux en bousculant Xen pour entrer en trombe dans la chambre. Du doigt, il désigna le voleur en mauvais état. Toi ! Tu as osé me frapper dans le dos comme un lâche que tu es ! Avec une arme de lâche enduit de ton poison de lâche ! Je vais te tuer !

-Non ! il est à moi ! Répondit le Moissonneur d’Âmes.

-Je l’ai réservé, vous vous servirez sur ce qu’il restera de lui. Enchaîna Nyarla. Puis il remarqua que c’était un signe de jalousie manifeste. Après un regard mauvais à Varloth, il se ravisa. Oh ! Et puis, il n’est pas important, je vous le….

Il ne pu achever sa phrase, bousculé par le Mage Masqué !
-Qu’est-ce que tu fais ici, Filermon ?

Lylou, la tête à peine sortie de la cape du Death Nigth se fit agressée en ces termes :
-Qu’est-ce que tu fais dans la chambre de cette catin à la peau de suie ! De cette fille facile qui se balade à poil ! Filermon ! J’attends !
-Oï oï oï ! Mais je vais où je veux !

Lylou, surprise demanda : vous ne croyez tout de même pas que ??? Irk !
-Quoi Irk ? S’étonna le voleur
-Commença Irk ? Renchérie la magotte masquée. Tu ne le trouves peut-être pas assez bien pour toi ? Garce !

Lylou sentant la prise de bec arriver rappela, rapidement avec un sourire crispé, un détail cité dans la salle principale : Je suis déjà fiancée avec le Drow là-bas ! Elle désigna Nyarla et j’suis fidèle ! Et puis, il est venu me voir avec des fleurs votre Filermon!
-QUOI ! Salaud ordure ! Fit la magicienne en se ruant sur le voleur qui s’abrita dans un placard en bousculant Lylou qui tomba à la renverse dans sa baignoire en trébuchant sur la cape qui la suivit.

Varloth faillit signer à Nyarla : Grillé, mais il se contenta de sourire. Mieux valait préserver le fragile égo de son frère de race!

Xen déclara : ça tourne au vaudeville là! Le mieux serait encore que chacun retourne dans sa chambre...

AVEZ VOUS DEJA VU UN: VAUDEVILLE DANS ADD?

Le Moissonneur réagit à la phrase de Lylou :
Comment ça, « fiancée » ? Qu’as-tu donc manigancé, Drow ?

Nyarla le savait : quand le Moissonneur utilisait le terme « Drow » au lieu de son nom, cela signifiait des ennuis en perspective.

xen se prit un doigt inquisiteur de la part de la femme en blanc :
-Toi, le bâtard, tu ne t’en mêles pas, c’est entre moi, le leveur de jupons de service et la catin !

-Mais ? Nyarla ! Tu la laisses ainsi m’insulter ? S’outra Lylou, un regard à la fois suppliant et vindicatif vers le Drow concerné. Alors que nous sommes fiancés ?

-Eh oh oh ! Tu avais refusé de te fiancer quand je te l’ai demandé ! démenti l'Elfe noir en question.

-Hooo! Plait-il? Filermon sorti la tête du placard, l’air intéressé et regarda la prêtresse demi-Drow. Donc vous n’êtes point fiancée, Damoiselle ? Mais, cela change tout !

-Toi, le joli cœur en rut, tu rentres dans ton cercueil et tu y reste ! Filermon exécuta à grande vitesse l’ordre de la magicienne.

-Tu vois qu’il n’est pas digne de toi ! Fit une voix dans le dos des protagonistes, celle du guerrier au bouclier.

-Toi, le Prêtre ! La ferme ! Hurla la mage, visiblement très remontée.

Message commun entre Xen (xen et Varloth), Zok (Lylou et Nyarla) et Anubis (les pnjs)

Blasée, Lylou s’assit au fond de sa baignoire et grommela : Dites, je vous rappelle que c’est ma chambre, tout de même ! Je vais faire payer l’entrée, si vous insistez !

-Nulle nécessité de tout cela ! Tout le monde dehors… sauf Lylou !
Beugla le Moissonneur d’Âmes.

-Ouais ! Fit le barbare. Filermon, tu sors que je puisse te massacrer en paix… et sans déranger la p’tite dame !

Lylou se releva d’un bond de sa baignoire :
Non ! Lui, il reste ! Fit-elle en désignant le voleur.

MdA, Nyarla, le Mage Masqué, le Prêtre, le barbare,Filermon: QUOI ?!

-Ben oui ! Puisqu’on n’est plus fiancés, Nyarla, ça ne te dérangera pas? Je ne vais pas rester vierge toute ma vie ? Et il m'a l’air de connaître le sujet!

Nyarla en tomba à la renverse .

-Moi, en tout cas, cela ne me dérange guère ! Renchérit la voix du placard.

-J’ai dit tout le monde dehors sauf Lylou. C’est sans exception et sans appel ! Alors, le placard caqueteur, vu que cela ne te dérange pas qu’elle reste pucelle, tu sors, soit par la porte de ton plein gré, soit par la fenêtre à ton insu !

La Mage Masquée : Dévergondée ! Pucelle ? Mon œil : elle dis ça pour exciter les mâles, oui !

Bon ça suffit : l’hystérique malpolie, dehors ! Le Placard caqueteur aussi ! L’armoire normande en manque de violence, dehors ! Arnold et Willy, idem ! la demi-tarlouze, tu connais la sortie et le ….
Le Moissonneur commençait à recouvrer la vue. Certes, cela était encore très flou, mais le symbole sur le bouclier lui rappelait vaguement un symbole religieux. Il s’empara dudit bouclier et le plaqua littéralement sur les yeux :
-Hummm ! Ne serait ce pas… le symbole… ? … de Lathander ?!

-Si fait, Mort-Vivant, tu sais reconnaître le symbole du noble Seigneur de l’Aube ! Normal de la part d’une créature telle que toi.

-Oh oui, je sais ! Je n’ai pas mon pareil pour reconnaître ce symbole. Fit le Moissonneur avec un tremblement dans la voix que Nyarla et Lylou connaissaient très bien : la montée de la rage chez le Mort-Vivant. Pour une raison qu’ils ignoraient, il vouait une haine irrépressible au clergé de Lathander.

Xen recula, pensant qu'il valait mieux ne pas se trouver trop trop près du mort vivant et du fléau...

Varloth, qui s'était fait la même réflexion, fit retraite également, mais dans la chambre de Lylou, car d'après lui, il valait mieux se trouver du côté d'une prêtresse plutôt que de celui d'un clerc de lathender qui allait bientôt passer l'arme à gauche... D'un point de vue position spatiale, s'entend.

-Varloth! Attention! Ma savonnette que j'ai lâchée! Vous allez marcher dess...

Hein? fit Varloth, en marchant sur la savonette.
Aaargh! non!
Il tenta tant bien que mal de garder l'équilibre, dans des positions plus ou moins grotesque, Mais glissa irrémédiablement en arrière, piétinant Nyarla au passage, qui ne s'était toujours pas remis de la déclaration de Lylou, avant de tomber dans la baignoire presque vide de Lylou.
*Splich*
Ouch..!
...
Ca change des murs de taverne...
Sauf pour mon dos. Aïe...

Nyarla se releva tel un pantin à ressort au « splitch » !
-Toi ! Tu sors du bain de Lylou !

-Mais elle les veut toute, la Nympho ! Railla la Mage Masquée.

Bong !
Une pauvre magicienne se retrouva quasi assommée presque négligemment par le Moissonneur d’Âmes avec un : « Je hais les grossiers ! On peut être maléfique et un tant soit peu poli ! »

-GERTRUDE !!! Hurla le prêtre. Soit maudit, Revenant, je vais te tuer !

-Gertrude ? Reprirent en cœur et éberlués le MdA, Nyarla et Lylou

-Ben oui… dit nonchalamment Filermon. D’après vous, pourquoi se fait-elle tout le temps appeler le Mage Masqué ?

-Toi ! Tout est de ta faute ! hurla le prêtre en dégainant son arme.

-Non, il est à moi ! Enchaîna le barbare…

Avant de tomber évanouit, Nyarla lui ayant lancé un dard de son arbalète de poing.
-Il m’appartient !

-Et toi… Sortit un Moissonneur d’Âmes au prêtre. Toi, tu m’appartiens !

-LYLOUMINAI Eylminénïaé Flana’Mornié Ailelh’Staln Gorath Nyeltheravïn Aracnya-Prana Myositis! Fit une voix inconnue de certains sauf 2: la concernée et le MdA. C’était un Elfe Gris en cotte de maille elfique d’une superbe prestance, armé d’une épée longue au coté.

Message commun entre Xen (xen et Varloth), Zok (Lylou et Nyarla) et Anubis (les pnjs)

-Ciel ! Mon ex-fiancé !

