[Rp]Par une sombre nuit...[Trois perso max]

Le mage equissa un sourire qui fut perceptible a tous . il allait enfin pouvoir utiliser a son gré la magie qui déferlait en lui tel un impétueux toren .

d'un mot de pouvoir , il accéléra son temps , devenant d'une rapidité que seul les autres chronomages pouvaient égaler . en moins d'un milliéme de seconde , il reprit la fillette elfe , il tenta d'assener un violent coup -qu'elle esquiva a la vampire et repris sa position initiale -l'enfant dans ses bras -


l'enfant dans ses bras , le mage les regardait d'un air couroucé , sentant que la mort aurait mieux valu que les souffrances et les peines que l'elfette aurai a endurer si jeune .

sa colére domina sa raison, et voulant se venger , il tendir le doigt .un inquiétente lumiére verte apparut au bout de celui-ci .

Rose galopait depuis une bonne dizaine de minutes, ses cheveux voletaient tout en fouettant sa nuque alors que sa cape ressemblait à une seule et unique aile dans son dos. Le vent avait fait rougir ses joues alors que sa peau de plus en plus pâle ne semblait plus capter aucune lumière. Des nasaux de son étalon sortaient de la brume, son souffle se faisant entendre ainsi que le bruit de ses sabots contre la pierre.

Arrêtant brusquement sa bête, celle-ci piétina presque les corps qui se trouvaient allongé juste en avant d’eux.

À l’odeur du sang qui s’en dégageait, il semblait avoir eut un meurtre, mais ne s’en soucient pas et la faim encore plus aiguisé, elle passa à côté

Ses yeux cherchaient partout et nulle part, leurs gris intenses avaient maintenant laissé place au rouge pourpre, presque noir. Ceux-ci ressemblaient à deux points dans le noir, seule les loups garous avaient des yeux plus brillant que Rose en se moment même.

L’absence d’humain dans les environs, elle se rebroussa chemin.
Retournent à la place des corps, elle descendit de cheval et se pencha sur l’un deux.
À ce qui semblait, il avait déjà été pillé, leurs peau glacé ne la découragea pas pour autant et, sans vraiment de conviction, en prit un au hasard et planta ses crocs dans le coup du mort.

Aussi tôt, un horrible goût de sang à moitié coagulé et de pourriture envahi sa bouche. Aillent oublier comment les corps d’elfes pourrissaient si vite, Rose poussa un grognement qui supposait à un mécontentement bien marqué.

Malgré tout, elle continua à boire.
Finissant à peine après deux minutes, elle envoya la corps valser contre le mur d’une auberge, non loin. Le crâne de la créature chante un air d’os brisé jusqu’à ce que le corps du deuxième mort ne vienne lui porter compagnie.

De plus en plus mécontente, elle remarqua aussi qu’il ne restait plus que trois heures avant que le soleil ne se lève.

Déclarent forfait pour cette nuit, même si un filet de sang qui ressemblait plus à de la boue qu’autre chose avait coulé des fissures de ses lèvres, elle remonta sur son étalon et partie en direction de sa demeure.

De la brume commençait lentement à envahir le village dans lequel elle avait passé.
La lune avait blanchie et semblait moins brillante mais plus reluisante. Les nuages désertaient avec lenteur vers le sud.

La bête de Rose, essoufflé mais résistante ne trouvait rien à protester quand celle-ci lui ordonna de courir plus vite.

La respiration de Rose ne faisait pas long feu non plus. Le sang qu’elle avait prit ressemblait trop au sien pour que ce fut un quelconque effet bienveillant sur son système.

Si elle ne rencontrait personne sur son chemin, l’elfe noir n’allait pas faire long feu, à condition qu’elle soit encore chez elle…
Sinon elle serait obligé de chasser de jour et affaiblit, ce ci risquait de lui coûter cher en force…

Remarquer que le fait de manger des êtres innocents la répugne… Elle aurait bien put s’introduire dans une maison pendant que des gens dorment pour s’amuser un peu mais non, pas question.

La pensée de l’elfe noire arrivait presque à la faire saliver alors que, forçant son étalon à aller plus vite, il lui semblait sentir un vent plus chaud dans son visage. L’air nocturne ne tarderait pas à aller s’amuser ailleurs et le soleil se lever maintenant.

Heureusement, le bruit de son galop s’arrêta quand son cheval atteignit l’herbe fraîche son terrain…

Le mage se débattit comme un beau diable, mais Archaon ressera sa prise, manquant lui briser le bras.

