D'un monde à l'autre

Un beau dimanche pluvieux, j'ai essayé d'écrire une histoire.
Je n'ai même pas remplie une page A4 que je n'avais plus d'idée, alors, prenant mon courage à deux mains, je vais le mettre ici et voir ce que ça donne.

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Prologue

Assommé par une journée d’école passablement éprouvante, Samuel se dirigeait d’un pas nonchalant vers sa maison. Sa grande sœur qui, comme à son habitude, devait être retenu au lycée, l’obligea à contourner son domaine familial et attendre dans le jardin que son fraternel arrive. Car évidemment, lui, il n'avait pas eu droit au double de la clé de leur toit. Hélas, ce ne fut qu’après une heure, qui lui parût une éternité, qu’il entendit le bruit strident des freins de la smart de Sarha –qui comme vous le devinerez aisément, était son aînée-.
Il se leva donc, les membres ankylosés, et se dirigea vers le perron de leur maison. Une fois à destination il fit un vague signe de salutation à sa sœur et s’en alla dans sa chambre. Sa mère ne rentrait que tard, et il devait supporter le courroux de sa frangine tout les jours, jusqu'à dix heure. Samuel était un jeune garçon de quatorze ans, pesait 50 kilos tout mouillé et mesurait un mètre soixante-cinq environ. Il vivait une vie monotone d’adolescent.

-Si seulement cette vie pouvait changé, pria-t-il, j'en serais enchanté.

Visiblement, un dieu l'écoutait, le petit allait être servi !

C’était au petit matin, Sam –Samuel- s’en alla d’un pas las en direction du bahut. C’est ici que l’impensable se produisit : si ses souvenirs étaient bons, un vortex violacé se forma devant lui, le happant aussitôt dedans, il avait crié, mais personne ne l’avait entendu. Il se retrouva aussitôt dans une demi pénombre et chuta de deux mètre environ. Il avait visiblement atterrit dans une clairière. Il se releva, essayant de se situer, mais du peu qu’il voyait, il n’en reconnu rien. C’est alors qu’il entendit des voix derrières lui, des voix qui n’avait rien d’humain.

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Voilà, à vous la suite !

ne prends pas mal ce que je vais te dire, mais comme j'ai une plus grande expérience des RPs et des Fics, je sais ce que je dis (d'autant plus que je faisait les mêmes erreurs avant)

Euphorique a écrit:

Assommé par une journée d’école passablement éprouvante.

> Qui ? Quoi ? Comment ? Ta phrase d'intro est bizarre... il aurait fallu une virgule.

Je n'ai pas cité toutes les phrases de ton intro (j'aurais pu =p) mais voici les grandes lignes de mes conseils :
-Évites les répétitions dans tes phrases, ça allourdi le texte
-Le lecteur préfères souvent un dialogue (ou monologue) qu'un passage narratif
-Au début de ton histoire, n'utilises pas de diminutifs : ils faut qu'ils viennent après.



Et ton début ressemble au début de "Everworld"... est-ce vrai ?
J'aimerais lire la suite, pour savoir comment tu vas t'en sortir

(ps : pour ma fic, je suis parvenu à ce résultat après 3 réécritures, pour un total de deux ans entre le premier jet et le chapitre finalement diffusé... donc t'inquiètes pas !)

Euphorique a écrit:

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Prologue

Assommé par une journée d’école passablement éprouvante, Samuel se dirigeait d’un pas nonchalant vers sa maison. Sa grande sœur qui, comme à son habitude, devait être retenue au lycée, l’obligea à contourner son domaine familial et attendre dans le jardin que son fraternel(sa fraternelle, plutôt, non ?) arrive. Car évidemment, lui, il n'avait pas eu droit au double de la clé de leur toit. Hélas, ce ne fut qu’après une heure, qui lui parût une éternité, qu’il entendit le bruit strident des freins de la smart de Sarha –qui comme vous le devinerez aisément, était son aînée-.
Il se leva donc, les membres ankylosés, et se dirigea vers le perron de leur maison. Une fois à destination il fit un vague signe de salutation à sa sœur et s’en alla dans sa chambre. Sa mère ne rentrait que tard, et il devait supporter le courroux de sa frangine tout les jours, jusqu'à dix heure. Samuel était un jeune garçon de quatorze ans, pesait 50 kilos tout mouillé et mesurait un mètre soixante-cinq environ. Il vivait une vie monotone d’adolescent.

-Si seulement cette vie pouvait changéer, pria-t-il, j'en serais enchanté.

Visiblement, un dieu l'écoutait, le petit allait être servi !

C’était au petit matin, Sam –Samuel- s’en alla d’un pas las en direction du bahut. C’est ici que l’impensable se produisit : si ses souvenirs étaient bons, un vortex violacé se forma devant lui, le happant aussitôt dedans, il avait crié, mais personne ne l’avait entendu. Il se retrouva aussitôt dans une demi pénombre et chuta de deux mètre environ. Il avait visiblement atterrit dans une clairière. Il se releva, essayant de se situer, mais du peu qu’il voyait, il n’en reconnu rien. C’est alors qu’il entendit des voix derrières lui, des voix qui n’avaitaient rien d’humain.

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(Je me doute bien que c'est pas des corrections d'orthographe que tu attendais, en plus ça me fait passer pour un enfoiré qui corrige les fautes des autres, mébon, ça fait pas de mal.)


J'aime beaucoup ce prologue mais c'est très…redondant à mon goût. L'adolescent qui se fait aspirer dans un autre monde puis qui sauve le monde en question est déjà devenu un archétype(quoique je ne sais pas si tu vas lui faire sauver le monde).
Essaye plutôt l'histoire de Bertrand, 53 ans, postier à la retraite, qui découvre l'entrée d'un monde magique ; je doute que ça ait déjà été fait.


Mais sinon j'aime bien.

Lord of lift a écrit:

Essaye plutôt l'histoire de Bertrand, 53 ans, postier à la retraite, qui découvre l'entrée d'un monde magique ; je doute que ça ait déjà été fait.

Plus ou moins déjà fait.
Une série de roman sur des "dieux" créateurs de monde dont le nom m'échappe et qui a inspiré un jeu de rôles du même nom (on voit l'écran de ce jeu dans la vidéo "Farador" de "Tom et ses chums" sur Youtube pour ceux qui (re)connaissent).

Le héros y est un retraité "normal" qui se trouve être un surhomme au fil des pages avant de découvrir qu'il est l'un de ces "dieux" rendus amnésique par un complot contre lui.

Sinon, ton histoire me fait penser à une nouvelle (un début d'histoire plus longue en fait) que j'ai écrit il y a quelques années et publié là.