-Que font ces hommes dans ta chambre, que fait ce Drow dans ce que je présume être ton bain et, surtout, que fais-tu nue ? Fit-il en désignant les protagonistes au cours de son énumération de la pointe de l’épée

-Oh oh ! Le Chantelameur! Son Fiancé! S’exclama Nyarla qui estima avec courage que le repli stratégique derrière le Moissonneur était l’option la plus judicieuse.

-Lui aussi ? Ironisa la Mage Masquée qui commençait à émerger. Mais elle les veut tous !

-Que cela signifie ? Fit le nouveau venu, menaçant.

-Ah ! Ne la touchez pas ou je vous extermine ! Rétorqua un prêtre en vaillant défenseur

-Toi ? A part me faire mourir de rire, je ne vois pas comment tu y arriverai.

-Je puis te montrer. Enchaîna le jeune homme, se mettant en garde.

-IIIHHH ! Ne me regarde pas toute nue ! Hurla Lylou levant prestement la cape.

-Hum ça ne la dérangeait pas tout à l’heure ! Dit Filermon

-tu as regardé MA fiançée nue ? Interrogèrent simultanément l’Elfe Gris et Nyarla avant de se foudroyer mutuellement du regard.

Le Voleur regarda alternativement les 2 menaçants dans un Moi ? avant de s'écrouler dans son placard avec des ARRHHH !! J’agonise ! Je suis aveugle ! Et je ne suis pas dans la baignoire !
Certes, il souffrait moins, et il avait recouvré la vue grâce au début de soins de Lylou mais la comédie pouvait parfois sauver… parfois. Surtout là : Varloth se fit foudroyer doublement à son tour par des regards qui ne présageaient rien de bon.

Oh toi! Arrête de faire semblant de souffrir! Et sors de là d'abord! Salaud! Traître! Faisait une magicienne excédée.

Un Nyarla se fit soulever par le col par un Mort-Vivant : Comment ça, « fiancée » ?

-Euh… J’n’ai rien dit ! C’est l’écho !

-Lylou ! Je viens t’emmener loin de cette troupe ! Tu as du sang d’Elfe Gris et tu rentres à la maison !

Varloth, dans la baignoire, déclara à Xen, en parlant du vaudeville, qui était lui aussi rentré dans la chambre : la prochaine fois, par pitié... Garde tes réflexions pour toi..! Ceci dit, il se releva prestement, dans un *crac* sonore de son dos.
Tant que ce n'est que ça! dit Varloth, en faisant la grimace quand même.
Bon c'est qui ce clown? Fit Varloth en regardant l'elfe gris. Varloth pris un air railleur, en époussetant son chapeau, qu'il remis rapidement sur sa tête. Encore un concurrent? fit-il pour l'énerver.

Xen répondit à Varloth : je prends note... Avec un certain amusement. Bizarrement, il ne détestait plus autant ce drow. Peut-être parce qu'il avait tourné la page? Bref! De toute façon, le chantelameur lui était bien plus antipa(té?)thique!
Il déclara : cessez donc de décider pour elle? Savez vous seulement ce qu'elle désire?? demanda-t-il aux autres en montrant Lylou.

L’Elfe Gris toisa l’Elfe Noir. En d’autres circonstances, il aurait tué cette vermine sur place mais se contenta de dire de sa voix impérieuse :
-Toi, ver de terre, retourne sous la surface d’où tu n’aurais jamais dû sortir. Le jour où tu pourras me considérer comme un concurrent sera le jour où je serai mort et décomposé depuis longtemps. En attendant, fiche le camp hors de ma vue, tant que le fait que Lylou possède du sang Drow sauve ta minable existence de rampant !
Il tourna le regard vers Xen : Et toi, immonde déchet de bâtard, tu t’inclines devant la race supérieure et tu ne t’avises plus de donner des avis sur des sujets qui ne te concernent pas ! Tes prochains mots sur le sujet seront tes derniers !

-Oups ! Il se rebiffe, le warrior ! Fit la Mage Masquée en sifflotant

-Je ne suis pas là ! Rétorqua le voleur.

-Ca y est ! Il va vouloir massacrer tout ce qui n’est pas Elfe Gris ! Déclara Nyarla désabusé, limite blasé

-Mais non, cela signifierait qu’il s’en prenne à la jeune fille ! Ce n’est pas son intention, je présume ! Remarqua judicieusement le prêtre.

-Non : ce crétin est amoureux. Pour lui, Lylou est une Elfe Grise à part entière juste une peu trop bronzée.

-M’en fout ! Moi, je veux massacrer ce chien galeux de Filermon ! Beugla la magicienne.

-Massacrer, massacrer ! Tu n’as que ce mot-là à la bouche ! Se plaignit la future éventuelle victime de l’ire du tas de magie

-Non ! Je peux aussi t’étriper, te fracasser, te démolir, te désosser, te hacher, te broyer les os, te lobotomiser, t’éviscérer ! Enuméra la brute en jupon

Découragé, Filermon ne pu que constater : Il n’y a que dans ce domaine-là qu’elle possède un vocabulaire varié… Pfff !

-Elle fait aussi dans le Beserk ? Demanda Nyarla, curieux. Il souleva du sourcil quand Filermon et le prêtre hochèrent de la tête à l’affirmative.

Message commun entre Xen (xen et Varloth), Zok (Lylou et Nyarla) et Anubis (les pnjs)

Xen ricana, forte tête. Il détestait ces gens là, et il allait bien le lui montrer.
La race supérieure... Ben voyons. Je cesserais de penser les elfes honteusement orgueilleux et pueril quand vous cesserez d'exister! pensa-t-il.
Ne comptez pas sur moi pour louer la supériorité de la race elfique. J'en ai assez vu pour me faire ma propre idée, du moins quand à ses plus fervents défenseurs...

Varloth haussa un sourcil, amusé par l'elfe gris.
C'est terrible! Des menaces! Voilà que j'en tremble. Mais tu sembles parler de concurrence face à Lylou? Varloth éclata de rire.
Quand il se calma, il dit simplement : je parlais de concurrence pour la troupe. Un bouffon de plus dans cette bourgade qui n'en fait pas parti!
Ces paroles présenteront excuses dans votre mort, sous-évolués aux capacités mentales douteuses ! L’Elfe re-dégaina son épée longue.

-On se calme, Elanthel Meïstariën. Fit le Moissonneur calmement. Et vous autres aussi, Messieurs. Ce type n’est pas un simple chantelameur, c’est un Orateur et si vous l’insultez encore une fois, je ne sais pas si je pourrai le retenir.

-Moi, je ne le retiendrai pas. Fit Nyarla, se dégageant de toute responsabilité. Par contre, Orateur Meïstariën, si vous les affrontez, pourrez-vous les désintégrer, qu’on n’ait pas à se fatiguer à creuser des tombes ? Avec un peu de chance, il y a aura 3 victimes, A moi Lylou.

-Ne rêve pas, Nyarla. Rajouta le Mort-Vivant.

-De toute façon, Drow, tu comptera parmi les victimes, s’il y en a 3. Continua l’Orateur d’un ton déterminé.

-Ca y est, il veut ma peau. Lylou m’avait prévenu que tu… que VOUS étiez ingérable ! Fit le jeune Drow avec une révérence exagérée avant de se tourner vers Varloth sur un ton de reproche : C’est de ta faute, ça, Varloth. Toi et tes tendances à mettre les pieds dans le plat. Un digne représentant de la race Drow : « c’est colérique, c’est peu discret, ça ne se déplace pas comme un assassin, donc c’est faible ! » Ah, le Winner ! Si tous les Drows analyse les situations comme toi, je comprends que Jarlaxle s’en sorte bien et soit tout le temps sous-estimé.

-Tu as dis cela de moi, Lylouminai ?

un timide « oui » sorti d’une cape vivante
enfin, Oui, enfin, si on prend en considération les événements exacts : c’était la nuit, j’étais couchée et Nyarla insister pour connaître l’histoire en détail vu que le soir même le Mameleur de Brame lui avait parlé de cela.
Et puis, j’avais froid, Nyarla n’arrêtait pas de me retirer la couverture et me menaçait de la brûlée si je ne répondais pas et j’étais toute nue… En plus, même si il dort avec moi, il tient pas très chaud ce Drow, enfin Nyarla, et voilà quoi..

Dites sans vouloir vous déranger, c’est quoi un Orateur ? demanda le voleur dans le placard.

Varloth se calma, et garda un air calme et détendu...
Il avait vu une occasion de s'amuser un peu, puisqu'à priorit, le matamore n'oserait guère attaquer. Mais savoir qu'il avait un orateur en face de lui le rendait plus méfiant, il est vrai qu'il avait sous-estimé l'elfe... Une erreur qui aurait pu lui être fatale en combat, mais qu'il ne reproduirait plus.
De toute façon, ce n'est plus le moment de se chamailler, affirma-t-il. Il essora son piwafwi, l'air impassible, avant de se diriger dans sa chambre, pour y reprendre ses armes, qu'il inspecta soigneusement.