Il refusait manifestement de répondre. COntrairement à la vois douce qui s'était adressée à Rose, ce fut une vois caverneuse qui menaca le mage.

"Cette chasse m'a amusé et nourri, mais j'ai encore envie de jouer. Continue à te débattre et tant pis pour les questions. Dans ton intérêt, arrête de gigoter et réponds. Dans le mien, continue à te débattre."

L'effet fut instantané. En voyant la lueur écarlate brillant dans les yeux du vampire, le mage se calma aussitôt et commenca son récit d'une voix monocorde...

"bande d'abruti !"

- A votre avis , qu'elle est la raison de la présence d'un elfe dans un repére de vampire .

il regarda l'elfette mourrante

- j'ai vu ce que vous avez fait subir a ses parents , je me suis juré de protéger mon peuple quand j'eu fini ma formation . De le protéger d'être mauvais comme vous . Vous n'êtes que des images d'un glorieux passé , des ombres nuisibles a éliminer dans l'urgence avant qu'elles ne commettent l'irréparable de trop nombreuses fois .

par un grand effort , l'elfe parvint a se degager un bras , qu'il plongea immédiatement dans sa robe , pour en sortir une gousse d'ail

l'effet fut immédiat .

un sourire narquois apparut sur le visage du mage

-je savais a quoi m'attendre en entrant ici , mais je ne soupçonnais pas l'éfficacité de ça...

La surprise passé, les vampires se resaisirent. Ce fut à leur tour de sourire sardoniquement.

"Je n'ai jamais compris pourquoi on pensait que ces choses là avaient un effet sur nous? Peut-être parce qu'un de nos ancêtres y était allergique?"

Valériane réprima un petit rire et redevint sérieuse. Archaon profita de sa vitesse surhumaine pour souf(f)leter le mage et l'assommer à demi. Cette fois, il lui immobilisa les deux bras.

"Tu vas te décider à répondre? ou préfère-tu partager le sort de tes infortunés compatriotes?"

Se résignant le mage baissa la tête et attendit.

"Bon, très bien. Il me semble que vous aviez des questions très chère?"

- En effet... Je croyais au départ que tu venais uniquement pour l'elfine, et si ce n'était que ça, je te la laissais volontiers... L'elfe noire se trouvera bien autre chose à se mettre sous la dent... Tu as la chance que nous soyons tous deux déjà repus... En revanche notre hôte... Tu as intérêt à te montrer coopératif, car si elle n'a pas fait bonne chasse comme nous, toi et Dokira pourriez être sur son menu...

Elle se tourna vers l'elfe noire, qui affichait une visage horrifié aux paroles de la vampire...

- Eh oui ma belle... Moi je suis gentille et compréhensive pour une vampire... Ce qui n'est pas son cas... Et si de plus cette elfine n'est plus là pour la divertir je crains que ce que je dis soit vrai...

Elle se rapprocha un peu plus du mage à demi évanoui, et lui prit la tête dans sa main, et la releva violemment.

- Regarde moi ! Tu as compris ? Tu crois vraiment pouvoir nous tuer tous les trois ? Surtout que maintenant, tu es loin d'être en position de force...

Elle prit la gousse d'ail qui gisait à terre.

- Quant à ça...

Elle croqua joyeusement dans le bulbe, et macha avec enthousiasme.

- Mouais... Je n'aime pas trop le goût... Mais enfin... Ces légendes ! Tu en veux un morceau ?

Valériane tendait le gousse à Archaon qui refusa poliment d'un geste de la tête.

- Moi non plus je n'aime pas trop. Et ces mortels qui croient tout savoir !
- Tu as bien raison mon cher...

La vampire jeta la gousse d'ail de côté et plongea son regard rougoyant dans les yeux de l'elfe.

- Tu croyais vraiment nous faire quemque chose avec ça ? Bon, et maintenant, que compte tu faire ? Je crains que Rose ne revienne bientôt, et tu as intérêt à nous prouver que nous avons besoin de toi pour que nous intercédons pour toi envers elle... Mais j'en doute... En quoi pourrais-tu nous être utile ?

Le mage baissa de nouveau la tête. Il fallait qu'il fasse vite... Que pourrait-il leur dire ?
De son côté, Valériane n'était pas du tout sûre de ce qu'elle avait dit... Elle même et Archaon, ainsi que l'elfe noire n'étaient pas les bienvenus en ces lieux... Comment garantir que la vampire qui était chez elle ne les écoute ?

