Hummmm il serait bon de ne pas trop donner ce genre de détails car tout le monde n'a pas 22ans, jeune homme...
Bon, trop tard, c'est fait, c'est fait.
En effet, l'onanisme se suffit à lui-même comme la personne qui le pratique se suffit à elle-même lors de la masturbation solitaire. Donc, si tu vois de l'esprit là-dedans... Enfin, on dit bien que les mecs pensent avec leur q**** donc bon, ça se défend l'idée de l'esprit ^^
Ca éclaire ta lumineuse vessie?
Minute cuturelle de Plume :Quotons Wilkipédia pour ceux qui aurait raté un épisode quant à l'onanisme.
OnanismeL'onanisme est une forme de masturbation
ou de contraception naturelle chez l'homme, qui consiste à retirer son pénis du vagin de sa partenaire, avant l'éjaculation, pour éviter la fécondation de l'ovule.
(Mot pour mot, joli copy-paste sans citer sa source, pas bien !!!) Cette méthode ne fait que diminuer le risque de fécondation.
Dans la terminologie de l'Église catholique, l'onanisme désigne toute éjaculation en-dehors du vagin féminin. Aujourd'hui, il désigne indifféremment la masturbation masculine ou féminine.
Référence bibliqueEr et Onan étaient les deux fils de Juda. Er mourut pour avoir été méchant. Le père voulut que son second fils Onan épousât la veuve, selon l’ancienne loi des Égyptiens et des Phéniciens leurs voisins : cela s’appelait susciter des enfants à son frère. Le premier-né du second mariage portait le nom du défunt, et c’est ce qu’Onan ne voulait pas. Il haïssait la mémoire de son frère; et pour ne point faire d’enfant qui portât le nom de Er, il est dit qu’il jetait sa semence à terre
(on ne se demandera pas comment ni si c'est la femme qui recrachait (je suis immonde ^^)), enfreignant ainsi la loi du lévirat. Il fut puni de mort par Yahvé.
et comme il y en a qui se demandent ce que c'est que cette histoire de
levriat:
Le lévirat est un type particulier de mariage où une veuve épouse le frère du défunt, afin de continuer la famille de ce dernier. Les enfants issus de ce remariage ont le même statut que les enfants du premier mari.
Cette pratique, souvent forcée et combinée avec la polygamie, est notamment encore pratiquée dans certains pays africains. Le Bénin l'a interdit en même temps que la polygamie le 17 juin 2004. Elle est encore pratiquée dans plusieurs pays d'Afrique de l'Ouest, dont le Burkina Faso ou le Togo. Elle existe également dans certaines communautés du Tchad.
Le lévirat est dénoncé comme étant une pratique rétrograde, limitant les droits des femmes et maintenant l'idée qu'"une veuve fait partie de l'héritage".
Certaines campagnes de prévention du Sida, en Afrique, stigmatisent la pratique du lévirat en indiquant que celle-ci favorise la propagation de la maladie. Outre le fait que cela n'est pas vrai sur le plan épidémiologique, certains auteurs font remarquer que la pratique du lévirat est la seule mesure de protection sociale dont bénéficient les veuves dans ces pays, et qu'il n'est pas forcément bienvenu de lutter contre cette pratique sans en remplacer l'aspect social.
Durant l'Antiquité, le lévirat était pratiqué notamment par les Égyptiens et les Phéniciens. On en trouve trace dans la Bible, en particulier dans l'histoire de Er et d'Onan.
Fin de la minute culturelle de PlumeVoili voilou ^^
NB : Sur un autre site, il est question de l'onanisme vaginal :
L’onanisme vaginal consiste à introduire dans le vagin, le doigt, une chandelle, une carotte, un navet, un étui à aiguilles, un phallus artificiel, etc... et à lui imprimer des mouvements de va et vient.