Nyarla prit la parole façon professeur : Un Orateur est un Chantelameur, en pire. Cela te suffit comme explication

L’Elfe Gris regarda le Drow s’éloigner, puis son regard se tourna vers le Demi-Elfe :
Fais comme ton comparse et décampe, misérable erreur de la nature ! Et d’ailleurs, tout le monde sort ! Laissez-nous seuls, Lylouminaï et moi !

-L’intelligence nous conseillerai d’obtempérer. Fit un Nyarla, rusé. Il connaissait le Moissonneur. Aussi savant que soit le vieux sage, il ne peut rien contre le Dragon Rouge par la seule force de son savoir.

-Toi aussi, tu sors, Elanthel, on laisse Lylou profiter de son bain.. de son reste de bain.

-De quel Droit oses tu me parler sur ce ton, Cadavre en armure ? Et de quel droit te permet tu de me tutoyer ?

-Du droit que je t’ai déjà vaincu, que je pourrai recommencer, mais que je refuse de le faire ici car notre combat provoquerait inévitablement des dommages collatéraux. Et je ne veux pas risquer la sécurité de Lylou. C’est pour cela que si vous vous étiez battus, je vous aurai séparé.

-Et cessez donc de la nommer Lylou! Elle se nomme Lylouminaï. Lylou est un nom pour une danseuse de petite vertu, pas pour ma femme! Il attrapa le bras de la demi-drow l’extirpant de force de son bain. Viens, nous partons. Cesse de te compromettre avec des gens de cette sorte, ce n’est pas digne.

-IIIrrk !

Puis Varloth retourna dans la chambre de Lylou, en disant :
Il est même appréciable d'avoir un orateur parmi nous cette nuit, par ailleurs, fit Varloth, d'un ton parfaitement neutre.

Xen ne dis rien, pas plus qu'il fit mine de bouger. Il n'avait pas l'intention d'obéir à cette caricature de drow...

Je retire ce que j'ai dis... Il avait entendu la dernière phrase du chantelameur. Varloth entendit un autre coup de sifflet, qui lui indiqua l'arrivée de "renfort". Visiblement, le chantelameur avait été repéré.
Ils vont attaquer le plus tôt possible, pensa Varloth. Maintenant qu'ils ont un chantelameur à leur portée, ils n'hésiterons plus à faire un carton plein!
Curieux... Comment Lylou fait-elle donc pour supporter ça? dit-il, en parlant du comportement du chantelameur, entre autre.
Un elfe qui affirme haut et fort qu'elle lui appartiens, sans qu'elle ne dise mot...
. Méfiant, guettant la réaction du chantelameur, Varloth se tint prêt, au cas où. Il n'avait pas l'intention de gaspiller contre un tel abruti les ressources magiques qu'il avait eu tant de mal à récupérer!
Mais il voulait avant tout voir Lylou réagir. Si elle avait en partie été élevée par sa tante, il devait forcément lui rester quelque chose d'elle!
Il avait parfaitement entendu la colère de Lylou, dans le couloir, et aurait bien aimé qu'elle récidive.

Message commun entre Xen (xen et Varloth), Zok (Lylou et Nyarla) et Anubis (les pnjs)

Qui dit discorde, dit baston et le genre de réflexions insidieuses, que pratiquait Varloth, allaient mener tout droit à la discorde.
De plus, un Drow dire ce genre de phrase, ça allait très mal à son teint de peau, mais, au lieu de le soutenir dans ses dires, elle sauta sur l’aubaine pour renvoyer les insinuations de l’Elfe noir au visage de trois êtres qui l’avaient particulièrement déçus :

-Ho ! Pour supporter ça, c’est juste une histoire d’entraînement, messire « Varloth, je parle comme si la dame en question n’était pas là ». J’ai tout de même eut comme professeur Nyarlarresh, « j’ai besoin d’une bonne à la maison » et l’Abatteur d’Arbre, « je frappe plus fort, donc tu obéis».
Sans compter messire Miroslave « l’homme qui avait besoin d’une fille pour rendre jalouse une autre, histoire que cette dernière lui tombe dans les bras facilement.».
Je dois beaucoup à ces hommes, franchement, sans eux, je n’aurais jamais été assez patiente pour supporter Elanthel. Qui, d’ailleurs, va me lâcher, et se comporter comme un Elfe digne de ce nom, si il veut que je le suive.

Tout était déjà prévu dans sa petite tête, souvent le silence verbal permet de placer ses pions sur l’échiquier de la vie et aprés audition des paroles du Drow, elle compris que lui ne savait pas se taire pour réfléchir, mais de toute façon, cela ne la regardait pas.
Elle songeait que seule, elle n’aurait jamais eu l’autorisation de Huckle pour partir. Mais, avec Elanthel, elle pourrait facilement s’extirper de la troupe. Les défauts de l’Elfe Gris étaient nombreux, mais s’était un homme de parole et si il donnait sa parole à Huckle de protéger Lylou, il le ferait. Huckle rassuré, il la laisserait partir avec lui.
Lylou n’était pas d’une intelligence exceptionnelle, elle laissait cela à d’autres, mais elle n’était pas stupide, elle avait entendu le mot épouse, ce qui signifiait mariage. De ce fait, si elle demandait à ce chantelameur de faire un détour par le temple mère de Sunie pour leur annoncer la « bonne nouvelle », il ne pourrait lui refuser et là, hop ! Elle pourrait disparaître aisément, couvert par ses comparses.

Mais j'aimerai d'abord pouvoir m'habiller et surtout être seul avec mon... futur mari? Est-ce cela??
Avant de commencer une partie de Sava, il faut toujours vérifier la couleur de ses pièces, c'est ce qu'elle venait de faire à travers cette question .

Damned!
Fut la première pensée de Varloth, tout simplement parce que son plan... Avait beaucoup trop bien marché! Et pas sur la bonne personne qui plus est, mais ça, c'était un risque à prendre... Et qu'il n'aurait pas dû prendre par ailleurs...
Maintenant il allait avoir respectivement sur le dos : le moissonneur, Nyarla... Et c'était déjà beaucoup! Il n'en laissa rien paraître, mais se prépara à disparaître au moindre signe de danger.

Oh... Il ne se sentait pas coupable, loin de là! Mais quand on est face à une vérité qui fait mal... Le coupable en l'occurrence était tout trouvé! Et là... La pirouette à faire pour arranger cette... Même pas erreur! Cette trop grande efficacité... Serait des plus spectaculaires et difficile à accomplir... Quand il l'aurait trouvée!
Hum... Où l'on oublis trop souvent que les mots aussi peuvent être anthropiques! dit-il, légèrement amusé malgré tout, et surtout malgré lui... Tout en disant cela, il s'était posté dos contre le mur, près de la porte encore ouverte.
Il allait bientôt devoir s'éclipser. Sans alliés, contre autant d'ennemi que Bregan d'Aerthe et des prêtresses de Lolth, sans compter les éventuelles esclaves... Il n'avait pas une chance.
Mais il lui fallait aussi un moyen de surveiller Lylou...
Or... Il n'avait pas oublié les intentions de Jarlaxle à son sujet.

Oui, ma chère, futur époux. Nous vivrons heureux loin de ce monde sale et décadent! Déclara le Chantelameurà Lylou, d'une voix poëtique.

-Vous avez entendu ? Tout le monde dehors, y compris l’armoire pipelette !Fit le Moissonneur d’Âmes. Nyarla, faut qu’on cause !
Le Moissonneur senti la présence de 10 Drows en plus, ce qui portait leur nombre à 26. Cela fait beaucoup pour une si peu nombreuse troupe
Dégagez !Continua-t-il soulevant l’armoire comme une plume, la retournant et la secouant, faisant tomber tout ce qui s’y trouvait.

Aïe ! Fit un voleur quand son arrière train subi un contact aussi douloureux qu’inattendu avec le sol. Quelle brute !

-Non, l’ami, la brute, ça sera ton copain quand il se réveillera. Répondit Nyarla avec une voix joviale. Je te suis, Moisson !

-Allez viens, mon petit. On doit discuter, nous aussi. Déclara d’un air narquois et peu rassurant un Mage Masqué à l’adresse du voleur ! Nous avons BEAUCOUP à nous dire ! Elle sourit méchamment

-Heu ? Vous venez d’une troupe, les gars, c’est ça ? Ca vous direz quelqu’un qui sait séduire mieux que personne les clientes crédules ? Demanda un Filermon de moins en moins rassuré.

-On a déjà !se contenta de dire le MdA

-Hum ! Je ne sais pas, il faudrait faire un concours pour les départager et garder le meilleur. D’ailleurs, il y a une farouche guerrière Elfe, en bas, cela devrait faire un test convenable. Proposa Nyarla, très motivé par la perspective de l’opposition de style.