-Laissez moi ramener la fillette en un endroit sûr , et je vous promet de faire ce que vous me demandrez , sur l'honneur et sur la vie - on sait combien celle-ci est importante pour les elfes -

son visage était impassible , mais chacun de ces mots avaient l'effet de coup de couteau dans son esprit . il se jura de se venger un jour en les (re)tuant .

-lachez moi , laissez moi m'en aller avec elle , pour la mettre en lieu sûr , et je reviendrais ; quitte a affronter pour vous la maîtresse de ce lieu et a y laisser la vie , vous savez que je suis en position de faiblesse , mais en un mots de pouvoir je peux détruire cette baraque et une partie de la ville ....
prendriez vous ce risque ?

[HRP] Répondre par un signe de tête n'est jamais considéré comme poli.^^[/HRP]

Archaon poussa un soupir agacé.

"Non mais vous êtes stupide ou quoi? Quand bien même vous vaporiseriez la moitié de la ville, nous nous transformerions en brume et n'aurions qu'à attendre de nous régénérer. Vous êtes chasseur de vampire ou juste un imbécile qui s'est en tête de jouer les justiciers improvisés?"

Il laissa à ces paroles le temps de faire leur effet, puis avec un sourire sadique sur les lèvres reprit.

"J'étais de bonne humeur après notre chasse. Même si le défi n'était pas terrible."

Il continua sans prêter attention au frisson du mage lorsqu'il entendit ces mots.

"Vous êtes en train de m'agacer sérieusement. Donc, soit vous répondez correctement aux questions, soit il est fort probable que vous vous retrouviez avec un joil sourire sanglant sur la gorge."

Pour apuyer ses propos, il mit en évidence d'un coup de rein le splendide katana jusqu'à présent dissimulé par son étrange tenue d'ombre.

- Si ce n'est que ça... Je connais bien plus amusant... Un justicier ? Oui, certainement... Mais certes pas un chasseur de vampire... Souviens toi, il est venu pour cette jeune elfe... Mais également pour sa famille... Et c'est un elfe, c'est la simple explication... Si ce que je crois est juste, c'est un vengeur... La vie lui est chère, comme à chaque elfe, et il veut la préserver... Nous nous efforçons de la détruire, nous sommes donc une menace pour sa mission... C'est bien ça, n'est ce pas, mage ?

Celui ci, toujours sous le coup de la menace du second vampire baissa la tête, et Valériane supposa qu'il manifestait ainsi son approbation...

- Mais tu sais, mon cher, la chasse nous procure certes un grand plaisir, mais ce n'est pas pire que de tuer des animaux...
- Vous tuez la vie ! Et une vie pensante !
- Même si cela ne nous procurait aucune satisfaction, c'est notre nourriture... Au même titre que vous autres elfes mangez des végétaux...
- Mais vous étiez elfe ! Vous pouvez me comprendre !

L'elfe vampire secoua la tête, attristée...

- Je ne le suis plus depuis bien longtemps... J'ai perdu tout ce que cet état me permettais d'avoir... La vie me rejette. Alors je lui rends...
- C'est bien pour ça que vous êtes une abomination... Bien plus que lui !

Le mage montra d'un coup de tête le vampire humain, qui le maintenait fermement immobile...

- Oui...
- Vous ne devriez pas vivre !
- En effet....
- Que faites vous encore sur terre, dans ce cas ?
- Vas tu te taire ?

Les yeux rouges de la vampire flamboyaient à présent, et dans sa colère, elle asséna au mage une si forte claque, qu'elle manqua lui briser la nuque... Celui-ci releva la tête, avec dans les yeux une lueur de défi... Il avait trouvé son point faible...

- Et après ça, tu crois que l'on sera clément ? Tsss... Pourquoi ai-je tenu à lui parler... Archaon, fais en bien ce que tu veux, après tout... Il ne mérite rien...

Les yeux du vampire s'éclairèrent... Il savait qu'elle n'aurait pas du l'empêcher de se faire plaisir un peu...

Archaon serra entre ses doigts plusieurs points précis des poignets du mage, puis, à la surprise générale, le relacha.

"-Mais qu'est-ce que...?