C’est proche de la recette du pot-au-feu... un bonheur pour végétarienne. J’en profite pour vous faire partager mon intérêt pour les récits "historiques", les explications du bon docteur sont étonnantes :
Sans remonter à Sapho, on trouve dans l’histoire moderne des exemples authentiques de cette pratique, notamment chez les filles du Régent. L’une d’elles, l’abbesse de Chelles, fut accusée de se livrer au saphisme avec les jeunes religieuses de son couvent qui lui accordaient des témoignages de la plus infâme complaisance. Sa soeur, la Reine d’Espagne, à peine âgée de 16 ans, attaquait toutes celles de ses caméristes qu’elle jugeait passionnées. Le Roi, prévenu, chassa les beautés lesbiennes qui s’étaient prêtées au goût de la Reine, mais après le pardon conjugal, elle reprit ses honteux divertissements.
Tout le monde se souvient du salon d’une princesse, qui sous l’Empire, réunissait chez elles des femmes de la Cour de Napoléon III, avec des chanteuses qui se saphisaient à l’envie.
Enfin les Parisiens n’ont pas oublié l’aventure de ce mari qui, en 1883, surprit dans l’arrière boutique d’un magasin interlope de parfumerie du quartier de la Madeleine, sa propre femme en train de se faire saphiser par la jolie parfumeuse.
Le saphisme est surtout fréquent dans les maisons de prostitution et entre prostituées libres.
Il se pratique aussi beaucoup dans les appartements particuliers tenus par des matrones, dans certains magasins de parfumerie, de gants, de mode, de papeterie même, où la clientèle se compose moins de femmes galantes que de femmes du monde qui, blasées, perverties et libidineuses, viennent là se faire saphiser pour satisfaire leurs excitations génésiques et payent les femmes qui leur procurent cette jouissance, mais sans jamais se lier de coeur avec elles, absolument comme les hommes vont dans les maisons de tolérance ou chez une fille.
Pour en finir, rappelons une derniére variété d’onanisme qui est bien le résultat de la plus horrible dépravation et la preuve d’une formidable aberration du sens génésique. Je veux parler de l’onanisme clitoridien que certaines femmes se font pratiquer par des chiens dressés à cet effet. Ces faits de bestialité sont moins rares qu’on ne croit, dans les grandes villes surtout. Méfiez-vous donc de ces femmes, en général des prostituées et des femmes galantes, que vous voyez toujours avec ces affreux "King-Charles" qu’elles portent sous leurs bras et qu’elles comblent de caresses".
Et ce joyeux bordel date de 1890 !
Saphisme, au cas où:
L’homosexualité féminine est appelé saphisme, ou plus communément lesbianisme; les deux termes faisant référence à la légendaire (car il n'est parvenu jusqu'à nous que très peu de chose de son œuvre littéraire et de façon fragmentaire) poétesse grecque Sappho, de l’île de Lesbos, qui tenait un collège de jeunes filles, et dont les poèmes passionnés dédiés à ses amies, et la vie entourée d’autres femmes lui ont valu la réputation d’homosexuelle. Le plus célèbre de ces textes est l'Hymne à Aphrodite, et l'on peut supposer que son collège féminin n'était pas sans rapport avec le culte de la déesse de l'amour, de même que l'établissement d'Aspasie. Sapho fut bisexuelle, puisqu'elle eut une fille.
On disait autrefois tribadisme (du grec tribein, frotter); ce mot, surtout employé à la Belle époque, est vieilli et n'est plus guère utilisé. Dans certaines langues (anglais tribadism, allemand tribadie), ce terme désigne désormais une pratique sexuelle lesbienne. Les hétaïres de l'antiquité comme celles des époques plus récentes, pour la plupart s'adonnèrent au saphisme (Colette nous en donne un témoignage relatif à son époque) et furent souvent bisexuelles, ayant eu des enfants.
L'homosexualité féminine est plus diffuse, plus discrète, moins affichée et ostentatoire que l'homosexualité masculine, elle est cependant tout aussi courante. Les femmes homosexuelles ou bisexuelles furent souvent celles qui eurent les vies les plus libres et indépendantes autant que leur temps pouvait le leur permettre, et furent souvent parmi les premières à s'engager dans les luttes féministes d'émancipations des femmes. L'homosexualité féminine est vouée à un grand avenir, notamment dans l'espace urbain contemporain.
Et fin finale de la minute culturelle qui ne sera pas à conseiller aux moins de 12 ans. En même temps, comme le dictonnaire et Wilkipédia sont disponibles à tous les publics, il n'y a aucun mal... enfin, j'espère...