-Au fait ! Fit le Moissonneur à tout le monde. Je vous conseille de vous préparer au combat. Il y a des Drows qui encerclent l’auberge. Près d’une trentaine de ces gêneurs sont ici. Il y a environ 20 assassins, 2 mages, un psioniste et une petite septaine de prêtresses ; sûrement de Lolth. Certains d’entre eux croyaient m’échapper en se planquant dans les plans éthérés, mais je les détecte aussi.
An nord de l’auberge, à 30 mètres, il y en a un qui est particulièrement puissant car il est bardé d’objets magiques, et pas des plus faibles. Ne l’approchez pas, vous ne feriez pas le poids, seuls Elanthel et moi sommes de taille contre lui. Attention, ils sont forts, savent se cacher, se téléporter et assassiner. Assurez-vous d’avoir assez de place pour agir. Nyarla, injecte l’antidote à ton poison au barbare : sa force ne sera pas trop !

-Bien ! Fit Nyarla au radar ambulant qu’était le Moissonneur een s'exécutant. Le barbare commença à émerger.

Message commun entre Xen (xen et Varloth), Zok (Lylou et Nyarla) et Anubis (les pnjs)

-Excusez-moi mais… qu’est-ce qui vous fait croire qu’ils veulent attaquer ? Peut-être veulent-ils nous connaître ? Discuter… peut-être sont-ils timides pour rester aussi discrets ? Prenez Nyarla : il est discret, ce n’est pas pour autant qu’il est un assassin ! Demanda une Lylou en toute innocence.

Tous les regards se braquèrent sur Lylou, façon soucoupes volantes, elle n’est pas de notre planète, c’est une extra-terrestre !

-Vous voyez la pureté de son âme ? Fit le Chantelameur. Une personne de cette qualité n’a rien à faire sur vos routes et dans une troupe. Sa place est parmi les Elfes Gris, seulement là pourra-t-elle s’épanouir dans la joie sans que cette âme ne soit corrompue. C’est pour cela que je suis venu la chercher !

-En attendant, tu voulais te battre, il sera temps de réitérer ton exploit de Menzoberranzan il y a 100 ans, Elfe. Dégaine et prépare toi à défendre ta vie et celle de la danseuse.Sorti le Moissonneur en dégainant son fléau.

-Mais qu’est-ce que j’ai dit ? demanda Lylou, interloquée.
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Pendant ce temps, Huckle entra en ville par la porte, ou plutôt l'ex-porte, nord. Cette délicatesse était certainement l'oeuvre du Moissonneur. Ce type avait la subtilité d'un dragon noir affligé d'une rage de dents abominable.
-Pfff! Il faudrait lui apprendre la subtilité. Mais c'est perdu d'avance: 700 ans d'habitudes destructrices ne se perdent pas en 10 leçons.
-[Luth] C'est un guerrier parfait! Je suis impressionné du résultat!
-[Piano] ... Euh?
-Tu as raison, Piano, que répondre à cela? Fit le barde avant de se remettre à chanter pour se diriger vers la place.
Quelque chose le choqua, tout de même: les rues étaient TROP désertes pour cette heure. Il cessa de chanter. Puis il haussa les épaules; cela devait être dû à la pluie qui venait de tomber.

Savoir le nombre de leurs opposants l'inquiéta. Environs SEPT prêtresses de Lolth!
Varloth fronça les sourcils.
Il doit y avoir huit prêtresses cher moissonneur... En effet, elles devaient sûrement représenter les huit pattes de l'araignée... Donc il en fallait une autre. Il invoqua Ir'Shahrss. Lui non plus ne serait pas de trop. Il l'envoya espionner ses ennemis. Il avait un instant caressé l'espoir de rallier Jarlaxle afin de capturer Lylou, mais face à une telle opposition, ce serait impossible... Il aurait déjà bien à faire avec tout ça!

Xen resta silencieux et renfrogné... Il n'avait guère envie d'affronter autant de drows, même accompagné d'un orateur, d'un moissonneur d'âme et de deux autres drows "alliés". Mais il n'avait pas non plus l'intention de se défiler...
Il ne m'étonnerait guère que nous ayons d'abord à faire à des Kobolds...

Varloth acquiesça.
Si je peux te donner un conseil Nyarla... C'est de te méfier du psioniste... Il va forcément chercher à t'affronter.
Puis au moissonneur : je suis, je pense, l'une des cibles principales... Avec notre chantelameur de service... Les prêtresses n'ont pas oublié son exploit... Je suis presque sûr qu’elles l’ont repérés quand il est arrivé, d'où les renforts dont je suis sûr que le Moissonneur a senti l'arrivée...
Ah! Et surveillez Lylou...

Dans le salon de l'auberge Ir'Edhel était toujours dans son fauteuil le regard perdu dans les braises de l'âtre de la cheminée, personne de l'auberge n'osait la déranger alors que l'heure tardive avait fait partir les derniers clients. Un vif sentiment de menace la tira de sa contemplation elle repéra l'agitation qui avait lieu à l'étage mais la menace ne semblait pas venir de là. Elle s'étira et sortit du confortable fauteuil dans lequel elle s'était glissée, elle se félicita de s'être tenue à l'écart de toute l'agitation que les drows avait généré car elle se sentait parfaitement reposé son existence d'aventurière lui avait permis de savoir tirer parti de chaque instant de calme pour recouvrer ses forces et cette atmosphère lui semblait être un de ces calme avant la tempête.
Elle referma donc sa gorgerine de cuir et décida de se rendre aux nouvelles, le moissonneur était ici et si ce dernier pouvait la repérer il saura sans doute quelle est la menace qui rode au dehors.
-Ouais sauf si c'est lui la menace.
Sottises, répondit-elle, en replaçant sa cape.

Elle traversa la salle et monta à l'étage, où elle vit une quantité de personnes qu'elle ne connaissait pas, Varloth était en train de donner des conseils de stratégie ce qui lui indiqua que la menace était plus grave que ce qu'elle avait pensé jusqu'alors.

J’aurais bien un plan, plaisanta Nyarla, on attrape l’Orateur, on attrape Varloth, et on leur livre.

J’aime particulièrement son idée. Rajouta Filermon qui lui était sérieux.

C’est un plan qui tient la route, mais je doute que nos deux cibles soient coopératives et surtout que ces Drows se contente seulement d’eux. N’oublie pas que tu as toujours une place au chaud dans un harem d’une matrone, Nyarla. Conclut le MdA de sa voix d’outre-tombe.

Aaaar. C’est vrais, ma foi. S’en compter que toi, tu serais une pièce mort-vivante très intéressante dans leur armée, quoiqu’à l’étroit dans les tunnels, fit le jeune Drow qui avait toujours du mal à rester sérieux.

Bien. Dans son optique de seigneur de guerre (qu’il fut pendant plusieurs siécles) le moissonneur tenta d’attribuer les taches, sachant parfaitement qu’aucun n’accepterai de recevoir des ordres… halalala, les aventuriers et leurs individualismes !
Bon, on s’éparpille, histoire qu’un sort de zone ne nous affecte pas tous mais personne ne reste seul.
Varloth et Nyarla, vous avez les mêmes codes ? Les mêmes techniques de Bregan d’aerth ? Bien, vous restez ensemble. Vous ne vous générez pas mutuellement ainsi.
Le barbare et la magicienne, ensemble, une force de frappe pour la protéger quand elle lancera ses sorts…..

Message commun entre Xen (xen et Varloth), Zok (Lylou et Nyarla) et Anubis (les pnjs)

Varloth acquiesça. La stratégie du moissonneur étant sûrement meilleurs que la sienne, il allait se contenter d'écouter et de faire des remarques.
C'est bien beau tout ça mais...
Varloth sortie plusieurs fioles de sa cape, du nombre de combattants moins le moissonneur présent. Y compris l'elfe archère qui venait d'arriver.
Que tout ceux qui ne résistent pas naturellement aux poisons boivent l'un des fioles. Sinon, vous tomberez endormis comme des mouches dès le début du combat.
Ceci dis, il en attrapa l'une d'entre elle et bu son contenu. Il vit le demi elfe (Xen) faire de même.
Il faudrait aussi préparer des défenses, se coordonner, dit Varloth.

.... Xen, tu vas avec l’elfe guerrière, vous avez fait route ensemble jusqu’ici, vous parlez les langues Elfique, vous pouvez donc communiquer dans une langue qu’ils ne comprendront pas et surtout vous êtes complémentaire : archère, homme de contacte.
Elanthel, Filermon, ensembles : sortilèges et attaque en traître font souvent bon ménage.
Le clerc et Lylou avec moi.
Lylou n’est pas une combattante, elle ne doit même pas être consciente du danger ! Tandis que toi, Clerc, j’ai jadis servit Lathender, je connais tes techniques de combat, je pourrais te protéger en plus de Lylou...je verrais pas la différence.

Nyarla bu, trouvant que son compère était un véritable magasin d’apothicaire ambulant.
Hum. Lylou, tu as le choix maintenant, soit tu restes nue pour décontenancer l’adversaire, soit tu t’habiles rapidement.