-Je n'ai aucune raison de lui faire du mal. Il ne représente en aucun cas une menace, ni pour toi, ni pour moi. Je viens de lui paralyser les mains pour quelques heures. Ainsi, il ne pourra pas lancer son sort.

-Tu voulais le massacrer il y a quelques instants.

-Honnêtement, votre réaction vis-à-vis de se sparoles m'incite à pousser un peu plus loin l'interrogatoire. Je ne suis pas un elfe et n'ai jamais accordé la même valeur que vous à la vie. Je veux savoir ce qui vous mets, l'un autant que l'autre, dans des états pareils."

Manifestement troublée, Valériane fulminait et tournait comme un lion en cage. Il était étrange de constater à quelle point sa colère la rendait attirante.

"De plus, ajouta-il, je ne tue pas sans raison. Les carnages inutiles ne sont pas mon style. J'ai déjà suffisamment de sang sur les mains sans pour autant en rajouter. Non pas que j'ai des remords à tuer, mais ôter la vie sans raison, je n'en vois pas l'intérêt."

Valériane était de plus en agitée. S'il continuait ainsi, elle risquait de leur sauter à la gorge, à tous les deux. Il se retournan donc vers le chronomage.

"-Bon, vous avez deux minutes pour me prouver que j'ai eu raison de vous épargner. Si vos réponses ne me conviennent pas, Elle ou moi se chergera de votre sort. Si je n'étais pas si intrigué, je dirais que je m'ennuie. Alors? Pourquoi accordez-vous tant de valeur à la vie d'un être pensant? Et pourquoi plus à la leur qu'à celle d'un végétal? Quelle différence cela fait? C'est toujours une vie en moins.

-Non, pas seulement à elles... Mais ce sont de vies intelligentes. Répliqua-t-il. Vous assassinez des vies qui ont la possibilité de faire de grandes choses.

-Alors c'est cela? Le coupa-t-il. Vous estimez donc que parce que vous êtes intelligents vous méritez plus de vivre qu'un animal ou une plante? Petit elfe arrogant. Pour qui vous prenez-vous ? La nature est en tout point supérieure aux animaux. J'en veux pour preuve que sans végétation, pas de vie. Qui êtes-vous pour juger de ce qui est important ou pas? Des dieux?"

Le mage ne répondit pas. Il était visiblement touché par la logique de l'argumentation.

"La non-vie permet de comprendre ce genre de chose. Depuis des siècles je vois des empires s'ériger pour mieux chuter. Et cela au nom de l'arrogance de ces êtres pensants. La nature, avec sa simplicité, n'a pas ce type de problème. Toute la nature est un équilibre que seuls les êtres pensants viennent troubler. Les vampires, autant que les plantes, les elfes et les humains font partie du cycle naturel. Ce que vous qualifiez de meurtre, nous appellons cela nous nourrir. Nous faisons partie de l'ordre naturel des choses. Vous avez le droit de vouloir venger vos compatriotes, mais ne le faites pas au nom de la justice, la raison ou autre foutaise du genre. Cessez ces hypocrisies et admettez que nous ne faisons rien de plus que vous. Seul notre régime alimentaire change. Il n'y a rien de plus condamnable à vampiriser un elfe, qu'il n'y en a avaler une salade. C'est d'habitude ce que les elfes sont censés prôner. Et en ce moment, vous n'agissez pas comme vous parlez. Que vous est-il arrivé? une erreur? Vous vous êtes écarté du droit chemin?

A présent, non seulement le mage, mais aussi Valériane et Dokira étaient suspendus aux lèvres d'Archaon. Le ton grave et la mine assombrie qu'il avait pris en parlant en disaient long sur le temps qu'il avait passé à réfléchir à la question.

Quand il eut fini, il était dans le même état de rage que Valériane. Une aura bleue presque imperceptible semblait émaner de lui. Chose curieuse, Valériane crut déceler la forme d'un loup dans cette aura. L'impression fugitive disparut ausi vite qu'elle était venue.

Un long silence s'instaura.

- Je vous permet de parler en ces thermes , car vous n'êtes pas de ceux de mon ordre . vous ne pouvez voir les merveilles que les êtres doués d'intelligence pourront accomplir dans des milliers d'années ....vous ne pouvez savoir a quel point nous sommes actuellement primitifs .
Manger une salade n'est rien ! cela fait partie de l'ordre naturel des choses , certains végétaux ont pour destin d'être mangé par les créatures pensante .... tel est l'avenir que les dieux ont mis en eux .

mais vous n'avez rien de naturel ! vous êtes d'abjectes créatures qui devraient se donner la mort elles-même ! comment osez vous philosopher , barbare ? ce que les elfes mangent , ils font en sorte qu'il revienne par la suite , plus fort encore ; pouvez-vous en dire autant ? redonnez vous la vie a ceux que vous avez massacré ?

le mage réfléchit longuement , il ne savait pas trop que faire : les vampires avaient une assez grande éloquence , et leurs discour l'avait touché .


-Ce n'est plus de mon ressort .... Je ne sais a quelle partie me livrer , la voie de la compassion ou celle de la raison ..... mon maître est seul a pouvoir décider de mon chemin a présent ..... ne faites plus un geste , pour votre vie .... enfin votre mort .... bref , vous voyez quoi ....

disant ces mots , le mage ferma les yeux , prononça quelques paroles dans une langue au delà de la magie et commença a rayonner d'une aura multicolore .
bientôt , les autres personnes présentent se mirent elles aussi a briller , de différentes couleur .

le mage s'était en fait glissé dans le fleuve impétueux du temps , déroulant l'écheveau du destin ; examinant les milliards de possibilités en une fraction de seconde ...

aprés quelques instants , les lumiéres s'éteignirent , laissant place a l'obscurité .

le chronomage rouvrit les yeux et se tourna vers les vampires :

- On dirait qu'il a encore besoin de vous ..... je sais quel partit prendre a présent...

Les portes s’ouvrirent sans douceur, un flot de noirceur emplit le hall.
Dans les yeux du vampire, la faim brillait comme une flamme contre les diamants alors que celle-ci se dirigeait vers les points de chaleur.

On aurait dit qu’a sa simple approche, la température s’abaissait naturellement. Ses bottes tapaient fort, alarmant toutes les personnes présentes de son approche.

Clique, ploc, Clique, Ploc… Krik!

Une vision suivra l’envoler remarquable du petit collier que Rose avait prit dans la ruelle.

Une enfant courait à vive allure dans l’herbe verte, alors qu’un soleil de plomb faisait fondre l’entrain du grand frère de la fillette. Riant comme un osions qui gazouille de joie, le visage souriant elle regarda son frère s’étendre dans l’herbe, l’air mort de fatigue.

Pendant se temps, du coin de l’œil, un corbeau passait à une allure vive sous la voûte d’un arbre, particulièrement presser semblait-il. Passant trop proche de la jeune, celle-ci hurla de peur alors que son frère ne réagissait pas, le corbeau sembla vouloir se défendre et envoya voltiger ses sers dans le visage de la fillette.

Se cachent du mieux qu’elle pouvait, un goût encore inconnu s’insinua dans sa bouche comme une sensation amère, une impression dangereusement forte annoncent un danger lointain…

Une fois l’oiseau partie en ricanent, dans une course propulser par la peur et la naïveté de l’enfant, elle prit ses jambes à son coup…

Derrière elle, une nuée d’oiseau semblait la suivre à la trace, cachant les rayons réconfortent du soleil, projetant l’enfant dans une noirceur total… Celle qui invite à une peur primale.

Alors que derrière elle, singulièrement plus loin se trouve sont frère, déjà rongé par la vermine. Des verts ruissellent de liquide gluant s’acharnaient avec difficulté à mâchouiller chaque fibre sa peau alors que les oiseaux arrachaient avec entrain des bouts de chaire encore fumant de vie qui avait animé le tout avec beaucoup plus de beauté que cette mort subite…

Pendant tout ce temps, un filet de sang coagulé coulait lentement mais sûrement des lèvres de la demoiselle, alors qu’elle était penchée, le visage vers la terre.

Pourtant, la gravité ne semblait pas avoir un mot à dire, le sang continuait de couler comme ci elle fut debout, avec une lente lourdeur.
Ses cheveux cachaient son visage et donc la scène, mes le reste de son corps en indiquait beaucoup sur son état.


Malgré les décorations de sa maison, les miroirs qui semblaient clandestins sur les murs et des bureaux éparpillés un peu partout dans les couloirs qui se connectaient au Hall, Rose n’était plus chez elle.

S’était comme ci, le fait d’avoir eut trop de monde en même temps dans la même pièce avait déclancher un mouvement protecteur et perturbateur dans la maison.

D’ailleurs, celle-ci était aussi vieille et intolérable que sa propriétaire…