Ou soit je crée une aura de masse histoire qu’on me laisse tranquille.
Répondit la semi-drow boudeuse et fatigué de ne pouvoir avoir 5 minutes à elle sans le débarquement d’un voleur, d’un MdA, de toute une ménagerie et surtout d’une petite troupe de Drow visiblement hostile.

HOoo ! Je crois alors que leur plus beau souvenir ils l’auront devant eux, si tu restes nue. S’esclaffa Nyarla.

Tu es un malotru Drow ! Déclara, vindicatif Elanthel. Nous réglerons cela dans le sang après l’attaque.

Et voilà ! Il remet ça ! Soupira blasé le Moissonneur.

Il ne se repose jamais ? Ca doit être fatiguant à la longue ! Je comprends que les Chantelameur voyagent beaucoup… Doivent se faire jeter par les autres Elfes : Allez en quête ! Loin ! Très loin ! Un sourire mesquin s’affichait sur les fines lèvres du jeune Drow comique troupier.

J’ai pas de vêtement, sont dans la roulotte… Acheva lyloun assise sur son lit, que personne ne semblait vraiment écouter.

Varloth déclara :
Ce n'est pas vraiment le moment de s'occuper de ce genre de détail... Mais bon... J'imagine que notre mage masquée ne voyage pas avec cette seule tenue? Donc elle va gentiment prêter une tenue à Lylou...
Non pas qu'il soit vraiment préoccupé par cela, mais mieux valait régler tout ce genre de petit détail avant.
Et puis il voyait là un sujet possible de discorde, donc...

-Entendu, messire Xen je vous couvre, héla-t-elle le demi-elfe, elle ajouta en elfique:
-Nous appliquerons la même tactique que tout à l'heure A peine avait-elle fini sa phrase qu'elle disparu.
Enfin un peu d'action.

Xen hocha la tête, sans mot dire.
La même technique que tout à l'heure, répéta-t-il en haut elfique.

La Mage Masquée mentit:
Désolée! mes vêtements de rechange sont déchirés. Je compte profiter de mon séjour ici pour en acheter de nouveaux, mais nous sommes arrivés avec la nuit.
Pas question de prêter des vêtements à cette voleuse de compagnon!

Elanthel refusa la fiole de contre-poison :
Pas question que je boive un produit de Drow ! Et Lylouminaï non plus ! Il s’approcha de Lylou et plasmodia une incantation. Ce sort te protègera contre les poisons, ma chère. Il se lança le même sortilège.

Le Moissonneur déclina d’un simple geste la potion qu’on lui tendait :
Les poisons sont inefficaces contre moi ! Elanthel, lance également sur Lylou un sort de peau de pierre, ça peut être utile.
Un des serveurs, le crétin que j’ai bousculé, est adolescent, et il fait à près la taille de notre prêtresse. Que quelqu’un aille le trouver et lui demande chemise et pantalons propres : les robes ne sont pas ce qui se font de plus pratiques pour ce genre de situation.

Allez, le prêtre, soit serviable et vas-y ! Fit Nyarla qui n’avait pas envie de se déranger pour faire des courses.

Inutile ! Intervint le Chantelameur. J’ai ce qu’il faut.
Il sortit d’un sac qu’il portait au dos un paquet qu’il défit. C’était une tenue de voyage Elfe pour femme. Grise argentée, bleutée et de noir profond, elle était élégante et pratique. Il y avait une ceinture argentée et dorée et des bottes noires, fines et légères. Le tout à la taille de Lylou.
C’est pour toi, ma chère. Ils sont à ta taille.

Lylou, qui essayait tant bien que mal de jouer la comédie de la femme qui avait tout pardonné, ne pu s’empêcher de demander, sarcastique :
Des vêtements de femme ? Quand vous les avez achetés, vous vous êtes aperçu que ceci n’était pas à votre taille?

Nyarla éclata de rire, en s’appuyant sur le moissonneur, suivit de prés par les rires du groupe d’aventurier.

Message commun entre Xen (xen et Varloth), Zok (Lylou et Nyarla) et Anubis (les pnjs)

LYLOUMINAI ! Grogna l’Elfe gris, rouge de confusion, vert de rage, limite dans une colère noir et avec un sourire jaune, ce qui fait beaucoup de couleurs dans une phrase.
Je l’ai acquis spécialement pour toi. Pour que tu quittes enfin ces haillons de saltimbanque ! Et sortez tous d’ici, qu’elle puisse se changer.

Pendant ce temps, Filermon, Gertrude et leur comparses burent la fioles tendus par Varloth

Varloth se contenta de ricaner à la remarque de Lylou, particulièrement amusé. Il eut un sourire en coin, en observant le visage de l'elfe gris...
Où prendrons nous position? demanda Varloth au moissonneur.

Bien,commença le MdA, déjà, on va tous sortir pour que Lylou se change, ensuite…
Varloth, Nyarla. Les couloirs ! Vos techniques se révèlent dans les endroits étroits. Et vous pourrez couvrir les escaliers, ainsi.
Xen et notre archère, avec votre agilité, sur le toit, histoire de stopper les petits malins qui essaieraient de rentrer par là.
Le Mage Masqué et le Barbare, la salle principale, histoire d’avoir de l’espace pour agir.
Filermon, Elanthel, la cuisine. Vous pourrez appuyer ceux qui sont dans la salle principale au cas où…
Nous, nous allons déménager dans la plus grande chambre. Ici, je serais aussi dangereux pour mes alliés que pour mes ennemis si je dois me battre.
Dès que tout le monde est en place, on place des pièges et on barricade les accès. Que quelqu’un prévienne les clients pour qu’ils s’en aillent et qu’ils préviennent la milice. Quelques lances de plus, même inexpérimentées, ont tout de même une certaine utilité.

-Je reste ici, Fit Elanthel. Afin de protéger Lyloumminaï au cas où ils attaquent plus tôt.

-Tu sors : je serai derrière la porte et je sentirai si quelqu’un tente de l’attaquer !
Tous durent sortir sous peine de faire partit du scripte du prochain « massacre au fléau ».

Varloth eut une très mauvaise intuition avant de sortir. Laisser Lylou seule... ?
Il dit au moissonneur : attention aux portails de téléportations... Je pourrais lancer un sort contre ça... Mais ça ne ferais que gagner quelques secondes...

Fais donc. Quelques secondes, c'est toujours cela de prit. Fit le Moissonneur.
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Huckle arriva à la place du village. Son regard se tourna vers la monture mort-vivante du Moissonneur d’Âmes qui attendait devant l’auberge. Sûrement y est-il ?
Il arrêta le chariot, tapa contre la paroi avec un « Allez, les tourtereaux ! On est arrivé à l’auberge ! » et descendit pour entrer dans l’auberge, suivi de presque tous ses instruments, le Piano ne pouvant pas suivre, la porte n’étant pas assez large.

Messieurs-Dames, bonnes gens et brave aubergiste, je vous salue bien bas ! Fit le Gnome bariolé avec une révérence. Auriez-vous vu un guerrier peu engageant passer par ici ?

Tous les convives, serveuses, serveurs et aubergiste indiquèrent l’étage du doigt
Huckle fut un temps décontenancé par cette promptitude.

Il n’est pas discret, hein ? Fit-il avec un sourire. Ma mère m’a toujours dit : tu paraîtras toujours sympathique si tu te fais précéder d’une brute infâme !

La remarque fit rire l’assistance.
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OUuuuf ! Enfin seule… Bon déjà finir de ma laver. Dit Lylou en se relavant à l’eau claire car franchement, la chute d’un Varloth dans sa baignoire, on a vu plus… Enfin, plus hygiénique quoi.
Avec une éponge, qu’elle trempait dans un broc d’eau froide, elle parcourut son corps d’ébène plus rapidement que lascivement puis se sécha.

On devrait commencer à pièger l'auberge. Ou peut-être attaquer les premiers, histoire d'avoir l'effet de surprise. Proposa Nyarla

Varloth lança son sort avant de dire au moissonneur : si jamais je ne sens plus mon sort, où si je sens une téléportation, je vous avertit... Ça sera à vous de jouer.
À Nyarla :
Attaquer les premiers... Non, ce n'est pas une bonne idée. Tu ne pourrait qu'atteindre un seul d'entre eux, et le reste te tomberaient rapidement dessus. Ça nous gâcherais l'effet de surprise : ils ne s'attendent pas forcément à ce que nous sachions qu'ils sont là...
Il n'y croyais pas beaucoup, mais enfin...
Non. Le mieux à faire, c'est d'attendre et de se préparer.
Ceci dit, il commença à lancer plusieurs sorts, dans le but de se protéger, puis il lança plusieurs glyphes dans le couloirs, et dans les escaliers. Il paracheva son travail en camouflant les glyphes magiques à l'aide d'un sort de non-détection.
Puis Ir'Sharhss revint au rapport. Il y avait bien 8 prêtresses. Varloth réfléchit un bref instant. Dans le pire des cas... Il mettrait le masque. Mais il l'éviterait aussi longtemps que possible.
Xen, lui, utilisa son gantelet pour pouvoir voir sa coéquipière. Un halo bleuté la contourna bientôt. Ainsi, Xen, et lui seul, du moins pour le moment, pouvais la distinguer. Ce qui était plutôt précieux en combat.
Sur le toit donc. Allons-y, dit-il.

Message commun entre Xen (xen et Varloth), Zok (Lylou et Nyarla) et Anubis (les pnjs)

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Et pendant ce temps, dans la chambre... Des choses terribles se préparent! TadAAdaaaam! (musique de circonstance)

Lylou venait de finir sa toilette, quand un portail s'ouvrit dans son dos.
Notre Varloth aurait du penser aux thaumaturges! Il a en effet interdit toutes téléportations, mais malheureusement, ce genre de sort n'affecte pas les portails de thaumaturge! Et oui! Au cas où vous n’êtes pas convaincus : de toute façon, c'est de la magie, 'pouvez pas comprendre et toc !

Un Jarlaxle, toujours aussi bizarrement accoutré pour un drow, c'est à dire : veste entrouverte laissant voir sa "tablette de chocolat" (c'est trivial, je sais...), large chapeau à plume, cape multicolore, bijoux clinquants, et j'en passe; fit sa soudaine irruption surprise, et se saisit rapidement de Lylou, en disant : brorn!! (HRP : surprise, mais en drow! BWaha!)
Un vrai diable sortant de sa boite!
Même si là, le diable: c'est un drow, et la boite: un portail, ce qui donne : Un drow sortant de son portail.

Lylou, elle, poussa un "IIII..." de circonstance.
Logique : elle est nue, viens de se laver, même pas encore essuyée. « IIII » qui s'arrêta immédiatement, puisqu'elle venait d’être entraînée par le portail par un mercenaire chauve avec un chapeau à plume.
Le portail se referma, laissant la pièce totalement vide et silencieuse. Ce qui changeait d'il y a cinq minutes, où se déroulait le vaudeville (Cocasse tout de même), vaudeville avec : un drow un elfe et demi, un masseur d'dame, une mage masquée berserk répondant au doux nom de Gertrude, un voleur, une Lylou, 2 fiancées dont 1 ne le voulait pas, mais pas trop...

S'il y avait eut le Moissonneur dans la chambre, il est peu probable qu'il aurait pu réagir : il serait plutôt resté bouche bée devant ce qu'il aurait éventuellement vu : un drow bizarre apparaissant de nulle part, emportant, aussitôt fait, Lylou dans son nulle part personnel.

Plus loin... Beaucoup plus loin (on n'est jamais assez prudent n'est-ce pas?) Lylou réapparut en compagnie de Jarlaxle, un acolyte à ses côtés, et dans la forêt. Sous un arbre, avec des z'osiaux qui furent effrayés par un cri strident, le fameux Iiiii d’une barde terrorisée.
.Iiiiik! Étouffé vite fait par Jarlaxle qui plaqua une main contre la bouche de la Banshee junior. Profitant de l’occasion, Lylou se débattit dans les bras de son kidnappeur, qui tentait tant bien que mal de la maîtriser, surtout mal... très mal... quand le poing fermé de la jeune prêtresse entra, avec violence, en contacte avec l’entrejambe du Drow qui écarquilla les yeux plus étonné que blessé.

Kimmu..AIE ! Mais ?? Elle me mord ! Kimmuriel agit !
Il attendait visiblement une action de son complice qui restait, au lieu de ça, la bouche bêtement ouverte; il ne lui manquait plus que le filet de bave aux commissures des lèvres. Sacrée Lylou. Sacrée Sunie aussi!
Jarlaxle, pendant ce temps, faisait de la lutte avec Lylou, ce qui ne devait pas le laisser indemne! Elle était nue, après tout! Le pauvre drow ne savait d'ailleurs par trop comment l'empêcher de se débattre, une vraie anguille qu’il décida de plaquer au sol (vive la cuisine de Maïté) profitant de cet instant de répit pour flanquer un coup de pied dans le tibia de son lieutenant, histoire de le réveiller

-Ahouu !Hurla celui-ci reprenant quelques instant ses esprits.
-Aië! Ouch! Mais... Kimmuriel, arrête de baver! Ce n'est pas le moment! cria Jarlaxle pour se faire entendre par le semi-zombi demi-drow.

Kimmuriel Obblodra, l'acolyte, et accessoirement thaumaturge et psioniste, lieutenant de Jarlaxle (il cumule l'enfoiré!) dissipa finalement et sans plus attendre le sort de protection qu'avait lancé Elanthel sur la prêtresse, ce qui permis de l'envoyer au pays des songes et de Morphée grâce à un dard imprégné d’un petit somnifère maison.
Jarlaxle se releva se massant une certaine partie, en soulignant dans sa mémoire qu’être assassin était drôlement plus simple qu’être kidnappeur. Puis, il releva la poupée de chiffon qu’était devenu la semi-drow pour l’enrouler d’une lourde couverture, cachant sa nudité et la tenant au chaud.

Ça, c'est fait! fit Jarlaxle avec un grand sourire, mais il fronça les sourcils, car il s'entendit à peine parler. Il se gratta l'oreille mais rien n'y fit : la belle Lylou avait bel et bien vrillé le tympan du sieur Jarlaxle! Et de Kimmuriel par la même occasion, puisque Jarlaxle n'étouffa pas entièrement son cri une fois le portail passé.

Kimmuriel, d'ailleurs, complètement surpris par la soudaine arrivée de l'aura de la jeune prêtresse, en resta coi un instant, avant de reprendre contenance... Enfin presque, disons quelque chose qui s'en rapproche (vaguement):

-hein? (je vous avez prévenu)

-Jarlaxle signa : #je n'ouïe plus rien... Elle a de la voix cette petite!#

-#ah! ah... ah?# signa successivement l'acolyte, visiblement... Troublé (finalement, il a pas repris contenance)

-Ca ne va pas être simple, là, dans l’immédiat. Soupira le chef de Bregan d’Aerthe en voyant l’état de son bras droit. #Allez ! Va récupérer, qu’il soit consentant ou pas, Varloth.#

Le Moissonneur senti une vie dans la chambre. Avec une vitesse anormalement élevée pour quelqu’un de son gabarit, il frappa à travers la porte de son Fléau. Hélas un poil trop tard : au moment pile où les boules à pointes allaient broyer le Drow qui était entré, celui-ci avait disparu, avec Lylou. Cela s’était joué à quelques centimètres !

Enragé, le Mort-Vivant franchit l’ouverture où, peu de temps auparavant, il y avait une porte maintenant réduite à l’état de bois à barbecue. Il ne pu que constater les dégâts !
RHAAAA !!!! Hurla-t-il d’une colère non contenue…
Il avait reconnu l’aura. C’était le Drow puissant dont il parlait auparavant. Il avait surpassé le sort de Varloth. Si seulement le Moissonneur était resté dans la pièce. Il aurait la fraction de seconde qu’il lui manqué. Cet acte était inacceptable. Ce Drow, quel qu’il soit, paierait de sa vie !

Message commun entre Xen (xen et Varloth), Zok (Lylou et Nyarla) et Anubis (les pnjs)

Houla ! S’exclama Huckle. C’est la guerre ou quoi, là-haut ?
La sagesse lui commanderai de ne pas se mêler des disputes de couples, mais la curiosité est, chez les Hobbits, dont il est à moitié, un art de vivre. Il monta donc les escaliers dans un : Tavernier, pourriez-vous exaucer le vœu le plus cher de mon gosier sec en servant une pinte de bière blonde bien fraîche ?

Nyarla, qui s’était à peine éloigné, vit la réaction du Death Knight et, le plus souvent, quand celui-ci agit de cette façon, ce n’est pas innocent... Entendant le hurlement de colère du mort-vivant, il se précipita dans la pièce :
-QUOI ?
Il constata immédiatement qu’il manquait quelqu’un :
-Ne me dis pas qu’on a réussit à l’enlever !

-Alors, je ne te le dirais pas, mais tu as deviné juste ! répondit un Death Knight qui essayait de retrouver son sang froid.

Nyarla tapota nerveusement de son cimeterre sur sa cuisse en se déplaçant de long en large dans la chambre
-Qui ? Je croyais que Môssieu Varloth avait fait un sort qui empêche de se téléporter ! Car il s’est téléporté : s’il avait toqué à la fenêtre, il serait déjà mort ! Siffla-t-il en frappant ladite fenêtre du pommeau de son arme (pauvre ex-fenêtre !)

-Le puissant bardé d’objets magiques !

-Vous ici ? Fit une voix fluette familière.

-Oh non, pas lui ! Pour Nyarla, on commençait à tomber de Charybde en Scylla. Bon, Huckle,je suis innocent! Et le coupable va regretter de s'être déplacé... Ensuite, suffit la défense ! La meilleure défense, c’est l’attaque ! Fit-il quittant la pièce d’un pas décidé et reversant le Gnome au passage. Et je crois qu’on devrait trouver Varloth. Quelques erreurs inattendues, c’est une coïncidence, quand elles ont cette taille, les erreurs, c’est un plan bien préparé façon Bregan d’Aerth!

Varloth, entendant la colère du moissoneur et celle de Nyarla, jura. Il venait de comprendre que Lylou venait d'être kidnappé, et une évidence s'imposa à son esprit : Kimmuriel!
Puis entendant les suites des paroles de Nyarla, il jura encore plus. Inutile de rester pour essayer de s'expliquer!
Mieux valait lui donner raison et rester en vie...

Il courra donc vers les escaliers, sauta par dessus la rambarde. Varloth était un être purement pragmatique. Il savait reconnaître le moment où "changer de camp" s'imposait.
En l'occurence, Lylou venait de se faire capturer par un inconnu bardé d'objet magique. Et lui avait pour mission sacrée confiée par Vhaeraun de la protéger et surveiller. La suite logique de tout cela était donc que Varloth organise sont retrait vers Bregan d'Aerthe... Avant qu'on ne le trouve... Et en contactant d'abord Jarlaxle avant quiconque d'autre...

Atterrissant près de la porte de l'écurie, il s'y précipita, mais fut accueilli par un contingent de trois assassins de Bregan d'Aerthe... Ce qui ne lui aurais pas donné plus de mal, si le même Kimmuriel Obblodra ne se trouvait pas avec eux...
Pris à contre pieds, Varloth tenta d'inverser sa course, jurant une nouvelle fois. Il essaya aussi de mettre son masque, mais les pouvoirs psionistes étaient beaucoup plus rapide... A peine avait-il commencé à faire demi-tour qu'une frappe psionique l'atteignit de plein fouet, et l'envoya valdinguer contre le mur de l'écurie, l'assommant pour le compte...

Kimmuriel avança vers Varloth, et usant de ses pouvoirs psion localisa le masque. Il le prit et le jeta un peu plus loin, de peur de le regretter...

Puis il se tourna vers l'un des "assassins". Il faisait sensiblement la même taille que Varloth...
Mais surtout, il avait l'air bizarre, disons... Pas très naturel.
Il s'agissait en fait d'un ennemi de Jarlaxle, qu'il formait depuis quelque temps, ou plutôt que Kimmuriel formait depuis quelque temps, à coup de manipulation mentale, pour le faire agir comme l'élu de Vhaeraun, qu'il était supposé être dans moins de 10 minutes face aux prêtresses de Lolth.

Kimmuriel lui mit le masque d'élu de Vhaeraun.
Puis il ordonna aux deux assassins de transporter Varloth, au travers un portail qu'il traversa ensuite. Laissant dans la grange un drow persuadé d'être l'élu de Vhaeraun, le masque sur le visage...

Kimmuriel se demanda ce qui pouvait bien justifier aux yeux de Jarlaxle le risque de réintégrer Varloth a Bregan d'Aerthe alors qu'il était pourchassé par 8 prêtresses de Lolth...
Mais les plans du mercenaire restait bien souvent obscure à tous, mis à part lui même...

(et plein de pavés !)

Autre part …
Près de la bordure d’une strate du Nirvana des Rouages de Méchanus se trouvaient 6 créatures, la première était un « humain » d’environ 3m habillé de manière simple mais élégante, tenait entre ses mains un bâton à sa taille, ce dernier était finement sculpté et diffusait une douce lumière rougeoyante, si on excepte sa taille, cet « humain » semblait être tout à fait normal, à un détail près : ses « yeux » était d’une noirceur absolue, c’est-à-dire, il n’avait pas de blanc d’œil.
4 golems d’adamantine accompagnaient l’autre protagoniste, ce dernier était un Dao aussi de 3m, il était richement vêtu ( ou même couvert de gemmes … )
Le dao était en colère :
Pourquoi les avez vous tous massacré ? Même ma famille ?!
Son interlocuteur répliqua dans un grand sourire :
Voyons, le pacte était pourtant très clair : je fais en sorte que vous devenez roi de la cité de Onthonnegaar et que je supprime tout vos opposants et traîtres possibles… or, comme vous devriez le savoir, il est dans la nature des Daos de trahir leur maître, dans cette optique j’ai été obligé par notre pacte de devoir tous les éliminer, même votre famille.
De plus vous devez être fort content que maintenant aucun Dao n’est capable de douter de votre légitimité.
A quoi sert d’être roi d’ une ville fantôme espèce d’ @#~%¤ ?!
Je ne le sais pas plus que vous, je n’ai fait qu’honorer notre marché, à vous de respecter votre part…
Vous pensez réellement que je vais vous donner toutes mes concessions ?
Il ne serait guère sage de votre part de ne pas le faire, les magies ancestrales liées au pacte auront tôt fait de le faire s’accomplire…
S’en n’était trop pour le Dao :
Golems ! Tuez cette vermine !
Il est dommage que vous le preniez ainsi…
Alors que les golems s’avancèrent pour attaquer « l’humain », ce dernier fit un bond en arrière et tomba par delà la strate, pendant sa chute il prononça quelques mots et disparut.
@%µ#£ ! il s’est échappé !

Message commun entre Xen (xen et Varloth), Zok (Lylou et Nyarla) et Anubis (les pnjs)

Et votre bain? Il va être froid!
Demanda-t-elle innocemment.
Je ferais mieux de vous laisser et...de me changer ailleurs, attendre que la roulotte arrive.

Varloth répliqua : un bain, ça peux attendre. J'aimerais que vous répondiez à quelques questions avant...

Il va être froid..
Ce qui déranger le plus Lylou, c’est d’imaginer les pauvres employer de l’auberge vider et remplir la baignoire par la faute d’une discussion entre elle et Varloth.
Nan. Je ne réponds à aucune question. Elle avait prit sa décision . Si je réponds à vos questions, le bain que vous avez exigé sera… atchaaa ! Froid et après, vous allez de nouveau demander un bain chaud.
Dit-elle toujours dégoulinante d'eau.

Je m'en passerais si vous acceptez de répondre à mes questions, répliqua-t-il. Il lui mit une couverture sur les épaules. Lui même ôta son piwafwi, qui l'avait protégé de la pluie.
Et puis se ne sera peut-être pas assez long pour que mon bain refroidisse, à moins que vous n'insistiez encore!

Mais???
Là, il venait de souffler la jeune prêtresse.
Mais vous ne m'en posez pasAATchaaAA.
Mettre une couverture au dessus d'une cape trempée ne servait à rien et, lylou, elle le savait mais ne savait comment lui expliquer sans le vexer.

La cape, fit Varloth, quand elle éternua. Il l'enleva, et remit la couverture.
Bon, dans ce cas, je vais vous en poser des questions. Ce Varlofein, est-il un mage? Possède-t-il un grimoire? Si oui, à quoi ressemble-t-il?

Oui, il est mage, enfin, il ne me l’a jamais vraiment dit en face mais il est mage sinon, si des personnes qui ne sont pas mage, font ce qu’il sait faire, je ne vous dis pas les pouvoirs des mages, alors !
Je ? Elle se tourna et regarda la cheminée. Je peux m’asseoir en face de la cheminée ? Je suis vraiment glacée.
Dit-elle emmitouflée dans la couverture en éternuant à nouveau et plusieurs fois de suite.

Allez-y, dit-il.
Si c'est un mage, il doit avoir un grimoire, l'avez vous vu? insista-t-il.

Y'a plein de grimoire partout chez atchaa! Je ne peux pas... Vous en recherchez un en particulier?
Demanda-t-elle en s'asseyant devant la cheminée.
Vous pouvez juste un peu vous tournez?

Varloth se retourna, en réfléchissant. S'il y en avait beaucoup, il était fort possible qu'elle n’ait pas bien retenu les détails du grimoire qui l'intéressait en l'occurrence, et qui pouvait l'aider à trancher sur l'identité dudit Varlofein.
Passons pour le moment. Avait-il des connaissances particulières?

Je ne sais pas. Tout dépend ce que vous appelez des connaissances particulières.
Rapidement, Lylou fit tomber sa couverture pour enlever son pull et s'enrouler dans la couverture.
Je peux y aller, maintenant? J'aimerais trouver des vêtements de rechange pas trop mouilléAAtchaa.

A présent, cela faisait plus de 5 éternuements, et Nyarla, qui tentait de se reposer, commençait sérieusement à s’énerver.
Il sortit de son bain et s’essuya.

Varloth soupira. Pour le moment, ça ne valait pas la peine de continuer.
Allez-y... dit-il, en regardant par la fenêtre, et réfléchissant. Ses questions étaient peut-être trop précises. Je vous poserait d'autres questions plus tard.

Lylou sortit mais avant de refermer la porte, elle rajouta :
Je ne sais pas où vous voulez en venir avec ses questions, mais sachez que Varlofein, lui, ne me prenait pas pour son chien.
PAFF.
Lylou qui d’habitude si calme, claqua la porte. Décidément, tout les mâles sont les mêmes songea-t-elle amèrement après cette fait traiter de la sorte.
Oui, je vous reposerais des questions plus taAard... Fit-elle dans une médiocre imitation de Varloth. Pas besoin de s’il vous plait… vous êtes une Ibblith.

Nyarla qui était avait enfilé son pantalon, regardait la scène, amusé. Une lylou vexé qui déambulait, presque nue, dans les couloirs était toujours distrayant.
Et bien, il semblerait que toi et Varloth ça marche du tonnerr….

Il se décocha un regard noir de la part de la barde suivit d’une phrase cinglante.
Moi et les pures-race qu’ils soient Elfe gris, noir ou humain, ça n’à jamais marché et même si, un jour, l’un d’eux fait remonter dans mon estime votre misérable petit sang pur, je ne changerais jamais plus d’avis ! Finit les drows, les elfes et les… HOMMES EN GENERALE !
Elle descendit d’un pas ferme les marches de l’escaliers.

Le Drow resta interloquer quelque instant avant d’éclater dans un rire bruyant et non contenu .
Faudrait encore que l’un d’eux s’intéressent à toi, soupière !

Xen, qui avait entendu du vacarme, sorti de sa chambre, où il s'était changé, pour voir une Lylou toujours aussi peu vêtue descendre les escaliers vers la salle.

Varloth lui, pesta une fois de plus, puisque pour lui elle se vexait pour rien.
Et entendant ces derniers mots, il s'énerva, et la suivit dans l'escalier, pour la rattraper et lui murmurer, afin d'éviter que Nyarla ou le demi-elfe ne l'entendent : si j'aime Sekhmet, alors qu'elle n'est pas une drow, c'est peut-être bien que je ne la considère pas comme une Iblith non? demanda-t-il.

-Et bien moi, je ne me demande pas pourquoi elle en aime un autre !
Prononça-t-elle sans cacher sa voix.
Vous voulez être gentil. Dit elle en tapotant de ses deux mains les épaules du Drow. Allez embêter quelqu’un d’autre que moi car là, des hommes et de leur problème de cœur, j’en ai soupé.
Elle avait gardé le sourire durant toute cette phrase qu’elle dit sans aucune méchanceté bien que son intonation maternelle aurait pu vexé.
Pour une fois, je vais penser à moi en premier. Là, j’attends la roulotte, la fin de l’averse et je m’en vais, je vous laisse entre Drow, raciste, dit-elle en regardant Xen, Mort-vivant, amoureux transit ou pas et je rentre au temple « mère » de Sunie.
Sans ménagement, elle empoigna les épaules de Varloth, lui fit faire une volte face et lui montra du doigt le demi-elfe :
Vous voyez lui, il aime pas les Elfes Noirs, allez échanger vos points de vu, je suis sur que vous vous amuserez comme des petits fous, entre grand subtil que vous êtes !
Elle s’en alla vers le comptoir et demanda, gentiment et aimablement, si elle pouvait avoir un bain dans une des chambres. .

Varloth haussa les épaules quand Lylou reparti vers le comptoir.

Xen le regarda avec étonnement, avant de rentrer dans sa chambre. Il n'avait rien compris et n'était pas sûr de vouloir comprendre...
Ca l'embêtait qu'elle pense de lui qu'il soit raciste, mais il avait ses propres problèmes.

Varloth, lui, remonta dans sa chambre pour prendre finalement son bain.
Il l'empêcherait, si possible, de partir. Sinon, il en aurait fini ici. Ce qui, en soit, ne le dérangeait pas sinon que cela signifierais sans doute l'échec de la mission.
Et puis le problème de Varlofein le préoccupait toujours.

Une splendide demi-Drow, à moitié à poil, se baladant ainsi dans l'auberge, il n'en fallait pas plus pour faire réagir un barbare bien connu:
-Par Tempus! Fit un gros dur interloqué par une vision d"un corps qui, visiblement était nu sous une couverture... une simple couverture...
Il se leva et s'approcha de la mignonne qui commandait un bain.
Montez le bain dans ma chambre, dit la brute au tôlier, puis il susurra je frotte très bien les dos, donzelle.

La donzelle en question avait perdu son sourire pour afficher une mine blasée. Elle attrapa sur le comptoir un paquet de lin contenant du sel, qu’elle versa rapidement dans un pichet tout proche d’elle, sur une table, pour jeter l’ensemble, qui donnait une patte mi-liquide, sur le lourdaud.
-J’ai préparé les sels de bains, t’as plus qu’à frotter si tu veux pas que ton armure rouille.
Et le bain dans MA chambre, ce gars n’a pas besoin de baignoire pour se laver, les canaux d’évacuation des eaux usagées devraient lui suffire.

Il arrive parfois que la goutte d’eau fasse déborder le vase, ce qui était le cas aujourd’hui et quand le sang d’une demi-drow bouillonnait, souvent les premières victimes était les globules humains de ce même sang, ce qui laissait les origines Drows pleinement s’exprimer.
Je t’excite tant que ça ? Et bien regarde ce que tu n’auras jamais car nous ne jouons tellement pas dans la même catégorie que je me demande si nous pratiquons le même sport ?
Elle laissa tomber sa couverture, se retrouvant nue et remonta les escaliers avec un orgueil et un maintient digne d’une reine, peu vêtue, mais d’une reine tout de même.

-RHhaaa ! Tu es digne d’un grand guerrier comme moi ! Fit-il en se jetant littéralement sur la nymphette, qui l’évita de justesse, avant qu’un dard ne se fiche dans un des points faible de son armure : sa nuque, pour l’expédier au pays des songes.

-Elle a raison cette petite, vous n’êtes vraiment pas de la même catégorie, regarde toi : Rhaa ! Femelle ! Sauter dessus! Tu fais le même discours aux chèvres. Cette dame a besoin de douceur et de séduction… ça tombe bien, c’est ma catégorie.
Le voleur s’inclina avec élégance :
Pardonnez mon compagnon d’arme, noble damoiselle, force brute et intellect sont rarement dans la même personne.
J’ose espérer qu’il ne vous a point fait de mal dans cet engouement subite du à ses pulsions animales ?

-Navrée mais votre catégorie des jolis cœur menteur n’est pas la mienne. J’ai déjà donnée.
Je joue dans la division des sincères et tendres, en gros une division inexistante chez les hommes.
Tandis qu’elle disait cette phrase, Lylouminaï se demandait si elle était sincère mais d’aussi loin qu’elle se rappelait, elle n’avait jamais croisée un tel homme, donc, elle ne mentait pas.
Sur ce. Elle finit de gravir les marches pour rejoindre sa chambre.
Dans le couloir, il n’y avait plus personne. Nyarla, Varloth et Xen étant tous retourné à leurs problèmes. Cela la fit sourire, si ce voleur n’était pas intervenu, elle aurait passé un sale quart d’heure d’autant plus qu’aucun de ses soi-disant compagnons ne l’auraient entendus et ne seraient intervenus.
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Et dans le village, plusieurs silhouettes se glissèrent dans les ombres...
Inspectant, analysant le terrain. La nuit était tombée depuis quelques temps déjà, et le temps étaient idéal : la lune, qu'on ne voyait déjà pas beaucoup en cette période du mois, étaient entièrement cachée derrière les nuages. En bref, c'était une nuit noir.
Et la pluie commençait à cesser. Dans quelque temps, les drows allaient frapper.
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Lylou n’avait pas attendu longtemps pour son bain et elle s’y glissa avec un petit soupir de jouissance non dissimulé.
Au chaud, se détendant, tête plongée sous l’eau, elle se promit intérieurement que le premier qui viendrait la dérangeait dans son bain, homme d’auberge, de la troupe, dragon ou aventurier vraiment malchanceux se prendrait une lumière sacrée de Lathander en pleine poire et sans préavis, ni avertissement.
Il y avait des limites à ne pas franchir et la porte de sa chambre en était une.
D’ailleurs, une fois la tête sortie de l’eau, elle prépara le sort, prête à le dégainer comme un cow-boy dégainerait son 6-coups, si un malheureux imbécile faisait irruption dans sa chambre.
La préparation de son sort fut ardue car entrecoupé d’éternuements intempestifs et bruyants qui dénotait que son rhume s’était empiré.

Varloth se plongea dans son bain, en soupirant. Ce qui permit de le détendre. Encore bien chaud, cela lui permit aussi d'entrer rapidement en rêverie, histoire de pouvoir dormir (enfin!) un peu. Il ne fut même pas dérangé par les éternuments de Lylou, car après tout, quand on veux dormir, on dors!